Si vous lisez ceci, c’est que vous comprenez très probablement déjà le problème majeur avec les mots de passe. En effet, choisir un mot de passe à la fois robuste et facile à retenir n’est pas toujours évident.
Pour pallier à ce problème, un service existe : les gestionnaires de mots de passe. Vous abandonnerez l’option « Mot de passe oublié » définitivement et n’aurez plus à vous reprocher d’utiliser le même mot de passe sur des sites différents ! Ces coffres-forts numériques vous permettront de stocker tous vos mots de passe dans un seul et unique endroit et vous libéreront le cerveau de nombreux problèmes. Certains services proposent des niveaux de sécurité supplémentaires tels que l’authentification à deux facteurs qui permettra d’assurer une sécurité optimale à vos comptes.
Si laisser vos mots de passe entre les mains d’une application dont vous n’avez jamais entendu parler, rassurez-vous. Vos données et mots de passe ne peuvent être déchiffrées qu’avec un mot de passe dit « maître » que vous aurez défini préalablement, ce qui signifie que vous seul y avez accès, et non le développeur de l’application.
De nombreux services propose le déverrouillage par lecteur d’empreintes digitales ou reconnaissance faciale via votre téléphone ou PC, ce qui vous évite d’avoir à saisir le mot de passe principal. Vous ne devez cependant pas l’oublier, auquel cas vous perdriez l’accès à vos identifiants.
L’avantage d’un gestionnaire de mots de passe par rapport à un navigateur Web qui stocke les identifiants est qu’il fonctionne généralement sur tous les appareils et navigateurs Web, ce qui vous permet d’accéder à vos identifiants sur tous vos appareils. De plus, les mots de passe stockés sur votre navigateur sont souvent très simple à récupérer, notamment si un pirate possède un accès à votre machine.
Tout comme la majorité des navigateurs, les gestionnaires de mots de passe possède une fonction de remplissage automatique, ce qui vous évite d’avoir à entrer vos mots de passe à chaque reconnexion.
Quel gestionnaire de mots de passe choisir ?
Il existe de type de gestionnaires de mots de passe, certains sont des logiciels dit « propriétaires », d’autres sont « libres ». Les gestionnaires de mots de passe « libres » sont généralement plus appréciés par les adeptes de cybersécurité car les utilisateurs peuvent vérifier que leurs données sont correctement protégés.
Liste non exhaustive de gestionnaires de mot de passe libres :
Une image vaut 42 mots ! Pour rendre un article ou un site agréable, il ne faut pas négliger son illustration. Réaliser soi-même des belles photos nécessite des compétences poussées en photographie, aussi il est conseillé d’utiliser des photos libres de droits, ce tutoriel vous présente où trouver ce telles images.
Pourquoi utiliser des images libres de droit ?
Il y a plusieurs raisons d’utiliser des images libres de droit:
Éviter les poursuites en justice: en utilisant des images libres de droit, vous évitez les risques de poursuites en justice pour infraction aux droits d’auteur.
Économiser de l’argent: les images libres de droit peuvent être utilisées gratuitement ou à un coût réduit, ce qui peut aider à économiser de l’argent par rapport à l’achat d’images avec des droits d’utilisation limités ou exclusifs.
Plus de flexibilité: les images libres de droit peuvent être utilisées pour diverses fins commerciales et personnelles sans restrictions, ce qui offre plus de flexibilité dans leur utilisation.
Contribuer à la communauté: en utilisant des images libres de droit, vous pouvez soutenir les créateurs en les encourageant à partager leur travail avec la communauté.
Les images sur google sont-elles libres de droit ?
Non, la plupart des images trouvées sur Google ne sont pas libres de droit. La plupart des images en ligne sont protégées par des droits d’auteur, ce qui signifie qu’il est nécessaire d’obtenir l’autorisation du propriétaire des droits d’auteur pour les utiliser. Cependant, Google peut inclure des images avec des licences libres de droit ou des licences Creative Commons, qui permettent une utilisation limitée ou gratuite sous certaines conditions. Il est important de vérifier la licence associée à chaque image avant de l’utiliser.
Comment vérifier qu’une image est libre de droit ?
Il existe plusieurs façons de vérifier si une image est libre de droit :
Recherchez des images avec des licences libres de droit: il existe plusieurs sites web, tels que Pexels, Unsplash, et Pixabay, qui proposent des images avec des licences libres de droit.
Vérifiez les licences Creative Commons: certaines images peuvent être publiées sous une licence Creative Commons, qui permet une utilisation limitée sous certaines conditions. Vous pouvez vérifier la licence associée à une image en utilisant un moteur de recherche d’images avec filtrage par licence.
Contactez le propriétaire des droits d’auteur: si vous ne parvenez pas à trouver une licence associée à une image, vous pouvez contacter le propriétaire des droits d’auteur pour obtenir une autorisation d’utilisation.
Il est important de toujours respecter les droits d’auteur et de ne pas utiliser d’images sans autorisation, car cela peut entraîner des poursuites en justice et des frais importants.
Et les images sur wikipédia / wikimedia ?
Les images publiées sur Wikipedia et Wikimedia sont généralement soumises à des licences libres de droit ou à des licences Creative Commons. Cela signifie que vous pouvez utiliser ces images pour un usage personnel et commercial, mais vous devez respecter les conditions spécifiées dans la licence associée à chaque image.
Il est important de vérifier la licence associée à chaque image avant de l’utiliser, car certaines images peuvent être soumises à des restrictions d’utilisation. Par exemple, certaines licences peuvent exiger que vous attribuiez l’auteur de l’image, ou que vous utilisiez l’image uniquement pour des fins non commerciales.
Il est également recommandé de vérifier les sources de l’image et de s’assurer qu’elle n’est pas protégée par un droit d’auteur plus restrictif.
Attribuer l’auteur de l’image ? Quésaco ?
publique de l’auteur d’une image. Cela peut inclure l’ajout du nom de l’auteur ou du créateur de l’image, ainsi que d’autres informations telles que la source ou la date de création.
L’attribution est souvent requise pour les images publiées sous certaines licences libres de droit ou Creative Commons. Cela permet de respecter les droits des auteurs en reconnaissant leur travail et leur contribution à la communauté. Il est important de suivre les instructions d’attribution spécifiées dans la licence associée à chaque image pour éviter tout problème de droit d’auteur.
En général, l’attribution est une pratique courante pour les images en ligne et peut aider à promouvoir le travail d’artistes et de créateurs tout en fournissant des informations utiles pour les utilisateurs.
Pour nos élèves en spécialité NSI :
Pour vos articles sur nsi.xyz, vous devez indiquer les sources des images à la fin de l’article.
Pour vos sites web, vous devez indiquer les sources des images dans le compte rendu.
Une photo que j’ai prise est-elle libre de droit ?
Oui, généralement, si vous prenez une photo, vous en êtes le propriétaire et avez le contrôle exclusif sur les droits d’utilisation de cette photo. Cela signifie que vous pouvez décider de la publier ou de la distribuer, de la vendre ou de la protéger par des droits d’auteur, ou même de la céder à des tiers.
En tant que propriétaire de cette photo, vous pouvez l’utiliser librement pour illustrer un article ou un site web, et ce sans nécessairement renoncer à vos droits ultérieurs.
Cependant, il est important de tenir compte des lois sur les droits d’auteur et la vie privée dans votre pays, car certaines restrictions peuvent s’appliquer à l’utilisation de photos de personnes, de bâtiments ou de marques déposées. Il est donc toujours bon de vérifier les lois en vigueur et de respecter les droits des autres avant de publier ou d’utiliser une photo.
Une image trouvée sur une banque d’image est-elle libre de droit ?
Non, pas nécessairement. Les images disponibles sur les banques d’images peuvent être soumises à des licences différentes, allant des licences libres de droit à des licences payantes. Il est donc important de vérifier la licence associée à chaque image avant de l’utiliser, afin de savoir si vous avez le droit de l’utiliser pour votre projet ou votre entreprise.
Certaines banques d’images proposent des images gratuites avec des licences libres de droit, tandis que d’autres nécessitent un paiement pour utiliser une image. Il est donc important de bien comprendre les conditions d’utilisation associées à chaque image avant de les télécharger ou de les utiliser.
Certaines banques d’images libre proposent aussi des liens vers des images qui ne le sont pas.
Il est plus que conseillé d’utiliser ublock origin avant de se rendre dans ces banques d’images.
En général, il est préférable d’utiliser des images avec des licences claires et libres de droit pour éviter tout problème de droit d’auteur. Si vous avez des doutes, il est toujours bon de consulter un avocat spécialisé dans les droits d’auteur pour obtenir des conseils juridiques.
Les images avec un filigrame sont-elles libre de droit ?
Un filigrame ou une marque d’eau est généralement utilisé pour indiquer que l’image appartient à un propriétaire particulier ou pour dissuader les utilisateurs de voler ou de partager l’image sans autorisation.
Et si je trouve cette image qui est payante sans le filigrame sur Google ?
Si vous trouvez une image payante sur Google sans filigramme, vous ne devriez pas l’utiliser sans l’autorisation du propriétaire de l’image. L’utilisation non autorisée d’une image protégée par des droits d’auteur peut entraîner des poursuites judiciaires et des coûts importants pour violation de droits d’auteur.
Banque d’images libres de droit
Attention, vous devrez toujours vérifier la licence de l’image. La presence d’un site dans cette liste n’offre aucune garantie légale.
Nom du site
Descriptif
Adresse du site
Pexels
Banque d’images gratuite avec des milliers d’images haute résolution
Il est préférable de se limiter à une résolution proche du full HD pour de la publication sur le web. (image est composée de 1920 pixels horizontaux et 1080 pixels verticaux)
A propos des images générées par des IA
Les images générées par des IA sont souvent considérées comme étant sans droit d’auteur, car elles sont considérées comme des créations de logiciels, plutôt que des créations humaines. Cependant, cela dépend des lois et des réglementations en vigueur dans chaque pays.
Dans certains cas, les images générées par des IA peuvent être considérées comme des œuvres dérivées d’images originales et peuvent donc être soumises à des restrictions en matière de droits d’auteur. Il est important de consulter les conditions d’utilisation de chaque logiciel d’IA pour savoir s’il est possible d’utiliser les images générées à des fins commerciales ou personnelles.
En général, il est préférable de faire preuve de prudence et de ne pas utiliser les images générées par des IA sans autorisation, sauf si vous êtes sûr de ne pas violer les droits d’auteur. Il est toujours préférable de créer ou de trouver des images libres de droit pour vous assurer que vous pouvez les utiliser en toute légalité et en toute sécurité.
Pour les élèves en spécialité NSI, les images illustrant les vignettes des articles de cette page https://nsi.xyz/category/decouvrir/ ont été générées par une IA, en voici un exemple.
midjourney : logo web, programmer, coder, langage, numérique, informatique, noir & blanc, violet, modern et fluide –ar 3:2 – Upscaled by @cent20 (fast)
La controverse sur les droits d’auteurs associés à ces images ne fait que commencer, mais jusqu’à ce qu’elle soit tranchée vous pouvez utiliser des IA pour générer des images à condition de ne pas violer les droits d’auteur ni le droit des marques. Attention, vous devez avoir généré l’image vous même, et ne pas réutiliser une image générée par un tiers.
Article écrit avec l’aide de chatGPT jan 20 version. 2 images ont été générées par midjourney l’autre est une capture d’écran de pixabay. Aucun droit d’auteur n’a été à priori violé dans cet article.
Qu’il s’agisse d’une dissertation, d’un e-mail ou d’une lettre de motivation, taper nos textes est devenu une norme de notre ère. Et cette tendance n’est pas insensée : pouvoir écrire ses mots avec une calligraphie, espacement et centrage parfaits représente un gain de temps indéniable ! Seulement, ce nouveau moyen de rédiger vient avec son lot de règles à respecter. Jetez un coup d’œil à ce tutoriel, et vous saurez tout ce que vous devez connaître afin de maîtriser la mise en page de votre texte !
Bande annonce 😉
Avant-propos
Tout au long de ce tutoriel, le nom « espace » sera utilisé au féminin. Par exemple, il pourrait être dit :
« Il faut une espace avant et après ce signe de ponctuation. »
Cela n’est pas une erreur ! Le nom « espace », lorsqu’il désigne une étendue, une capacité ou simplement notre cosmos, est bel est bien masculin ; en revanche, lorsqu’il désigne un blanc qui sépare deux mots, il est féminin. Selon certains, il s’agirait d’un archaïsme datant de l’ancien et moyen français, et selon d’autres, cela ferait référence aux lamelles utilisées jadis en imprimerie.
Bref. Par souci de purisme, j’utiliserai « espace » au féminin.
Introduction
La typographie est l’art et la technique de l’arrangement des lettres, des chiffres et des symboles dans un texte. Elle consiste à ajuster la mise en page, les polices de caractères, les tailles, les couleurs et les espacements afin de rendre un texte tapé lisible, clair, esthétique et, par-dessus tout, crédible.
Elle est utilisée dans de nombreux domaines telle la publication, la publicité, l’emballage, la signalétique et le design web.
Bien que les règles soient nombreuses, il n’empêche qu’en apprendre les bases vous aidera à produire des écrits qui vaudront d’être lus. Peut-être vous considérez-vous déjà familier avec ce sujet ; néanmoins, il réside toujours des subtilités qu’il serait intéressant de connaître.
Toutefois, tout logiciel de traitement de texte, tel Word, possède un correcteur automatique. Celui-ci non seulement régule les fautes d’orthographe, de conjugaison et de grammaire, mais indique toute erreur d’espacement. Dans ce cas, à quoi sert-il d’apprendre la typographie ? Je vous donnerai trois raisons :
1. Comprendre la logique derrière tout domaine permet d’affiner son esprit et améliorer sa culture générale. La typographie est une compétence qui peut être captivante, et en saisir le fonctionnement vous aidera toujours dans votre vie ;
2. Les correcteurs automatiques ne sont pas nécessairement justes : il advient toujours qu’une erreur ou deux ne soient pas remarquées par le correcteur ; ou, pire, que celui-ci propose une correction erronée. Dans le cas d’une opposition (cf. Les oppositions), il ne parviendra même pas à se décider ! Apprendre les bases vous permettra de ne pas tomber dans le panneau ;
3. Il arrivera qu’aucun correcteur automatique ne soit là pour confirmer vos phrases. Par exemple, lorsque vous rédigez un e-mail sur Gmail ou si vous tapez un texte sur Google doc, il ne vous est pas fourni de correcteur typographique. Si vous désirez faire bonne impression sans perdre le temps de copier/coller votre écrit dans un logiciel de traitement de texte, il vous faudra connaître ces règles.
En un mot, ce tutoriel vous enseignera la manière de placer correctement des espaces dans vos phrases. En effet, faut-il placer une espace avant un point d’exclamation ? Faut-il insérer des espaces à l’intérieur de guillemets ? Comment faut-il s’y prendre avec un texte en anglais ? Trouvez les réponses ci-après !
Les différents types d’espaces
Avant toute chose, considérons les différents types d’espaces en typographie. Nous avons :
L’espace justifiante
L’espace insécable
L’espace fine
L’espace justifiante est l’espace que l’on utilise le plus fréquemment et qui est tapée grâce à la barre d’espace sur un clavier. Elle est nommée ainsi car sa taille est ajustable si le texte est justifié.
Une espace insécable est une espace qui ne peut être séparée des deux mots qui l’entourent par un retour à la ligne. Autrement dit, ce type d’espace garde les deux mots sur la même ligne.
Une espace fine est une espace deux fois plus étroite que l’espace justifiante. Elle est considérée insécable dans la majorité des cas.
Nous allons utiliser ces trois types d’espaces tout au long de ce tutoriel.
Les signes de ponctuation simples
Les signes de ponctuation simples sont constitués d’un seul élément. Ils sont au nombre de trois :
La virgule (,)
Le point (.)
Les points de suspension (…)
(Les points de suspension étant composés de points, ils font partie des signes de ponctuation simple.)
Pour ces signes, il ne faut pas mettre d’espace avant, mais en placer une après.
À faire :
Lundi matin,_le professeur de NSI entra dans la salle de classe en furie._Il avait sous le bras les contrôles de la semaine précédente…_
À ne pas faire :
Lundi matin_,le professeur de NSI entra dans la salle de classe en furie_.Il avait sous le bras les contrôles de la semaine précédente_…
Remarque : Lorsque la virgule sert à écrire un nombre décimal, elle ne nécessite pas d’espace après. On écrira donc « 42,666 ». Cela vaudrait de même pour un point qui séparerait un nombre en groupe de trois chiffres, comme dans « 120.000 » s’il n’était pas recommandé de mettre une espace insécable à la place, et de taper « 120000 ».
Les signes de ponctuation complexes
Les signes de ponctuation complexes comportent deux éléments. Il en existe quatre :
Le point d’exclamation (!)
Le point d’interrogation (?)
Le double point (:)
Le point-virgule (;)
Il faut placer une espace avant et après ces signes.
À faire :
La mauvaise nouvelle fut vite annoncée_:_pas un élève avait eu au-dessus de la moyenne_!_Comment de tels résultats avaient-ils pu être possibles_?_
À ne pas faire :
La mauvaise nouvelle fut vite annoncée:_pas un élève avait eu au-dessus de la moyenne!_Comment de tels résultats avaient-ils pu être possibles?_
Remarque 1 : L’espace placée devant un signe de ponctuation complexe doit être insécable. Elle peut être fine ou non. Word crée automatiquement une espace insécable lorsque vous tapez ces signes de ponctuation.
Remarque 2 : Si vous désirez placer un point d’interrogation à côté d’un point d’exclamation afin d’exprimer du décontenancement, il ne faut pas mettre d’espace entre les deux. La règle de l’espace avant et après s’applique au groupement. On écrira donc : « Qu’est-ce que c’est que ça_?!_»
L’apostrophe
L’apostrophe (‘), qu’elle soit droite ou courbe, n’a aucune espace de part et d’autre. En d’autres termes, elle est collée aux deux mots qui l’entourent.
À faire :
D'habitude, si quelqu'un se retrouvait avec une note médiocre, le professeur s'avérait bien plus compréhensif. Cette fois-ci, ce n'était pas le cas.
À ne pas faire :
D_'_habitude, si quelqu_'_un se retrouvait avec une note médiocre, le professeur s_'_avérait bien plus compréhensif. Cette fois-ci, ce n_'_était pas le cas.
Les tirets
Nous allons considérer trois types de tirets :
Le tiret court ou trait d’union (–)
Le tiret moyen/demi-cadratin (–)
Le tiret long/cadratin (—)
Le tiret court ou trait d’union est utilisé pour les mots composés ainsi que les coupures. Il ne possède pas d’espace avant ni après.
Le tiret moyen ou demi-cadratin permet d’insérer des commentaires. Celui-ci est entouré par deux espaces.
Le tiret long ou cadratin est utile pour les dialogues. Afin de s’en servir, il faut aller à la ligne et le coller au bord gauche de la page. Il a une espace derrière lui.
À faire :
—_Donnez-moi une seule raison_–_car je n’en trouve pas une_–_de ne pas tous vous punir ! s’exclama-t-il.
À ne pas faire :
—Donnez_-_moi une seule raison–car je n’en trouve pas une–de ne pas tous vous punir ! s’exclama_-_t_-_il.
Remarque : Il faut placer deux espaces insécables à l’intérieur des tirets moyens lorsque ceux-ci insèrent un commentaire. Autrement dit, il faut une espace insécable à droite du premier tiret et une à gauche du second. Ces espaces peuvent être fines ou non.
Les parenthèses
Dans la famille des parenthèses, il y a :
Les parenthèses (())
Les crochets ([])
Les accolades ({})
Ces signes nécessitent une espace à l’extérieur mais aucune à l’intérieur. Il faut donc uniquement placer une espace à gauche de la parenthèse ouvrante et à droite de la parenthèse fermante.
À faire :
Les élèves honteux_(ils avaient promis de réviser)_ne surent quoi répondre.
À ne pas faire :
Les élèves honteux(_ils avaient promis de réviser_)ne surent quoi répondre.
Les guillemets
En français, il est possible d’utiliser ces trois types de guillemets :
Les guillemets français (« »)
Les guillemets anglais (” ”)
Les apostrophes (‘ ‘)
Les guillemets français sont utilisés pour insérer une citation, introduire un discours direct, encadrer une expression inhabituelle ou souligner le sens spécial d’un mot. Ceux-ci ont une espace à l’extérieur et à l’intérieur.
Les guillemets anglais sont surtout utilisés pour les doubles citations, c’est-à-dire des citations à l’intérieur d’une citation. Ils possèdent une espace à l’extérieur, mais non à l’intérieur.
Les apostrophes, bien que rares, sont utilisées pour les triples citations. Elles suivent la même règle que les guillemets anglais.
À faire :
En effet, leurs résultats étaient_«_absolument_"incroyables"_»_selon le ton ironique de leur professeur.
À ne pas faire :
En effet, leurs résultats étaient«absolument"_incroyables_"»selon le ton ironique de leur professeur.
Remarque : Les guillemets français nécessitent une espace insécable à l’intérieur. Il faut donc placer une espace insécable à droite du guillemet ouvrant et à gauche du guillemet fermant. Word ne crée pas ces espaces automatiquement.
La barre oblique
La barre oblique, ou le slash, sert à indiquer un choix entre plusieurs expressions, écrire une abréviation ou faire une fraction.
Ce signe de ponctuation est relativement jeune. De ce fait, les règles de typographie à son sujet ne sont pas gravées dans le marbre.
La plupart du temps, la barre oblique ne possède pas d’espaces de part et d’autre. Toutefois, lorsqu’elle sépare deux expressions composées de plus d’un mot, il est considéré comme judicieux de placer une espace à sa gauche et à sa droite.
L’important est de faire attention à l’uniformité du texte. En effet, placer une barre oblique entourée d’espaces juste à côté d’une sans espaces est à éviter. Il est intéressant alors de choisir l’une de ces deux règles pour l’entièreté d’un document.
À faire :
Ce dernier à présent pouvait punir tous ses élèves et/ou les jeter par la fenêtre.
À ne pas faire :
Ce dernier à présent pouvait punir tous ses élèves et_/_ou les jeter par la fenêtre.
Remarque : Lorsqu’une barre oblique délimite deux expressions qui contiennent plus d’un mot, cette barre oblique doit être entourée d’espaces insécables.
Les symboles arithmétiques
Les symboles arithmétiques sont nombreux et varient des plus connus (+ – ×÷ =) aux plus cryptiques. Leur règle est simple : il faut placer une espace de chaque côté du signe.
À faire :
Au lieu de cela, il s'empara de la première copie de sa pile de contrôles et lu : « 5_+_7_×_4_=_48 ».
À ne pas faire :
Au lieu de cela, il s'empara de la première copie de sa pile de contrôles et lu : « 5+7×4=48 ».
Les unités de mesure
Les unités de mesures sont de même nombreuses. Les plus fréquemment utilisées au quotidien peuvent être le gramme (g), le mètre (m), le litre (L), la seconde (s), l’euro (€) et le degré Celsius (°C). Ces symboles sont toujours précédés et suivis d’une espace.
À faire :
Il s'arrêta 1_s_et recula d'1_m_en silence.
À ne pas faire :
Il s'arrêta 1s_et recula d'1m_en silence.
Remarque : Il est nécessaire de placer une espace insécable entre le nombre et son unité de mesure.
Les oppositions
Il peut arriver que les règles de typographie se contredisent et créent des oppositions. En effet, imaginez que vous souhaitiez placer un point après avoir fermé une parenthèse. Faut-il placer une espace entre les deux ? D’un côté, oui car la parenthèse possède une espace à l’extérieur ; mais d’un autre côté, non car le point est forcément collé au signe qui le précède. Et en ce qui concerne une apostrophe suivit de guillemets français ? L’apostrophe nous indique qu’il ne faut pas mettre d’espace entre les deux signes, mais les guillemets en requièrent une !
Lorsque vous vous retrouvez face à ce genre de paradoxes, le mieux à faire est de ne pas mettre d’espace, quand bien même cela va à l’encontre de quelque règle de typographie.
À faire :
Les élèves comprirent que l'« ardeur » de leur professeur avait pris fin (sans vraie raison).
À ne pas faire :
Les élèves comprirent que l'_« ardeur » de leur professeur avait pris fin (sans vraie raison)_.
Et en anglais ?
Les règles exposées tout au long de ce tutoriel représentent les règles françaises de typographie. En d’autres termes, chaque langage possède ses propres lois d’espacement. Cette section vise à montrer les différences qui existent en typographie entre le français et l’anglais. J’ai choisi cette langue car elle est fréquemment utilisée sur Internet.
Le point et la virguleéchangent de rôle dans les mathématiques anglaises. On écrira donc un nombre décimal avec un point, et tout nombre supérieur à 1 000 comportera des virgules tous les trois chiffres. Par exemple, on tapera en anglais : « 42,333.12 ». La règle reste toutefois inchangée : pas d’espace avant ni après.
Les signes de ponctuation complexes (: ; ! ?) ne sont pas précédés d’une espace. Autrement dit, ils sont collés au mot qui les précède.
Les guillemets français ne sont pas utilisés. Ainsi, dans un texte anglais seront uniquement tapés les guillemets anglais et les apostrophes, qui suivent les mêmes règles qu’en français.
En anglais, les dialogues ne se forment pas à partir de tirets cadratins, mais simplement de guillemets anglais mis à la ligne.
Les devises, c’est-à-dire la monnaie utilisée comme l’euro (€), le dollar ($), la livre sterling (£), etc., est placée devant le nombre et n’a pas d’espace après. On écrira donc, par exemple, « €10 » pour dix euros.
Hormis ces points, les règles anglaises et françaises sont similaires.
Un exemple de bonne typographie
Voici deux textes qui possèdent les mêmes mots mis côte à côte. Le premier suit les règles d’espacement en typographie, le second non.
Vous avez enfin décidé de débarquer et d’explorer le vaste monde de la programmation ? Dans ce cas, bienvenue chez les fous ! Entre cassage d’écran, arrachage de cheveux, ou encore saut par la fenêtre, vous vous rendrez vite compte comment ce vaste univers peut vous rendre maboule de 1001 manières. Ainsi, si vous souhaitez gagner du temps et être productif en programmation, ce tutoriel est fait pour vous !
En effet, il existe heureusement depuis quelques années des outils, se perfectionnant de mois en mois (voire même de jour en jour), permettant de vous faciliter la vie et surtout de gagner énormément de temps. La chose dont une développeuse ou un développeur a le plus besoin. L’un des outils ayant fait le plus parlé de lui ces dernières semaines est #ChatGPT, une intelligence artificielle capable de dialoguer avec nous en nous apportant des connaissances dans quasiment tous les domaines (mathématiques, langues, physique, etc.). Et donc dans ce tutoriel nous nous intéresseront à l’utilisation de #ChatGPT dans le domaine de la programmation en Python.
Une IA, c’est quoi ?
L’intelligence artificielle (IA) est une technologie qui permet à des machines de simuler l’intelligence humaine. Elle est utilisée dans de nombreux domaines, allant de la reconnaissance de la parole et de l’image à la robotique en passant par la finance et la santé.
Dans le domaine de la programmation, l’IA peut être utilisée pour automatiser certaines tâches de développement, comme la génération de code, la correction de bugs et la modification de scripts existants. Elle peut également être utilisée pour analyser et optimiser des algorithmes, ainsi que pour effectuer des tâches de test et de débogage.
Avantages de l’utilisation d’une IA
L’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) dans le domaine de la programmation peut apporter plusieurs avantages incroyables. Voici une ribambelle d’exemples :
L’automatisation de tâches fastidieuses : l’IA peut être utilisée pour automatiser certaines tâches de développement, comme la génération de code, la correction de bugs et la modification de scripts existants. Cela peut aider les développeurs à gagner du temps et à se concentrer sur des tâches plus complexes.
Amélioration de la qualité du code : l’IA peut être utilisée pour analyser et optimiser des algorithmes, ce qui peut aider à améliorer la qualité du code et à réduire les erreurs.
Test et débogage plus efficaces : l’IA peut être utilisée pour effectuer des tests et du débogage de manière plus rapide et plus précise, ce qui peut réduire le temps de développement.
Il est important de noter que l’utilisation de l’IA dans le domaine de la programmation nécessite un minimum de compétence en matière de développement. Une IA n’est pas (encore) parfaite et peut commettre des erreurs, il est donc nécessaire de toujours relire, vérifier, comprendre, et tester un code généré par une IA. Il est également important de veiller à utiliser l’IA de manière éthique et responsable. 😉
Comment accéder à l’IA
Nous utiliserons donc dans ce tutoriel ChatGPT, un chatbot qui utilise l’intelligence artificielle.
Le chat est disponible à tous gratuitement via l’URL suivante : https://chat.openai.com/auth/login. Voici la page dans laquelle vous accèderez :
Comme vous l’avez sans doute deviner, vous aurez besoin d’un compte OpenAI pour utiliser cette IA. Cliquez donc sur le bouton Sign up pour créer un compte, ou sur Log in si vous en avez déjà un.
Quand vous vous serez alors connecté avec succès, vous tomberez normalement nez à nez avec la page suivante, la page principale :
Cette page est assez simple au final, nous retrouvons en haut à gauche un bouton qui nous permet de créer d’autres chat. En effet, l’IA est capable de « retenir », réutiliser, et prendre en compte l’historique des précédents messages ! Donc si on discute avec elle sur des sujets précis, et que nous souhaitons ne pas mélanger des conversations, nous pouvons en ouvrir plusieurs qui seront indépendantes les unes des autres, il suffit donc d’appuyer sur ce bouton, intitulé New Chat.
Et puis en bas, nous retrouvons la barre où nous pourrons écrire et discuter avec l’IA. Tout ce qu’il y a de plus classique.
Utilisation de l’IA pour générer et modifier des scripts Python
L’IA peut être utilisé pour la génération, ou plutôt l’écriture de scripts Python.
Voici donc ci-dessous quelques exemples, assez époustouflants, où nous pouvons utiliser l’IA pour générer des scripts Python.
Mise en situation : Catastrophe, un DS de mathématiques demain et j’avais complètement oublié ! Il me faudrait un script Python qui puisse me calculer le discriminant ainsi que les racines d’une fonction, cela me ferait gagner beaucoup de temps…
Voyons de quoi est capable l’IA :
Aussitôt dit, aussitôt fait, l’IA nous pond une fonction python qui nous permet de calculer le discriminant et les racines d’une fonction du second degré.
Vous noterez qu’il est déjà possible d’obtenir le discriminant et les racines d’une fonction du second degré sans script python en sachant bien utiliser sa calculatrice. 😁
Essayons autre chose, un peu d’art pour voir ! J’aurai besoin d’une fonction me permettant de créer une étoile, à l’aide du module Turtle. Mais ajoutons un peu de piment à tout ça ! La fonction devra prendre en paramètre : La position x et y de l’étoile, la couleur de l’étoile, la taille de l’étoile, ainsi que le nombre de branches de l’étoile. 😈
Et maintenant, la question tant attendu : Est-ce que ça marche cette sorcellerie ? Et bien la meilleur façon de savoir, c’est de tester !
Voici donc le rendu sur Thonny :
Comme vous le voyez c’est très très impressionnant.
En expliquant clairement nos attentes, et nos contraintes. L’IA les respecte (ou en tout cas essaie) et nous offre un code documenté, et la plupart du temps optimisé.
À ce stade, la première question que nous pouvons nous poser est de savoir si le code généré par l’IA sort de ses mains, ou si elles il vient d’Internet. Pour le savoir, je vous laissez deviner, demandons lui simplement !
Ainsi, nous avons vu que l’IA était capable d’écrire du code python selon nos envies. Mais à l’évidence, elle peut aussi être utilisée pour modifier du code python. De la même manière, nous n’avons qu’à lui soumettre notre script à modifier, et lui demander ce qu’elle a à faire. Ensuite, laissez la magie opérer…
Voyons cela, voici le code suivant (qui n’a pas été écrit par l’IA) :
n = input("Choisissez un nombre.\t")
try:
n = int(n)
except ValueError:
exit("Ce n'est pas un nombre.")
is_prime = 1*(n > 1)
for i in range(2, n):
if n % i == 0:
is_prime = 0
break
print("Ce nombre est premier." if is_prime else "Ce nombre n'est pas premier.")
Grosso modo, ce script nous dit si un nombre n est premier ou non. Demandons lui de l’optimiser :
Effrayant ou époustouflant ? 🤔
Utilisation de l’IA pour corriger des scripts Python
Bon jusqu’ici, nous n’avons pas été déçu. Voyons de quoi elle vaut dans la correction de scripts python. Voici ci-dessous un exemple concret d’utilisation pour corriger un script Python.
Ci-dessous, un script Python censé afficher la table de 5 :
table = 5
print("Table de" + table + ":")
for i in range(11):
print("5x" + i + " = " + 5*i)
Malheureusement, je n’arrive à lancer le script et je ne comprends pas l’erreur : TypeError: can only concatenate str (not "int") to str
Demandons donc à l’IA. Enfin, nous allons seulement lui envoyer notre bout de code tel quel et observer ce qu’il se passe :
Vous avez bien compris, l’IA a deviné par elle même que je voulais qu’elle corrige mon code en python, en remarquant qu’il y avait des erreurs dans celui-ci.
Nonobstant, en cas d’incompréhension d’une erreur, je conseille d’abord de demander à l’IA ce que signifie l’erreur, et d’essayer de la corriger sans son aide. L’IA est capable d’expliquer très clairement un concept, avec des exemples et possiblement des formulations différentes :
Comme vous le voyez, c’est assez spectaculaire, l’IA nous explique explicitement l’erreur, et ajoute des exemples tout au long de son explication. En l’occurrence comme vous l’avez vu, c’était un problème de concaténation.
Conclusion
En conclusion, l’utilisation d’une intelligence artificielle (IA) peut être un outil très utile pour aider les développeurs Python à générer, corriger et modifier leur code. Il existe de nombreux outils et bibliothèques qui permettent d’intégrer l’IA dans le développement de logiciels, comme nous l’avons vu précédemment il y a ChatGPT, mais il existe aussi des alternatives tout aussi époustouflantes, comme GitHub Copilot.
En utilisant ces outils, les développeurs peuvent gagner du temps et de l’efficacité dans leur travail quotidien et se concentrer sur des tâches plus complexes. Cependant, il est important de noter qu’il est toujours important de comprendre et de maîtriser les principes de base du développement de logiciels, même si l’on utilise l’IA pour automatiser certaines tâches.
Vous l’aurez compris, pour ne pas finir à l’hôpital des fous, il est toujours sympa d’avoir un petit assistant sous la main !
De nos jours retenir tous nos mots de passe devient de plus en plus compliqué tout comme les sécuriser lorsqu’on les a enregistrés afin d’éviter qu’ils ne soient volés. Pour cela, je vous propose un tutoriel pour retrouver ces mots de passe sur Firefox ,Google Chrome ou Edge et les protéger en limitant les risques de vols et d’usurpation d’identité.
Retrouver ses mots de passe sur Firefox
Sur votre ordinateur, ouvrez Firefox puis cliquez sur le menu en haut à droite représenté par trois barres horizontales
Allez sur Mots de passe afin d’accéder à tous les mots de passe enregistrés
Maintenant que vous y êtes, vous avez à votre gauche les sites et identifiants enregistrés et vous avez la possibilité d’accéder aux mots de passe et adresses des sites. Pour accéder à votre mot de passe, il suffit seulement de cliquer sur l’oeil
Retrouver ses mots de passe sur Google Chrome
Comme sur Firefox, ouvrez l’onglet chrome et accéder au menu représenté par trois points en haut à droite
Par la suite allez dans Paramètre
Après y avoir accédé, dirigez-vous vers la section Saisie automatique et cliquez sur Gestionnaire de mots de passe
Vous pouvez maintenant accéder à vos identifiants et mots de passe déjà enregistrés dans Chrome en cliquant sur l’oeil
Attention, contrairement à Firefox, Google Chrome possède une sécurité qui avant d’afficher le mot de passe vous demande votre identifiant et votre code d’ordinateur
Retrouver ses mots de passe dans Edge
Enfin nous passons au dernier site afin de retrouver les mots de passe enregistré Miscrosoft Edge!
Comme les deux autres, il faut se rendre sur le menu représenté par 3 petits points
Vous recherchez comme dans Google Chrome la rubrique Paramètres
Une nouvelle page s’ouvre. Il vous faut sélectionner Profils puis dans la partie centrale Mots de passe
Vous pouvez maintenant accéder aux sites Web avec pour chacun un identifiant, un mot de passe et l’intégrité de celui-ci (permet d’évaluer sa vulnérabilité)
Enfin, pour afficher votre mot de passe il vous suffira d’appuyer sur l’icône en forme d’oeil où par la suite une fenêtre s’affichera en vous demandant votre identifiant et votre mot de passe de votre ordinateur comme cela se passe pour Google chrome
Protéger ses mots de passe sur Firefox
Comme on a pu le remarquer, Google Chrome et Microsoft Edge possède déjà une protection de mots de passe lorsque l’on clique sur l’oeil afin de limiter le vol de mots de passe et l’usurpation d’identité. Firefox quant à lui ne possède pas cela directements mais permet tout de même de protéger les mots de passe.
Comme pour récupérer un mot de passe, vous devez refaire l’étape:
accéder au menu
Après cela, ne sélectionnez pas Mots de passe mais Paramètres
Une fois que vous êtes sur la page, dans le menu de gauche, cliquez sur Vie privée et sécurité puis faites défiler avec votre souri pour arriver à la section Identifiant et mots de passe. Une fois là il vous suffit de sélectionner Utiliser un mot de passe principal
Vous devrez par la suite définir un mot de passe de base (principal) afin d’accéder et de protéger ensuite les mots de passe spécifiques enregistrés que vous validerez par OK
Une fois cela réalisé vous pouvez le tester
accédez au menu
cliquez sur mot de passe
et normalement, Firefox vous créera une fenêtre qui vous demandera votre mot de passe principal afin d’accéder à ceux que vous voulez
Que vous souhaitiez monter une interview, mixer vos réalisations musicales, ajouter une ambiance sonore à un récit ou même créer votre propre sonnerie de téléphone, vous serez amené à utiliser un logiciel de montage audio. Il en existe de très nombreux, payants ou gratuits, avec plus ou moins de fonctionnalités. Le logiciel Audacity que je vais utiliser et vous présenter à travers ce tutoriel est un des outils de montage le plus utilisé car il regroupe de nombreuses qualités : c’est un logiciel gratuit, disponible sur tous les systèmes d’exploitation (Windows, Mac OS, Linux) qui est à la fois simple d’accès et très complet ce qui en fait un outils prisé par les professionnels.
Plutôt que de faire une présentation d’Audacity au travers de toutes ses fonctionnalités ce qui donnerait lieu à un tutoriel aussi long que fastidieux au vu de la richesse du logiciel, j’ai préféré vous présenter les principales fonctionnalités à travers une mise en situation : je vais vous montrer comment réaliser un podcast simple, constitué d’une introduction musicale suivie du contenu du podcast, de la voix qui aura été au préalable enregistrée à l’aide d’Audacity, et qui se conclura par un autre morceau musical.
1. Présentation rapide de l’interface d’Audacity
Voici comment se présente l’interface graphique d’Audacity :
Cette interface se divise en trois parties :
un menu constitué des différents onglets donnant accès aux nombreuses fonctionnalités du logiciel par des menus déroulants
les barres d’outils (partie encadrée en bleu)
le plan de travail ou s’affichent les différentes pistes audio nécessaires au projet (partie encadrée en rouge).
Parmi les nombreuses barres d’outils détaillées ci-dessous, il y a :
en rouge : le lecteur avec les commandes classiques de lecture, pause, enregistrement,…
en jaune : la selection du nombre de canaux : 1=mono, 2=stéréo. Il est possible de choisir jusqu’à 32 canaux différents pour une même piste
en bleu : la barre des commandes de bases telles que « couper », « copier », « coller », « effacer », fonctions de zoom
en vert : la boite à outils qui regroupe les outils de sélection (pour sélectionner une portion de la piste), l’outil de retouche, l’outil d’enveloppe sur lequel je reviendrai plus tard
en mauve : le variateur de vitesse de lecture
les vu-mètres qui montrent (barres horizontales vertes) le niveau des signaux audio d’entrée/sortie
le réglage des niveaux sonores d’entrée/sortie (au-dessus du cadre bleu)
Enfin le plan de travail est constitué des différentes pistes audio nécessaires au projet. Voici à quoi ressemble une piste audio (mono).
La piste est elle même divisée en deux parties :
une large fenêtre dans laquelle apparaît la courbe (en bleu) du signal sonore (il y a autant de courbes que de canaux)
à droite de ce signal, une fenêtre regroupant des informations sur ce signal telles que le nombre de canaux, la fréquence d’échantillonnage (44,1 kHz par défaut ce qui correspond à un signal HiFi), des curseurs permettant de régler le niveau sonore et la balance entre la droite et la gauche c’est-à-dire la répartition entre la sortie droite et la sortie gauche (même si le signal est mono) et des options permettant de rendre la piste muette (« silencer ») ou au contraire de rendre toutes les autres muettes (« solo ») lors de la lecture simultanée de plusieurs pistes.
2. Enregistrement d’une voix avec Audacity
Audacity permet d’enregistrer un signal sonore en mono ou en stéréo. La stéréo est utile lorsque le champ sonore à capter est large, en pleine nature, ou que l’on souhaite capturer l’ambiance d’une salle en même temps que le spectacle qui s’y déroule. Dans le cas de la captation d’une simple voix (mon cas ici) un enregistrement en mono est suffisant. Il faut savoir que lors de l’exportation du projet finalisé celui-ci sera de toute façon automatiquement converti en stéréo. Pour procéder à l’enregistrement rien de plus simple :
on sélectionne le nombre de canaux enregistrement (mono/stéréo) : mono dans mon cas
on clique sur la touche d’enregistrement (le bouton avec un point rouge)
une fois l’enregistrement terminé on clique sur la touche d’arrêt (le bouton avec un carré noir).
Nous obtenons la piste suivante d’une durée d’environ 34 secondes :
a. « Silencer » le début de l’enregistrement
Avant d’utiliser cet enregistrement en l’état, il faut procéder à quelle retouches dans le but d’en améliorer la qualité et de corriger d’éventuelles erreurs de diction.
Pour commencer zoomons sur le début du signal. Pour cela, il suffit de placer le curseur dans la zone que l’on souhaite agrandir (ici à 2 sec.) et de cliquer ce qui fera apparaître un trait noir vertical traversant la piste. En cliquant sur l’icone « zoom avant », le zoom (horizontal) s’effectuera autour de cette zone.
On voit que durant les deux premières secondes bien qu’elles correspondent à du silence, la courbe n’est pas parfaitement plate et que donc un léger bruit de fond subsiste. Cela est d’autant plus visible si l’on effectue un zoom vertical. Pour cela, il suffit de placer le curseur de la souris au niveau du 0.0 à droite de la piste audio. Celui-ci se transformera en loupe et en jouant sur la molette de la souris on pourra zoomer et dézoomer à volonté.
On voit clairement que la portion du signal située au dessus de la flèche verte est bruitée. Nous allons donc la remplacer par du silence. Cette opération se fait en deux temps. Tout d’abord, il faut sélectionner la partie à transformer. Pour cela, on positionne le curseur au début de la portion, puis on clique (pour tout le tutoriel « cliquer = cliquer sur le bouton droit ») et en maintenant le bouton appuyé, on sélectionne en se déplaçant vers la droite le morceau qui nous intéresse qui va alors prendre une teinte bleu clair. Pour terminer la sélection, il suffit de relâcher le clic de la souris. La deuxième étape consiste alors à cliquer sur l’icône « silencer » (encadré ci-dessous) pour transformer la sélection en silence comme on peut le constater sur les deux captures suivantes.
ce qui nous donne, après avoir utiliser la commande « silencer la sélection » (encadrée en rouge) la piste ci-dessous :
b. Corriger une erreur de diction
Lors de cet enregistrement, j’ai (volontairement) commis une erreur de diction en me trompant sur un mot , erreur que j’ai corrigée aussitôt en reprenant correctement cette fois le mot et en poursuivant ma lecture. Il est d’ailleurs conseillé lorsqu’on commet une erreur de ce type de se corriger et de continuer son enregistrement plutôt que de tout arrêter et tout reprendre à zéro ce qui peut être une source de stress d’autant plus importante que l’enregistrement est long. Audacity est un logiciel qui permet de rectifier après coup assez facilement ce type d’erreur comme nous allons le voir.
La première étape consiste à repérer la portion du signal dans laquelle se situe l’erreur. Pour cela, après une première écoute qui va nous permettre de repérer assez vaguement le passage en question, on va pouvoir sélectionner dans la réglette temporelle (barre graduée légèrement bleutée située juste au dessus de la piste) une fenêtre en procédant de la même manière que lorsqu’on a sélectionné un morceau de la piste sauf que cette fois-ci, il faut placer le curseur sur cette réglette. Une fois la fenêtre temporelle sélectionnée, celle-ci sera relue en boucle (il ne sera plus nécessaire de réécouter à chaque fois toute la piste. Ainsi en ajustant les bord de cette fenêtre temporelle, il devient facile d’isoler avec précision le passage qui nous intéresse (partie de la piste encadrée en rouge ci-dessous. Le flèche rouge indique la fenêtre temporelle correspondante.)
Pour supprimer ce passage, il faut commencer par le sélectionner mais il faut éviter d’effectuer un simple « couper » ou un « supprimer et raccorder » car au niveau du raccord il subsistera un petit bruit (il y a peu de chance que le raccord se fasse parfaitement et soit inaudible). Pour cela quelques manipulations sont nécessaires. Dans un premier temps, il faut lancer la commande « supprimer-séparer »
ce qui va avoir pour effet de supprimer le morceau désiré et de créer un espace vide à la place et de couper la piste en deux parties (on parle aussi de clips) distinctes.
L’étape suivante consiste à rapprocher les deux clips sans pour autant les coller. Pour cela, on va déplacer le clip de droite vers la gauche. Ce déplacement temporel aussi appelé ajustement temporel est une opération très commune et très simple qu’il est essentiel de maîtriser. Il suffit de placer le curseur sur la partie supérieur de la piste (zone plus claire que le reste de la piste) ; celui-ci prend alors la forme d’une main qui permet d’un simple double-clic de la souris de saisir la piste et de la déplacer horizontalement à sa guise . Dans notre cas, nous allons faire glisser cette piste pour la placer à 0,2 sec de la piste gauche. Pour les opérations suivantes, il peut-être nécessaire d’effectuer un zoom horizontal (x2 suffit) autour de la fin du clip de gauche et du début du clip de droite afin d’avoir plus de détails et ainsi d’être plus précis dans nos futures manipulations. Pour rendre la transition entre les deux morceaux parfaitement inaudible, on va sélectionner un cours laps de temps (quelques dixièmes de seconde) avant la fin de la piste de gauche puis réaliser un « fondu en fermeture » comme indiqué ci-dessous.
Puis de la même manière, on selectionne un cours pas de temps au début de la piste de droite et on réalise un « fondu en ouverture » :
Le but du fondu en fermeture c’est de diminuer la signal sonore jusqu’au silence (l’inverse pour le fondu en ouverture). Par ces quelques manipulations, nous avons supprimé notre erreur et récupéré une piste audio sans raccord audible.
c. Supprimer le bruit de fond
Un autre problème récurrent lors d’un enregistrement est qui peut entâcher la qualité du signal sonore est la présence de bruit de fond. Celui-ci peut avoir plusieurs origines (qui peuvent s’additionner) : matériel de captation de mauvaise qualité ou défectueux, bruit environnant comme le ventilateur du PC. Ce bruit, même léger, peut-être gênant et altérer la qualité de l’enregistrement surtout pendant les périodes de silence ou il sera le plus perceptible. Heureusement Audacity dispose d’une commande qui permet de réduire significativement ce bruit. La tâche est assez simple. Tout d’abord il faut sélectionner un morceau de la piste ne contenant que ce bruit de fond, c’est à dire une partie « silencieuse » (1 ou 2 sec. suffisent).
Ensuite, il faut cliquer sur l’onglet « Effets » puis dans le menu déroulant sélectionner « réduction de bruit ». La fenêtre suivante s’ouvrira :
cliquer alors sur « Prendre le profil du bruit » ce qui permettra à Audacity de savoir ce qu’il devra supprimer.
Retourner ensuite sur la piste et sélectionner cette fois-ci la totalité de la piste (placer le curseur à l’intérieur de la piste de double-cliquer : la totalité de la piste sera colorée en bleu ciel) puis recommencer l’opération précédente : Effets>Réduction de bruit et la fenêtre précédente s’ouvrira à nouveau. Cette fois-ci il faudra cliquer sur le bouton valider :
La totalité de la piste a été débruitée : même s’il n’a pas complètement disparu, le bruit a été significativement réduit comme on peut le constater sur le signal sonore ci-dessous que l’on peut comparer avec celui avant débruitage affiché plus haut.
3. Mixage de la musique d’introduction et du début du podcast
La plupart de podcasteurs débutent leur création par une brève introduction musicale (aussi appelée « jingle ») qui est en quelque sorte la signature du podcasteur. Pour ne pas déroger à la règle, nous allons ajouter en début de notre enregistrement vocal effectué précédemment, un jingle. La première étape va consister à importer un fichier musical (pour cette illustration, j’ai utilisé une musique libre droit).
a. Importation de la musique d’introduction
Le format du fichier importe peu car Audacity reconnait la plupart des formats audio. L’importation est une opération très simple qui s’effectue en quelques clics de souris comme le montre la capture ci-dessous :
Une fenêtre s’ouvre sur le répertoire dans lequel se trouve le fichier que l’on souhaite importer, dans mon cas le fichier Moon-Wisper.mp3
Une nouvelle piste constituée de deux sous-pistes (car le fichier importé est en stéréo) apparaît sous la piste de notre enregistrement : elle correspond à notre fichier musical.
Il est important de noter qu’il n’y a pas de différence à travailler sur une piste mono ou stéréo puisqu’en stéréo toute opération effectuée sur une des deux sous-pistes se répercutera automatiquement et de manière identique sur l’autre sous-piste.
b. Différentes stratégies de mixage
En présence de plusieurs pistes audio, toutes les pistes sont lues simultanément. Comme je souhaite débuter mon podcast uniquement par une introduction musicale de quelques secondes, je vais décaler la piste vocale (qui correspond à l’enregistrement effectué en première partie) de 10 sec pour que sa lecture ne commence que 10 sec plus tard. Pour cela, j’effectue un ajustement temporel comme expliqué dans la section 2.b.
A ce stade, si je lance la lecture à partir du début, on entend bien uniquement de la musique les dix premières secondes puis au-delà vient s’ajouter la voix ce qui bien sûr n’est pas satisfaisant. Il existe (au moins) trois façons de réussir une bonne transition entre le jingle initial et le début du podcast.
On fait commencer la partie vocale juste après la fin du jingle
La fin du jingle et le début du podcast se superposent quelques secondes avant que la musique ne s’arrête complètement.
la troisième approche est similaire à la précédente sauf que la durée ou les deux pistes vont se superposer est un peu plus longue et que le mixage entre voix et musique est plus travaillé : on diminue le volume de la musique durant les moments de parole pour la remettre à son niveau nominal pendant les périodes de silence.
Dans les trois cas, pour que cette transition soit la plus harmonieuse possible et éviter un arrêt brutal de la partie musicale, on va être amené à utiliser l’outils d’enveloppe. Pour mettre en oeuvre cet outil, il suffit de cliquer sur l’icone encadré ci-dessous
Aussitôt chacune des pistes est encadrée par deux lignes bleues représentant les seuils minimal et maximal du volume sonore de chacune d’elles.
En positionnant le curseur sur la piste qui nous intéresse celui-ci prend la forme d’une paire de petits triangles qui se superposent. En cliquant sur la souris, vont apparaître deux paires de petits carrés blancs (un sur chacune des deux lignes bleues puis deux situés à la jonction des parties grises claires/foncées). Il est possible de déplacer verticalement ces carrés ce qui va avoir pour effet de modifier la courbure des lignes bleues et ainsi de modifier le volume sonore de la piste à partir de la position de ces carrés. Ces carrés jouent le rôle de balises que l’on peut poser à plusieurs endroits de la piste pour moduler sur une portion voire la totalité de la piste le volume sonore comme on peut le voir ci-dessous.
On peut se poser la question du rôle de la paire de carrées intérieurs. On a vu que les carrés extérieurs permettaient en courbant les lignes bleues de modifier le volume sonore qui ne peut dépasser le volume nominal. Le déplacement de ces carrés entraîne celui des carrés intérieurs. Néanmoins, il est possible de déplacer directement ces derniers et de les positionner au dessus de leur position initiale et ainsi d’augmenter le volume qui du coup sera plus élevé que le niveau nominal. On dispose donc de deux leviers nous permettant de diminuer le son (les carrés extérieurs) ou de l’augmenter (les carrés intérieurs).
Les mixages 1. et 2. étant assez proches, je vais directement présenté le second. Sur les 10 sec qui précèdent le début de la piste vocale, je vais conserver le niveau sonore musical durant les 8 premières secondes puis à partir de là diminuer celui-ci progressivement jusqu’à le réduire au silence à la quatorzième seconde soit 4 sec après le début du podcast. Pour cela, en utilisant l’outils d’enveloppe présenté juste avant, j’obtiens un simple fondu en fermeture de la piste musicale qui se termine après 14 sec.
Le mixage 3. toujours réalisé à l’aide de l’outils d’enveloppe permet d’alterner pendant les premières secondes du podcast la partie musicale et la partie vocale.
4. Mixage de la fin du podcast et du jingle final
Dans la dernière partie de ce tutoriel, nous allons voir comment terminer notre podcast grâce à l’ajout d’une musique finale. La démarche étant très similaire à l’ajout d’une introduction musicale présentée en détail dans la section précédente, je ne vais pas refaire un présentation aussi détaillée. Pour commencer, j’importe le fichier contenant le morceau qui va servir de jingle final. Même si, comme pour l’introduction musicale, on peut imaginer plusieurs transitions, je vais ici limiter mon choix à un simple fondu en ouverture (note : Audacity possède une fonction « fondu en ouverture » que nous avons utilisée dans la première section mais qui effectue un fondu très basique et moins poussé que ceux que nous avons et allons effectuer). Tout d’abord, je déplace (par ajustement temporel) le jingle final jusqu’à la fin de la piste vocale. Plus précisément, je place le début du jingle 3 sec avant la fin de l’enregistrement vocal.
Ensuite, à l’aide de l’outil d’enveloppe, en partant de zéro j’augmente progressivement le volume de la partie musicale jusqu’à atteindre le volume nominal 3 sec plus tard puis je laisse à ce niveau pendant 5 sec et enfin pour ne pas arrêter brutalement le jingle, j’effectue un dernier fondu en fermeture, toujours à l’aide de l’outils d’enveloppe et je laisse une période de silence de 2 sec au cas ou l’auditeur enchaîne avec la lecture d’un autre enregistrement.
En mettant bout à bout toutes les parties, voici le podcast dans son intégralité :
Voilà notre podcast terminé ! Il ne reste plus qu’à le convertir en un format reconnu par un lecteur audio comme le MP3. Audacity permet la sauvegarde d’un projet avec un format (.aup3) qui est propre au logiciel et qui permet d’y retravailler ultérieurement. Cependant ce format n’est pas reconnu et ne peut donc être lu par d’autres applications. Pour rendre le projet lisible par un lecteur audio, il faut le convertir (ou l’exporter) dans un format audio standard. Audacity permet l’exportation sous de nombreux formats :
certains garantissent une qualité (au moins) CD mais produisent des fichiers volumineux, d’autres sont des formats compressés avec une qualité audio moindre mais qui vont créer des fichiers de plus petite taille.
5. En conclusion
Audacity est un logiciel que j’ai découvert en cours de musique au collège. Depuis, je l’utilise occasionnellement pour faire du mixage audio. Lorsque j’ai dû me familiariser avec ce logiciel, j’ai trouvé de nombreux tutoriels sur internet mais tous ne faisaient que la description (plus ou moins détaillée) des différentes fonctionnalités, ce qui rendait leur lecture peu agréable. J’ai tenté de réaliser ici le tutoriel que j’aurais aimé lire pour pouvoir utiliser rapidement cet outils sans forcément passer par la lecture de fonctionnalités dont je n’aurais peut-être jamais l’utilité. Une mise en situation simple, juste pour démarrer et se familiariser avec les fonctions de base …
Nous pensons souvent que le logiciel de mathématiques GeoGebra permet uniquement de construire des figures géométriques en 2D ou en 3D. Mais en réalité, GeoGebra permet de faire beaucoup plus de choses… Dans ce tutoriel, je vous propose de découvrir l’une des autres fonctionnalités de GeoGebra : le module Calcul formel, avec l’application GeoGebra Classique 6. Ce module vous permettra de résoudre des équations, factoriser et développer des expressions…
Dans ce tutoriel, j’utilise le module Calcul formel avec l’application GeoGebra Classique 6, mais il est également possible de l’utiliser avec une autre application GeoGebra. Dans ce cas, ce tutoriel pourra vous éclairer sur certains points.
Installer et lancer l’application GeoGebra Classique 6
Pour ouvrir le module Calcul formel, il faut, au préalable, lancer l’application GeoGebra Classique 6. Celle-ci est gratuite, utilisable et téléchargeable hors ligne sur Windows, iOS, Mac, Android et Linux.
Pour accéder à l’application GeoGebra Classique 6, cliquez sur ce lien. Vous devriez arriver sur la page suivante du logiciel GeoGebra (l’application qui nous intéresse est entourée en rouge) :
Une fois arrivé à cette page, vous avez 2 possibilités : soit vous décidez de télécharger l’application en cliquant sur le bouton Télécharger (1). Une fois que vous l’avez téléchargée, ouvrez l’application. Sinon, vous pouvez aussi choisir de lancer l’application dans votre navigateur, sans la télécharger, en cliquant sur le bouton Lancer (2). L’application va alors s’ouvrir dans un nouvel onglet de votre navigateur.
Dans les deux cas, la fenêtre ouverte est la même et doit être celle ci-dessous.
Ouvrir le module Calcul formel
Une fois l’application GeoGebra Classique 6 ouverte, vous arrivez donc sur la fenêtre d’accueil. Pour ouvrir le module Calcul formel de l’application, il vous suffit de cliquer sur Calcul formel (entouré et indiqué par une flèche en rouge ci-dessous) dans la petite fenêtre à droite de votre écran, qui propose différents modules :
Si cette petite fenêtre venait à disparaitre (un seul clic suffit pour ça), allez dans le menu, en haut à droite (1), puis une fois le menu ouvert, cliquez sur Associations (2) et enfin sur Calcul formel (3). Les étapes sont ci-dessous :
Une fois que vous avez cliqué sur Calcul formel, la fenêtre suivante devrait ainsi s’ouvrir, indiquant que vous êtes arrivés sur le module Calcul formel de l’application :
Quelques outils de Calcul formel à connaître
Une fois que vous êtes arrivés sur la fenêtre du module Calcul formel, vous remarquerez la présence en haut à gauche d’une barre d’outils présentant les différents outils de la fenêtre :
Parmi les différents outils proposés, nous allons nous intéresser tout d’abord aux outils Evaluer (1), Numérique (2), Conserver la saisie (3) et Effacer (4).
L’outil Evaluer (1) permet d’évaluer une expression, ou autre, de manière exacte. Il est déjà sélectionné automatiquement à l’ouverture de la fenêtre.
Au contraire, l’outil Numérique (2) permet d’évaluer une expression (ou autre) de manière approchée. Il donnera donc des résultats approchés.
Voici un exemple pour vous montrer la différence entre les outils Evaluer et Numérique :
Conseil : Je vous conseille donc fortement de laisser l’outil Evaluer (1), notamment pour résoudre des équations. Si vous voulez avoir une solution approchée, dans ce cas sélectionnez l’outil Numérique (2).
L’outil Conserver la saisie (3) vous permet de conserver l’expression saisie. Cet outil peut être utilisé dans le cas où l’on voudrait réutiliser la saisie pour la suite.
Voici un exemple pour faire la différence entre Conserver la saisie et Evaluer :
Enfin, l’outil Effacer (4), permet d’effacer une saisie ou une erreur, en sélectionnant l’objet que l’on souhaite supprimer.
Factoriser des expressions
Commençons par l’outil Factoriser, qui permet de factoriser des expressions.
Rentrez tout d’abord dans le champ de saisie l’expression que vous souhaitez développer (1). Notez que GeoGebra a simplifié l’expression que j’ai mise en exemple (même si cela n’a aucune importance). Ensuite, sélectionnez la case à gauche de la première saisie où est indiqué son numéro et qui doit devenir bleu foncé (2). Puis, cliquez sur l’outil Factoriser (3) pour factoriser l’expression.
Enfin, GeoGebra vous renvoie la forme factorisée de l’expression rentrée (4). Attention cependant : si GeoGebra arrive à bien factoriser tous types d’expressions, il a énormément de mal à factoriser des polynômes.
Développer des expressions
Passons maintenant à l’outil Développer, permettant de développer des expressions. Prenons pour exemple l’expression (2x+1)(21x-72), que l’on cherche à développer. Entrez cette expression dans le champ de saisie (1), puis appuyez sur l’outil Développer (2).
La forme développée de l’expression apparaît alors (3). Notez qu’avec des expressions comme celle-ci, en passant au champ de saisie suivant, GeoGebra développe tout seul l’expression.
Substituer des expressions
L’outil Substituer, permet, quant à lui, de remplacer une expression ou une variable par une autre (donc de la substituer😉)
Rentrez dans le champ de saisie l’expression que vous souhaitez substituer (1). Par exemple, ici, l’expression 3x+5. Puis, sélectionnez le champ de saisie et cliquez sur l’outil Substituer (2).
Une fenêtre va alors s’ouvrir (ci-contre). Dans cette fenêtre, on vous demande de choisir l’expression ou la variable que vous souhaitez modifier (Ancienne expression) et par quelle expression ou variable vous désirez la remplacer (Nouvelle expression). Ici, j’ai choisi de remplacer la variable x par 2a. Enfin, pour valider, choisissez le mode de substitution : Evaluer (A), Numérique (B) ou Substituer (C). Dans l’exemple ci-contre, j’ai validé en cliquant sur Evaluer (A).
Remarquez qu’après la validation, la variable x a été remplacée par 2a et donc que l’expression a changé. Ce résultat aurait été le même en cliquant sur Numérique (B) mais aurait changé si j’avais remplacé x par une fraction (il l’aurait alors arrondi). Si j’avais choisi de valider en cliquant sur Substituer (C), le résultat, avec l’exemple, aurait été 3(2a)+5.
Résoudre des équations, des inéquations et des systèmes d’équations
Nous allons maintenant voir comment résoudre des équations, des inéquations ainsi que des systèmes d’équations à plusieurs inconnues avec le module Calcul formel de GeoGebra Classique 6.
Commençons par la résolution d’une seule équation. Pour cela, j’ai pris pour exemple l’équation 7x2+42x-21.
Même protocole que précédemment : rentrez l’équation que vous souhaitez résoudre dans le champ de saisie puis sélectionnez le. Arrivé là, vous avez alors deux manières de résoudre l’équation : soit de manière exacte (GeoGebra renvoie la valeur exacte de la solution) avec l’outil Résoudre (1), ou de manière approchée (GeoGebra renvoie alors une valeur approchée avec 2 chiffres après la virgule) avec l’outil Résoudre numériquement (2).
Une fois que vous avez cliqué sur l’un de ces deux outils, GeoGebra renvoie la ou les solutions sous la forme d’un ensemble (avec les accolades). Vous remarquerez, ci-contre, que les solutions de l’équation, obtenues avec l’outil Résoudre (1) sont les solutions exactes, au contraire de celles obtenues avec l’outil Résoudre numériquement (2).
Dans l’exemple ci-dessus, j’ai résolu l’équation 7x2 + 42x – 21 = 0. Mais si vous voulez résoudre une égalité différente, il vous suffit simplement de réécrire votre égalité dans le champ de saisie. La méthode vue pour résoudre des équations fonctionne également très bien pour résoudre des inéquations (pensez juste à remplacer le = par < ; ≤ ; >ou ≥). Petits exemples ci-dessous :
Pour résoudre un système d’équations à plusieurs inconnues, il s’agit du même principe, à la seule différence que cette fois-ci, il y aura plusieurs équations à résoudre en même temps. Alors, comment faire ?
Vous pouvez tout d’abord écrire les différentes équations du système puis sélectionner les champs de saisie, pour enfin appuyer sur l’outil Résoudre (entouré en rouge).
Ou bien, rentrez dans les champs de saisie les équations du système, puis dans le champ de saisie suivant, rentrez, entre accolades, les numéros des lignes des équations du système. Ceux-ci doivent être précédés de $ et séparés par une virgule (1). Enfin, appuyez sur l’outil Résoudre (2).
GeoGebra nous renvoie alors les valeurs des inconnues du système.
Et vous pouvez, grâce à cette méthode, résoudre des systèmes avec un grand nombre d’inconnues et d’équations. Exemple ci-contre :
Dérivé et primitive
Avec le module Calcul formel de GeoGebra, on peut également faire de la dérivation et calculer des intégrales.
Afin de trouver la dérivé d’une fonction, il faut tout d’abord la définir. Pour ce faire, rentrez dans le champ de saisie l’expression de la fonction (uniquement).
Ensuite, cliquez sur le rond blanc à gauche de l’expression saisie (indiqué par la flèche rouge ci-dessus). Il permet d’afficher la fonction sur le graphique à côté, ainsi que lui donner un nom. Résultat ci-dessous :
Enfin, appuyez sur l’outil Dérivé (1). La fonction dérivée apparaît alors (2). Elle a également été nommée automatiquement.
Le module Calcul formel permet aussi de calculer des primitives ou des intégrales. Rentrez alors l’expression dont vous cherchez la primitive (1), puis cliquez sur l’outil Primitive (2).
L’intégrale de l’expression nous est ensuite renvoyée (3). On peut, de plus, utiliser d’autres variables que x, et en même temps.
Sauvegarder son travail
Vous avez réalisé des calculs avec le module Calcul formel de GeoGebra, et vous désirez les conserver. Pour les sauvegarder, c’est simple : il suffit de cliquer sur les trois barres noires horizontales (qui correspondent au menu) en haut à droite de la fenêtre (1). Ensuite, dans le menu qui s’affiche, cliquez sur Sauvegarder (2).
Enfin, une fenêtre s’affiche vous demandant de vous connecter à votre compte GeoGebra pour sauvegarder votre travail. Connectez-vous à votre compte ou créez-en un (3). Sinon, cliquez sur Continuer sans sauvegarder (4) pour enregistrer votre travail ailleurs que sur GeoGebra.
Conclusion
En conclusion, le module Calcul formel de GeoGebra (Classique 6😁) permet de développer, factoriser et substituer des expressions, ainsi que résoudre des équations, inéquations et systèmes d’équations, mais également dériver une fonction ou trouver l’intégrale d’une expression. Ce module peut vous être utile, notamment si vous avez des difficultés en calcul formel, afin de vous entraîner et vous rendre plus accessible des choses qui peuvent vous sembler compliquées, tout en utilisant peu d’outils.
Dans ce tutoriel je vais vous expliquer clairement le mode de fonctionnement de l’une des intelligences artificielle les plus développer actuellement présente dans le milieu informatique, qui vous permettra de devenir un véritable artiste peintre en quelques minutes.
Cette innovation est menée par l’entreprise Nvidia qui est entre autres reconnue mondialement pour ces cartes graphiques. En effet le jeudi 24 juin 2021 l’entreprise publie officiellement la bêta public de son intelligence artificielle. Celle-ci est de nos jours encore en constantes évolutions, c’est-à-dire que l’on a accès à seulement une petite partie des fonctionnalités de l’application définitives. Elle a donc pour but de « vulgariser » afin de rendre accessible au monde entier le talent d’artiste peintre. Cependant elle peut aussi convenir aux artistes afin de les aider à imaginer une première version de leur travail.
La création de l’intelligence artificielle
Cette avancée majeure dans le monde des IA est en partie grâce aux développeurs de chez Nvidia qui ont fait analyser des millions d’images de paysages existant de notre monde, afin qu’elle puisse en créer une de toutes pièces, tout en gardant une vision vraisemblable.
Conditions d’utilisation :
Cependant cette technologie n’est disponible seulement sous le système d’exploitation Windows 10. De plus sa demande en vitesse de calcul étant très élevé elle n’est disponible que sous certaines conditions :
Une unité de traitement graphique (GPU) tels que la NVIDIA GeForce RTX, ou NVIDIA RTX, et TITAN RTX.
Un disque dur en SSD (un disque dur utilisant des éléments de mémoire flash comme éléments de stockage des données).
Un pilote possédant la version 471.68 au minimum.
Ces contraintes d’utilisation montrent pour le moment que cette technologie n’est donc pas accessible à un grand nombre de personnes, puisqu’elle demande des composants d’une certaine valeur. Cette IA est donc plus fréquemment utilisée par des professionnels.
Le fonctionnement de l’IA
Comme indiqué ci-dessus, cette technique est basée sur un système d’utilisation simple afin qu’elle soit accessible à tous. Ainsi lorsque nous nous retrouvons sur ce logiciel l’on retrouve différents paramètres qui nous seront utiles lors de la création mais aussi de l’exportation de notre dessin une fois terminé.
L’on distingue donc 3 zones ou se regroupe les paramètres :
La première partie est destinée à la création d’un point de vue technique du dessin puisque l’on peut retrouver des fonctionnalités telles que le pinceau servant a choisir l’environnement que l’on souhaite utiliser. Mais aussi un outil nous aidant à tracer des lignes droites et bien évidemment la fonctionnalité gommes et remplissage. D’un point de vue pratique la bêta propose une fonctionnalité permettant de choisir précisément une couleur, ou bien celle permettant choisir l’épaisseur de la pointe du stylo.
Dans la seconde partie l’on retrouve tout ce qui rapporte au fichier et à l’affichage de celui-ci. Ainsi l’on a l’opportunité d’ouvrir une nouvelle feuille vierge afin d’effectuer un nouveau dessin mais aussi ce qui concerne l’enregistrement et l’exportation de ce dessin. De plus, la loupe permet d’agrandir plus ou moins le dessin lors de sa création mais aussi l’on peut choisir de voir le dessin (à gauche) et le rendu final après l’intervention de l’IA (à droite) en même temps ou bien chaque rendu à part, c’est-à-dire ou l’un ou l’autre, c’est à vous de choisir.
Enfin dans la troisième partie l’on retrouve l’aspect graphique. Notamment avec le choix d’une vingtaine de matériaux comme par exemple avec des nuages, des montagnes, de l’herbe, une rivière et de la brume et de la pluie ainsi qu’une quinzaine d’autres textures. De plus l’on retrouve l’opportunité d’utiliser des « layers » tout comme Photoshop par exemple cela nous donne l’opportunité d’avoir plusieurs calques superposés. Enfin l’on a accès à 9 styles ce qui permet d’appliquer au dessin une ambiance différente telle qu’un coucher de soleil ou bien un environnement ensoleillé.
Comme l’on dit « une image vaut mieux que mille mots« , alors je vous mets à disposition différent dessin réaliser avec Nvidia Canvas.
Vous pouvez donc voir le potentiel juste immense de cette intelligence artificielle qui est en constante évolution, il ne vous reste qu’à la télécharger grâce à ce lien pour les tester de vous-même et laisser s’exprimer votre créativité : https://www.nvidia.com/fr-fr/studio/canvas/
En conclusion j’espère que ce tutoriel que j’ai moi-même pris du plaisir à réaliser, vous aura permis de découvrir cette intelligence artificielle et qu’il vous guidera lors de son utilisation.
A la recherche d’un moyen de gérer tous vos serveurs de jeux, serveurs vocaux, et autres avec une seule et même interface facile à utiliser ? Le logiciel linux Pterodactyl est fait pour vous ! Sous forme d’un site lors de l’utilisation, il va vous permettre de créer et administrer vos serveurs de jeux et vocaux.
Le tutoriel peut paraître long, mais a été simplifié le plus possible. L’installation qui vous est présenté est pensée pour un cadre expérimental et de découverte de l’outil Pterodactyl. Cela veut donc dire que le tutoriel ne vous permettra pas de l’utiliser sur des serveurs de productions.
Teaser vidéo
Dans ce tutoriel, vous apprendrez à :
Installer une machine virtuelle sur son propre ordinateur,
Installer et configurer le système d’exploitation Ubuntu Server,
Installer et configurer Pterodactyl à l’aide d’un script
Utiliser quelques fonctionnalités de Pterodactyl (création de serveurs, création d’utilisateurs et présentations des outils pour gérer un serveur)
Qu’est-ce que Pterodactyl ?
Développé par Dane Everitt (et d’autres contributeurs) et disponible depuis 2015, Pterodactyl est un SaaS (« Software as a Service », « Logiciel en tant que service » en français, c’est-à-dire un logiciel plus généralement installé et utilisé sur un serveur) uniquement disponible sur des systèmes d’exploitation linux. Pour rappel, un serveur n’est rien d’autre qu’un ordinateur sans interface graphique (c’est-à-dire uniquement utilisé en ligne de commande) qui sert de point relais pour la communication entre d’autres machines sur internet et/ou à délivrer des services (Serveur Web, Mail, etc.). C’est pour cette raison que Pterodactyl peut être installé sur un ordinateur linux avec interface graphique. Vous apprendrez à l’installer pour une utilisation sur serveur. Sachez que l’installation sur un système d’exploitation linux avec interface graphique est strictement identique.
Pterodactyl est conçu avec le principal objectif d’assurer une sécurité avancée. Par exemple, chaque serveur qui sera créé sera techniquement séparé des autres, c’est-à-dire que si il y a un problème sur un des serveurs, cela ne se répercutera pas sur les autres serveurs.
Une fois l’importante étape qui est l’installation de Pterodactyl, vous pourrez :
Créer très simplement une multitude de serveurs de jeux, vocaux, de bots, etc.
Administrer les serveurs facilement, avec des fonctionnalités supplémentaires intégrées par défaut :
Création et gestion de backups pour les serveurs
Création de tâches programmables pour s’exécuter automatiquement, répétitivement, etc.
Création et gestion de bases de données.
(fonctionnalité très avancée) Ajouter des plugins payants proposés par Pterodactyl afin d’encore plus simplifier l’administration des serveurs (installation en un clic de plugins/mods pour les serveurs Minecraft par exemple).
Gestion avancée d’utilisateurs : Vous avez un projet de jeu mais votre ami en a aussi un complètement différent du votre ? Pterodactyl a un système de gestion de permissions, de propriété de serveur, etc.
Installation sur une machine virtuelle (VM)
⚠ Pour le reste du tutoriel, si vous avez un problème, des questions, des erreurs, etc. Je suis à votre disposition pour vous aider à nsi.aide.thomas@gmail.com ⚠
Je pense que ni vous ni moi louerait un serveur pour expérimenter Pterodactyl, c’est pour cette raison que vous ferez l’installation sur votre ordinateur personnel. Si vous êtes déjà sur une distribution Linux supportée par Pterodactyl tout va bien, vous pouvez passer cette étape. Les distributions supportées sont :
Système d’exploitation
Version
Supporté ?
Notes
Ubuntu
18.04
✅
20.04
✅
22.04
✅
Le tutoriel est basé sur ce système d’exploitation (conseillé).
CentOS
7
✅
Des dépôts, serveurs contenant des « paquets » (voir la définition d’apt1) supplémentaires sont requis.
8
✅
Des manipulations supplémentaires sont requises pour ce système d’exploitation. Cependant nous ne verrons pas son installation. Ce lien ainsi que la documentation officielle va vous permettre d’installer les prérequis supplémentaires.
Debian
10
✅
11
✅
1 Expliqué plus loin : Ctrl + F est votre ami (La définition d’apt est dans la partie Prérequis)
Sinon il va falloir installer un de ces systèmes d’exploitations dans une VM sur votre ordinateur. Une Virtual Machine est sous la forme d’un logiciel et simule un autre ordinateur sur son propre ordinateur. Cela permet d’avoir par exemple sur un MacBook un ordinateur virtuel Windows. Pour installer un système d’exploitation sur une VM, nous avons besoin d’un fichier de type ISO (généralement appelé image ISO). Avant, les systèmes d’exploitations s’installaient grâce à des DVD (aujourd’hui, c’est moins répandu). Une image ISO est l’équivalent d’un disque (DVD) mais en version numérique. Voilà pourquoi on utilise ce type de fichier. Pour ce tutoriel, nous utiliserons cette image ISO (si le lien a un souci, allez sur ubuntu.com/download/server puis cliquez le bouton vert en plein milieu « Download Ubuntu Server XX.XX.X XXX »). Nous utiliserons ce fichier plus tard dans le tutoriel.
Nous allons utiliser le logiciel VirtualBox proposé par Oracle. Commençons par télécharger le logiciel ici, le « VirtualBox 7.0.4 platform packages » (selon votre système d’exploitation) ainsi que le « VirtualBox 7.0.4 Oracle VM VirtualBox Extension Pack » juste en dessous. Exécutez l’installeur (« VirtualBox-7.0.4-154605-Win », notez que le nom peut différer un peu avec cet exemple). Suivez les instructions, puis démarrez le logiciel. Voici comment il se présente :
Nous allons être efficace : Cliquez sur le bouton encadré en rouge, puis « Extensions ». Cliquez ensuite sur « Install », importez le second fichier que nous avons téléchargé (« Oracle_VM_VirtualBox_Extension_Pack-7.0.4.vbox-extpack » ou nom similaire) et cliquez sur « Installation » (sans oublier de lire, 😉, puis accepter les conditions d’utilisations). L’extension devrait être ajoutée et visible dans la liste.
Pour revenir à l’interface de bienvenue, cliquez sur le bouton encadré en rouge et allez sur « Bienvenue ». Ici nous allons pouvoir créer notre machine virtuel. Pour se faire, vous avez le bouton « Nouvelle », qui vous ouvre cette fenêtre :
Nom : Un nom pour votre VM, cela a peu d’importance, c’est pour vous y retrouver.
Folder : La localisation des fichiers de la VM.
ISO Image : Il faut mettre ici le fichier ISO que nous avons téléchargé au début du tutoriel qui contient le système d’exploitation.
Edition / Type / Version : Ces options se sont normalement grisées après avoir importé l’image ISO. De plus ne cochez pas la petite case Skip Unattended Installation.
Nous devons maintenant choisir le nom d’utilisateur, ainsi qu’un mot de passe. Evitez les noms d’utilisateurs farfelus, choisissez quelque chose de simple, sans espace, ni majuscule. Changez également le mot de passe.
Hostname : Chaque appareil connecté à son réseau local a un « hostname ». C’est son nom sur le réseau. Choisissez-en un qui vous permettra de le reconnaitre. Notez qu’il doit être d’au minimum trois caractères et ne peut être écrit qu’avec des caractères alphanumériques ainsi que des petits tirets et des points (mais ne peut pas se terminer par un point). « ubuntu-vm » est un très bon choix par exemple.
Domain Name : ¯\_(ツ)_/¯ Mais pas important dans notre cas.
Ne cochez pas Install in Background ni Guest Additions.
Passons à l’allocation des ressources à notre VM, c’est-à-dire combien de mémoire vive (mémoire volatile pour stocker les données et programmes en cours d’exécution) et de cœurs du processeur (partie qui exécute des instructions, plus il y a en, plus le processeur peut faire des tâches simultanément). Il faut choisir cela en fonction des ressources de son ordinateur. Dans notre cadre expérimental, nous n’avons pas besoin de beaucoup de ressources. Je vous conseille au strict minimum 2 Go (2048 Mo) ainsi que 2 cœurs ou sinon 4 Go (4096 Mo) de mémoire vive et 4 cœurs.
Nous allons maintenant allouer le stockage. Encore une fois, faites cela en fonction de l’espace que vous avez. 25 Gio fera très bien l’affaire.
Nous avons ensuite un récapitulatif des caractéristiques de la VM. On peut appuyer sur « Finish ».
La VM s’est automatiquement lancée, une nouvelle fenêtre est apparue. Au passage, n’hésitez pas à fermer le menu à droite avec le bouton encadré en rouge.
Avant de se lancer dans la configuration du système d’exploitation, nous allons éteindre la machine en allant dans Machine (encadré en jaune), puis Extinction par ACPI. Attendez que la fenêtre se ferme. Ensuite allez dans le bouton Configuration, Réseau et pour Adapter 1 changer l’option Mode d’accès réseau par « Accès par pont » et pour l’option Name, choisissez le nom de votre carte réseau. Je ne connais pas ma carte réseau… Allez vérifiez que l’image ISO dans Stockage (Menu à gauche) est présente au niveau du « Contrôleur : IDE ». Si ce n’est pas le cas, cliquez sur le bouton DVD avec un + et ajoutez le fichier ISO (comparez les noms pour savoir si c’est le bon).
Maintenant, lancez la machine virtuelle, et vous devriez avoir à nouveau la première page de configuration où l’on sélectionne la langue. C’est parti !
Installation et configuration du système d’exploitation
Sachez que la souris n’existe pas ! Toutes les manipulations se feront aux claviers. Vous bougez avec les touches fléchés et appuyez sur la touche Entrée pour confirmer une action. Sélectionnez votre langue puis confirmez. Dans la page qui suit, vous avez 3 options en bas, prenez celle du haut, donc « Mise à jour vers le nouveau programme d’installation », confirmez puis patientez. Maintenant, vous pouvez choisir la langue de votre clavier :
Si vous allez sur un des menus déroulants (sur « French – French (legacy, alt.) » pour le menu Variant par exemple), vous pourrez appuyer sur la touche Entrée et changer la variante. Choisissez la première, « French » puis confirmez en allant sur « Terminé » (ou « Done »).
La page d’après vous donne la possibilité d’installer une version allégée de Ubuntu Server, mais dans notre cas, nous allons conserver la version classique, donc confirmez juste. La page suivante concerne la connexion avec le reste du réseau local. Vous ne devriez rien avoir à toucher, confirmez juste. On voit différentes informations intéressantes comme l’IP, c’est-à-dire son identifiant pour la reconnaitre par rapport aux autres, qu’aura notre machine et qui nous sera utile pour y accéder (vous pourriez avoir une IP différente de celle-là) ainsi que le nom de la carte réseau que l’on retrouve en gris en dessous.
Il n’y a rien à changer sur la page suivante, ni à la page d’après. Celle d’après est par rapport au stockage, mais tout est présélectionné correctement, donc il suffit de descendre sur le bouton Done et confirmer.
La seconde page est également en rapport avec le stockage. Je vais y aller pas à pas, suivez les étapes selon les images dans leur ordre.
Par défaut.Allez sur l’option où il y a le trait rouge, confirmez (touche Entrée) puis allez sur Unmount et confirmez.Allez sur l’option où il y a le trait rouge, confirmez puis allez sur Edit et confirmez.Ici, il faut changer la valeur de Size. Mettez la valeur entre les parenthèses (ici 22.996G). Attention à mettre un point et pas une virgule ! Il faut également changer la valeur de Mount. Allez dessus, appuyez sur Entrée, puis choisissez le « /« . Puis allez sur Save en bas et confirmez. Et pour finir allez sur Done et confirmez. Une popup apparaitra et vous demandera si vous êtes sûr. C’est le cas, donc confirmez.
Sur la page suivante, vous devez remettre les informations que nous avions mises lors de la configuration de la VM.
Your name : Ce n’est pas important, j’ai personnellement l’habitude de mettre la même chose que Pick a username.
You server’s name : Il faut mettre la même chose que le hostname (information renseignée lors de la création de la VM).
Pick a username : C’est le nom d’utilisateur, il doit être le même que username (information renseignée lors de la création de la VM).
Choose a password / Confirm your password : Mettez le mot de passe que vous aviez mis lors de la création de la VM.
Sur le page suivante, le service vous propose d’installer OpenSSH server. C’est un service qui vous permet d’accéder à distance à la console du serveur. C’est très pratique, on peut entièrement faire les installations avec, mais de la manière dont je me suis (mal) géré, je ne l’utiliserai que beaucoup plus tard dans le tutoriel pour une pauvre petite action. Déplacez vous en face de l’option (sauf si vous y êtes déjà) pour installer OpenSSH (encadré en rouge) et appuyez sur la touche Entrée, puis allez sur Done et confirmez.
La page qui suit vous propose une liste d’autres services à installer. Si nous avons besoin de ces services, nous les installerons en temps voulu. Confirmez en allant sur Done, et puis patientez, toutes les installations et configurations sont en train de se faire. Vous avez une page de log. Cela peut durer un certain temps, pas d’inquiétude. Lorsque l’installation sera achevé, le second bouton encadré en rouge changera, et deviendra Reboot Now. Allez dessus, confirmez puis patientez.
Une fois cela fait, une bonne quantité de texte va défiler, il faut attendre que ça se termine. Il est possible que l’image en dessous ne corresponde pas à ce que vous avez, mais ce n’est pas grave, sauf si il y a du rouge à la dernière ligne de texte… Si au bout d’un moment la ligne rouge reste et que plus rien d’autres se fait, rechercher le problème sur internet ou contactez moi
Sauf pour cette erreur là qui est « normale », il vous suffit simplement d’appuyer sur la touche Entrée.
Lorsque vous pourrez écrire, c’est que vous pourrez vous connectez, comme vous pouvez le voir sur l’image en dessous (ne faites pas ce que j’ai fait).
Ecrivez alors votre nom d’utilisateur puis appuyez sur la touche Entrée.
Une nouvelle ligne apparait, qui vous invite à écrire votre mot de passe, mais lorsque vous le faites… Rien n’apparait 😭. Mais détendez-vous ! C’est normal. Lorsqu’il faut écrire un mot de passe, linux ne fait jamais apparaitre de caractères, même pas des « * », mais il est quand même écrit ! Prenez donc le temps d’écrire le mot de passe, car souvent on l’écrit mal sans s’en rendre compte et du coup il nous le refuse.
😐Enfin ! On a réussi 😁
Installation de Pterodactyl
Bon, c’était déjà bien sportif l’installation de cette VM et de ce linux… Je peux comprendre que certains d’entre vous soyez saturés. Et c’est pour cela que je vous propose une méthode assez simple pour installer Pterodactyl. Nous utiliserons un script. Il faut savoir que c’est un script non officiel, et que Pterodactyl ne le supporte pas. En cas de souci lors de l’installation avec ce script, contactez moi. Voici un lien vers la documentation officielle pour installer manuellement Pterodactyl (vous verrez, vous apprendrez beaucoup de chose).
Prérequis
Voici un récapitulatif de quelques commandes linux qui seront utilisées avec une courte explication :
sudo : Terme à mettre au début d’une commande que l’on souhaite exécuter avec les plus hautes permissions. Il faut faire très attention car une mauvaise manipulation peut endommager définitivement le système d’exploitation, qui nécessiterait une réinstallation. Lorsque vous utiliserez une commande avec ce terme au début, il faudra mettre son mot de passe pour pouvoir l’exécuter.
apt : Simplement : L’App Store version ligne de commande. Plus précisément : Commande qui permet de gérer des paquets. Les paquets sont des archives permettant d’installer des logiciels, stockés dans des dépôts, que l’on peut changer si nécessaire.
apt update : Recherche si il y a des mises à jour disponibles.
apt upgrade : Applique les mises à jour trouvées (se lance donc après la commande apt update).
apt install [nom_paquet] : Installe le paquet donné en paramètre (il faut remplacer [nom_paquet] par le nom d’un paquet, par exemple nano).
reboot : Redémarrage la machine virtuelle.
su : Permet de se connecter en tant qu’un autre utilisateur. Nous utiliserons cette commande pour accéder à l’utilisateur « root ».
Une notion a maîtriser est le terme « root ». Ce terme est le nom de l’utilisateur avec les plus hauts privilèges possibles. Il faut faire très attention car une mauvaise manipulation peut endommager définitivement le système d’exploitation, qui nécessiterait une réinstallation.
Quelques notions à comprendre en rapport avec Pterodactyl :
Le « panel » (le front-end) : La partie graphique de Pterodactyl. Elle envoie des ordres au daemon.
Le « daemon », également appelé « wings » (le back-end) : La partie de Pterodactyl qui crée véritablement les serveurs, qui fait les actions que le panel lui demande.
Le « Node » : C’est la configuration du daemon. C’est avec lui que nous renseignerons diverses informations comme par exemple la quantité de ressources allouées (la mémoire vive, le processeur et l’espace disque).
Le terme « port » : Ce n’est pas réservé à Pterodactyl. Un port est un système permettant aux logiciels (côté client comme côté serveur) de recevoir ou d’émettre des informations. Il y a 65536 possibilités de ports qui sont classifiés dans 3 catégories : les « ports reconnus » qui sont réservés à des processus spécifiques (le port 80 pour héberger un site par exemple), les « ports enregistrés » qui sont assignés par L’IANA et pour finir les ports dynamiques qui sont généralement utilisés pour des communications temporaires. Vous pouvez donc utiliser les ports que vous voulez à l’exception de la plage 0 à 1023 (sauf si le service utilise un de ces ports par défaut, comme un site internet). Notez que beaucoup de logiciels ont un port par défaut, donc privilégiez l’utilisation de celui-ci (pour Minecraft c’est par exemple le port 25565) Une petite liste répertoriant quelques ports…
Nous devons d’abord vérifier si il y a des mises à jour disponibles :
cosmos@ubuntu-vm:~$ sudo apt update
Beaucoup de texte apparait, puis lorsque nous avons à nouveau cosmos@ubuntu-vm:~$ (cosmos le nom d’utilisateur et ubuntu-vm le « hostname ») qui apparait, c’est que la commande a fini de s’exécuter.
119 paquets peuvent être mis à jour. Exécutez « apt list --upgradable » pour les voir.
cosmos@ubuntu-vm:~$
Nous avons donc 119 paquets à mettre à jour. Et bien allons-y :
cosmos@ubuntu-vm:~$ sudo apt upgrade
Du texte défilera, puis vous aurez sûrement 5 dernières lignes similaires à celles-ci (peut-être en anglais) :
Si c’est écrit en français, vous devrez confirmer en appuyant sur le touche O de votre clavier puis appuyer sur la touche Entrée et si c’est en anglais, ce sera pareil sauf qu’il faudra appuyer sur la touche Y de votre clavier. Maintenant patienter, ça peut prendre un moment selon votre connexion internet.
Notez que j’ai eu une « pop-up » avec fond violet qui m’a informé d’une nouvelle version du « kernel » (le « noyau » du système d’exploitation). J’ai juste appuyé sur Entrée.
Ensuite, j’ai eu une autre « pop-up » avec une liste de services que je peux redémarrer. Dans tous les cas, nous redémarrerons le système, donc juste appuyer sur le touche Tab (la touche à gauche de la touche A sur votre clavier) deux fois, afin que Cancel soit avec une surbrillance rouge/orange puis appuyer sur Entrée.
Pour terminer, nous allons redémarrer la machine virtuelle, afin que tout soit correctement appliqué :
cosmos@ubuntu-vm:~$ sudo reboot
Installation rapide (avec script)
⚠ Notez que le script ne fonctionne pas sur CentOS 7 et 8 ! Suivez la documentation officielle pour installer Pterodactyl sur ces deux systèmes d’exploitations. ⚠ Les autres systèmes d’exploitation du tableau au début de l’article sont eux compatibles.
Avant toute chose, nous aurons besoin de savoir l’adresse IP de la machine virtuelle pour plus tard. Pour se faire, utilisez la commande ip addr:
cosmos@ubuntu-vm:~$ ip addr
Dans tout ce blabla bizarre, ce que nous cherchons est encadré en rouge ! Sachez que l’IP commencera toujours par 192.168 (si vous avez bien suivi le tutoriel) puis les deux autres nombres pourront varier. Notez l’adresse IP pour plus tard !
Nous allons utiliser le script d’installation écrit par vilhelmprytz. La page github du script est consultable ici. Pour s’assurer du bon fonctionnement du script, nous allons « passer en root », c’est-à-dire se connecter avec l’utilisateur root, pour se faire :
cosmos@ubuntu-vm:~$ sudo su
Mettez votre mot de passe, et vous remarquerez qu’à la place de votre nom d’utilisateur il y a le terme « root ». Exécutez maintenant cette ligne de commande :
L’installeur se lance et vous propose différentes options.
Ici, vous dites ce que vous souhaitez installer. Nous voulons le panel et le daemon, donc l’option 2.Vous configurez le nom de la base de donnée où seront stockés les informations, le compte utilisateur pour accéder à cette base de donnée et son mot de passe. Pour database name et database username, laissez par défaut, c’est-à-dire appuyez simplement sur Entrée. Concernant le mot de passe, c’est vous qui décidez. Personnellement j’ai juste appuyé sur Entrée pour que ça génère un mot de passe automatiquement. Vous devez maintenant choisir une Timezone, mettez ce que j’ai mis, c’est-à-dire Europe/Paris.Mettez une email valide, mais dans un cadre d’expérimentation, vous pouvez prendre une « email poubelle ».Créez le premier compte utilisateur admin pour le panel. L’email ne doit pas obligatoirement être valide. Vous devrez vous rappelez de username et du mot de passe pour vous connecter.Fully Qualified Domain Name. C’est l’IP (ou le nom de domaine) où est hébergé le panel. Notez que le panel et le daemon peuvent être installés sur deux serveurs séparés et cette option prend son sens dans ce cas là. Ici, ce sera sur la même machine, donc au final, ça revient au même. Donc, mettez l’IP de la machine virtuel que vous avez noté après avoir fait ip addr. Notez que le warning vous prévient que vous ne pourrez pas générer un certificat ssl pour sécuriser votre site (qu’il soit en https), ce qui n’est pas grave puisque nous faisons tout en local. « Let’s Encrypt » est un service gratuit permettant de générer des certificat ssl.Un pare-feu est très important, mais dans un cadre expérimental, ce n’est pas nécessaire. Mettez N puis confirmez.
On a ensuite un récapitulatif de la configuration puis nous devons confirmer que nous voulons cette configuration. Mettez Y et l’installation va débuter. Ensuite nous avons ceci :
Mettez no puis patientez. Et…Le script a fini d’installer le panel (le front-end), passons au daemon (le back-end). Mettez Y.Dans notre cas, le firewall est inutile. Mettez N.Ceci est pour permettre la création de bases de données pour les serveurs de jeux, vocaux, etc. C’est une fonctionnalité un peu avancé, donc pour ce tutoriel, sauf si vous vous y connaissez, mettez N.Puisque tout à l’heure, nous n’avions pas mis en place de certificat, il faut mettre N. Après avoir fait ça, mettez Y pour lancer l’installation.
L’installation est terminé, mais ce n’est pas encore fini…
Configuration du Node
Nous allons à présent configurer le Node. Il va falloir aller sur le panel. Mettez l’adresse IP de la machine virtuelle dans une page de votre navigateur.
Génial ! Connectez vous avec l’utilisateur créé plus tôt.Il y aura ici la liste des serveurs créés grâce au panel. Cliquez sur le bouton avec des engrenages. Il vous renvoie vers l’interface administrateur du panel. Ici c’est la partie pour administrer Pterodactyl, donc le panel, le daemon, etc. (pas les serveurs). Allez dans « Locations », puis « Create New ».Il faut savoir que l’on peut associer différents daemon à un même panel et la « location » permet de les catégoriser. Ce n’est pas vraiment important, mais mettez quelque chose qui a du sens pour vous y retrouver. Par exemple fr.home car le daemon est en France et hébergé chez vous. La description est facultative.Passons à la création d’un Node. Allez dans « Nodes », puis « Create New ».Cela peut faire peur, mais ne vous inquiétez pas, c’est simple :
– Name : Le petit nom que vous allez lui donner, pour vous y retrouver.
– Description : Une description (facultative).
– Location : Ce que nous avons créé il n’y a pas plus tard que 2 minutes.
– Node Visibility : Permet de le masquer dans la liste des Nodes disponibles lors de la création de serveurs. Dans notre cas, inutile, donc laissez Public.
– FQDN : Cela vous dit quelque chose non ? Mettez donc l’ip de votre machine.
– Communicate Over SSL : Il faut cocher la première option si le panel est sécurisé avec un certificat, ce n’est pas le cas, donc mettez la seconde option (c’est normal que la case soit rouge une fois cliquée).
– Behind Proxy : Si le daemon est derrière un proxy qui s’occupe de la connexion ssl, il faut mettre la seconde option. Je cite de la documentation : Si cette phrase n’a aucun sens pour vous, c’est que cela ne vous affecte pas. Alors, vous avez compris, laissez la première option 😉
– Daemon Server File Directory : Où sera sauvegardé le contenu des serveurs du node. Laissez par défaut.
– Total Memory : La quantité de mémoire vive que nous voulons allouer au Node. Il ne faut pas mettre la capacité maximale de la machine, car le système d’exploitation en nécessite un peu. Ici, je vais mettre 3Go. Notez que 1Go = 1024 MiB donc à multiplier par le nombre de Go que vous voulez.
– Memory Over-Allocation : La quantité en pourcentage de mémoire vive qui sera utilisé en plus si les 3Go sont complètement utilisés. En mettant -1, il n’y aura pas de limite et en mettant 0, cela empêchera de dépasser la quantité de mémoire allouée. Cela va dépendre de vos utilisations, mais puisque que nous expérimentons et que nous sommes limités à 4Go, je vais mettre 0.
– Total Disk Space : La quantité d’espace disque que nous voulons allouer au Node Il ne faut pas mettre la capacité maximale de la machine, car le système d’exploitation en nécessite un peu. Ici, je vais mettre 15Go. Notez que 1Go = 1024 MiB donc à multiplier par le nombre de Go que vous voulez.
– Disk Over-Allocation : Même chose que pour Memory Over-Allocation mais pour l’espace disque.
– Daemon Port / Daemon SFTP Port : Les ports utilisés par le daemon pour communiquer, écouter, etc. Pas touche !
Cliquez enfin sur « Create Node ».Il faut maintenant ajouter des allocations, c’est-à-dire des ports pour les serveurs qui seront créés. Pour IP Adress, mettre 0.0.0.0 signifie « toutes les adresses IPv4 de la machine locale », car une machine peut avoir plusieurs IPs. C’est ce que nous mettrons. IP alias est facultatif, ne nous en préoccupons pas. Et nous allons donc ajouter des Ports. On peut les ajouter un par un, avec un espace entre chaque port ou alors les écrire d’une certaine façon, par exemple utiliser un tiret : 25565-25575Et Bam ! Tout ça en moins de 10 secondes 😁 Mais ce n’est pas encore terminé !
Mais avant de continuer, nous allons avoir besoin d’utiliser OpenSSH (mentionné plus haut dans l’article). Pour vérifier que le service est installé et fonctionnel, chercher dans la barre de recherche de votre ordinateur « invite de commande » puis lancer l’application, puis taper la commande ssh.
Si vous avez une réponse, alors c’est bon ! OpenSSH est installé par défaut sur Linux et MacOS, pour Windows je ne suis pas sûr, donc voici un lien pour l’installer sur Windows.
Comment ça fonctionne ? Et bien c’est plutôt simple :
ssh username@ip
Vous avez donc compris, vous devez mettre votre d’utilisateur, puis « @ » suivi de l’IP de votre machine virtuelle par exemple : ssh cosmos@192.168.1.31 Il vous demande en suite le mot de passe du compte, et ici aussi, aucun caractère n’apparait mais c’est normal.
Et voilà, vous êtes connectés à distance (je vous rappelle qu’une machine virtuelle est un ordinateur séparé de celui sur lequel il est hébergé). L’avantage d’avoir fait tout ça, c’est que nous allons pouvoir faire des copier/coller… Et croyez moi, ce que vous allez copier/coller juste après, vous n’auriez pas aimé devoir le recopier… Cela à d’autres avantages comme avoir plusieurs consoles en simultané (rien n’empêche d’ouvrir 42 invites de commandes et se connecter avec), le défilement avec le souris, des consoles redimensionnables, etc.
Repassons sur Pterodactyl maintenant que vous vous êtes connectés en parallèle avec OpenSSH. Vous êtes donc dans l’onglet Configuration.
Cliquez sur Generate TokenCopiez la ligne (vérifiez que vous avez bien tout sélectionné) puis collez là (en faisant un clique droit pas un Ctrl+V) dans l’invite de commande où vous vous êtes connectés en ssh.Même si la mise en forme s’est fait la malle, y a bien écrit à la fin « Successfully configured wings ».
La configuration a bien été appliqué, mais le daemon (wings) n’est toujours pas lancé. On peut le lancer avec sudo wings
Pas de rouge… c’est rassurant ! Et si vous retournez sur le panel puis allez dans la catégorie « Node » vous verrez qu’un cœur vert apparait à côté du nom du Node.
En appuyant simultanément sur les touches Ctrl et C vous arrêterait le programme. tapez ensuite ces commandes :
cosmos@ubuntu-vm:/etc/pterodactyl$ cd /etc/systemd/system
Alors… Vous n’allez pas me croire… mais l’installation et la configuration de Pterodactyl est ENFIN terminée !
Installation d’un serveur Minecraft avec Pterodactyl
Pour installer un serveur Minecraft avec Pterodactyl, rendez-vous dans l’interface administrateur du panel puis dans la catégorie « Servers ». Puis cliquez sur « Create New ».
Dans « Core Details » :
– Server Name : Le nom du serveur qui apparaitra sur le panel. – Server Owner : Le propriétaire du serveur. Ecrivez les premiers caractères de l’adresse email du compte à qui appartiendra le serveur et celui-ci sera affiché dans la liste. – Server Description : Une description, c’est facultatif. – Start Server when Installed : Si coché, une fois l’installation terminé, le serveur se lancera automatiquement.
On passe à « Allocation Management » :
– Node : Le Node sera installé le serveur – Default Allocation : Le port par défaut associé au serveur. Ce sont les ports que nous avions ajouté dans la configuration du Node. Et dans ces ports, il y a le port 25565, le port par défaut de Minecraft. Mettons le. – Additional Allocation(s) : Si vous voulez allouer d’autres ports à ce serveur. Cela peut être utile si vous utilisez des plugins/mods en nécessitant (mais n’en ajoutez pas pour rien).
Puis à « Application Feature Limits » :
– Database/Backup/Allocation Limit : La limite du nombre de bases de données/backups/ports que le serveur aura. C’est-à-dire que les utilisateurs qui pourront créer ces éléments seront limités à ce nombre.Pour « Resource Management » :
– CPU Limit : Le pourcentage de ressource processeur que vous allouez au serveur. Un cœur correspond à 100 %. Cela veut dire que vous pouvez allouer un cœur et demi par exemple. Pour 2 cœurs -> 2 * 100 = 200 – CPU Pinning : Fonctionnalité avancé, cela permet de préciser si vous voulez que le serveur utilise un ou plusieurs cœurs en particulier. Ne vous embêtez pas avec cela, sauf si cela vous est vraiment nécessaire (laissez vide si vous ne voulez pas l’utiliser). – Memory : La quantité de mémoire vive que vous allez au serveur (en MiB). 1 Go = 1024 MiB – Swap : Utilise de l’espace de stockage comme mémoire vive. C’est-à-dire que si la quantité de mémoire vive est saturée, cela utilisera une quantité d’espace de stockage. C’est cependant à éviter car cela chute les performances. -1 ne met pas de limite et 0 n’en alloue pas. – Disk Space : La quantité d’espace de stockage que vous allouez au serveur (en MiB). – Block IO Weight : Fonctionnalité avancé que je n’ai jamais utilisé. – Enable OOM Killer : Permet de forcer l’extinction du serveur si il dépasse la limite de mémoire.
Passons à « Nest Configuration » :
– Nest : Catégorie classant différent fichier de configuration pour créer un serveur. – Egg : Le fichier de configuration pour créer un serveur. Vanilla Minecraft est le nom de la version classique de Minecraft. Forge Minecraft est utilisé pour les mods. Sponge n’est plus utilisé. Ignorez Bungeecord, c’est pour reliez différents serveurs Minecraft entre eux, c’est une notion avancé pour les administrateurs d’un serveur Minecraft. Pour finir, Paper est pour les plugins. – Skip Egg Install Script : Si vous cochez cette case, le script d’installation ne s’exécutera pas, dans notre cas, cela ne sert à rien. Continuons avec « Docker Configuration » : – Docker Image : Dans notre cas, c’est la version de java qui sera utilisé pour faire tourner le serveur Minecraft. Selon la version que vous voulez installer sur votre serveur Minecraft, il faut une version Java plus ou moins récentes. L’option « Or enter a custom image » est une fonctionnalité avancé, n’y prêtez pas attention.Et pour finir, « Startup Configuration » et « Service Variables » (ces options peuvent varier selon l’Egg que vous mettez) :
– Start Command : La commande qui lancera le serveur à chaque fois que vous appuierez sur le bouton « start ». N’y touchez pas, à moins de savoir ce que vous faites. – Server Jar File : Le nom du fichier Jar. Si vous ne savez pas ce qu’est un fichier Jar, n’y touchez pas. – Server Version : La version de votre serveur Minecraft. « latest » installe donc la dernière version stable et « snapshot » la dernière version snapshot. Vous pouvez aussi mettre le numéro d’une version.
Vous pouvez maintenant cliquer sur « Create Server ». Cliquez sur le bouton encadré en rouge pour quitter l’interface administrateur du panel.
Vous voyez à présent votre serveur dans la liste des serveurs disponibles.
J’en ai créé un autre pour vous montrer deux cas : On a le premier qui a fini de s’installer, on va pouvoir le démarrer alors que le second en train de s’installer, il faut donc patienter un peu.
Cliquez sur le serveur listé que vous venez de créer et une nouvelle interface apparait.
Vous avez au milieu une console, à droite 3 boutons pour respectivement démarrer, redémarrer et arrêter le serveur. Toujours à droite, vous avez l’adresse avec le port, le statut du serveur, l’utilisation de différentes ressources puis des graphiques en bas.
Concernant la partie tout en haut : – Console : Le menu sur lequel vous êtes – Files : Une gestionnaire de fichier pour le serveur – Databases : Pour gérer les bases de données liés au serveur (ne peut être utilisé avec notre installation) – Schedules : La fonctionnalité des tâches automatisés. Nous ne l’aborderons pas dans ce tutoriel. – Users : Pour ajouter des utilisateurs. Vous pourrez personnaliser leur accès (toutes les permissions sont commentés). Un peu plus bas vous sera expliqué comment créer un nouvelle utilisateur. – Backups : Pour créer des backups. – Network : Pour ajouter des ports. Ne fonctionnera pas sans ajouter un quota d’allocation lors de la création du serveur ni sans activer une option sur le panel administrateur se trouvant dans Settings > Advanced > Automatic Allocation Creation. – Startup : Permet de modifier le « docker image » et la valeur de certaines variables renseignées lors de la création du serveur. – Settings : Vous permet de changer certains éléments, et vous permet également de réinstaller le serveur. – Activity : une page de log des actions faites sur le panel en rapport avec le serveur. – La petit flèche permet d’accéder à la page en rapport avec le serveur sur le panel administrateur du panel, page qui permet de modifier à nouveau les informations précisées lors de la création du serveur.
Créer de nouveaux utilisateurs
Dans le panel administrateur (le bouton engrenage) vous avez une catégorie « Users ». Le compte que vous avez créé lors de l’installation de Pterodactyl est listé. Vous pouvez créer un nouvel utilisateur en cliquant sur Create New. Vous pourrez donc y ajouter une adresse email (mettez-en une, même invalide, cela vous permettra de l’identifier lorsque vous voudrez ajouter des accès à certains serveurs à cet utilisateur), un nom d’utilisateur, un prénom puis un nom. Default Langage est la langue par défaut que l’utilisateur aura pour le panel. C’est-à-dire qu’en remettant la main dans le cambouis, on peut ajouter des fichiers de langues, ce qui permet de changer la langue du panel. Mettre Administrator sur yes lui permettra d’accéder à l’interface administrateur du panel, ce que je vous déconseille. Pour le mot de passe, même si il est précisé que vous n’êtes pas obligé de mettre un mot de passe, dans notre cas si ! Le panel n’arrivera pas à envoyer un mail à l’adresse indiquée, qu’elle soit valide ou non.
Conclusion
Sachez qu’après avoir suivi ce tutoriel, les serveurs que vous créerez ne seront qu’accessible dans votre réseau local. Votre ami qui habite la ville d’à côté ne pourra pas y accéder, il y a d’autres manipulations à mettre en place.
Cet outil est très puissant mais requiert une certaine maitrise des systèmes linux. J’ai voulu rédiger ce tutoriel afin que vous découvriez Pterodactyl sans que vous soyez submerger par tout un paquet d’installations, de configurations, de problèmes, etc. ce qui implique de ne pas vous montrer toutes les fonctionnalités proposés par ce logiciel.
Si l’outil vous intéresse, et que vous voulez en apprendre plus ou l’utiliser sur un serveur de production, je peux déjà commencer par vous conseiller de recommencer l’installation mais en la faisant manuellement cette fois-ci, donc en suivant la documentation officielle. Sachez que le projet est très communautaire, en cas du moindre problème, vous pouvez rejoindre leur discord et poser des questions (en anglais).
Merci d’avoir lu cet article ! La principale source de cet article est le site officiel de Pterodactyl (et mes connaissances 😉).
FFBB est une application qui permet de suivre l’actualité du basketball français.
Dans ce site, vous verrez comment l’utiliser de la meilleure des manières.
Tout d’abord, lorsque vous entrez dans l’application, vous êtes dans l’onglet « Actualité »
Dans toute l’application il y en a 8 :
Actualités
Vous pouvez découvrir plein d’articles sur des évènements récents dans le basket Français.
Pour en lire un il suffit de cliquer dessus.
Vidéos
Dans le même style que la page « Actualités », celle-ci répertorie des extraits de matchs, de reportages, et pleins d’autres style de vidéos.
Pour le découvrir il suffit, ici aussi, de seulement cliquer dessus.
Championnats
Cette page a pour but de trier, touts des tournois, afin de pouvoir savoir les scores, dates et heures de matchs, classements de vos équipes préférées.
Pour l’utiliser il suffit juste de chercher, dans les différentes catégories.
Coupes
De la même manière que la page « Championnats », les coupes se déroulent de la même manière.
Il suffit juste de rechercher dans les différentes catégories où votre équipe pourrait concourir.
Live
Le live annonce des matchs de niveau National 1 des hommes, qui se dérouleront prochainement.
Si vous cliquez dessus, vous pouvez voir les détails du match en question.
Favoris
Les favoris servent à ne plus avoir à toujours rechercher, comme des raccourcis.
Pour mettre des équipes en favoris dans les championnats ou coupes, vous avez tout simplement à cliquer sur le symbole « + » qui se situe en haut de la page à droite. A n’importe quel stade de vos recherches.
Recherche
Les recherches servent à trouver un club en particulier où l’on verra toute ses coupes et championnats, l’adresses et les responsables du club.
Pour le trouver vous pouvez procéder de 2 manières différentes :
En renseignant le nom du club
En renseignant le nom de la ville où se situe le club.
A propos
Enfin, la page « A propos » sont les mentions de l’application. Nous ne pouvons rien faire sur cette page à part aller consulter les sites internet mentionnés en lien.