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Faire un montage vidéo simple sur DaVinci Resolve

L’objectif de cet article est de vous apprendre à utiliser certaines fonctionalités du logiciel DaVinci Resolve pour pouvoir faire un montage vidéo basique à travers quatres parties.

Présentation du logiciel

DaVinci Resolve est la seule solution qui associe le montage, l’étalonnage, les effets visuels, les animations graphiques et la post-production audio dans un seul logiciel. Son interface moderne et élégante est à la fois simple à utiliser pour les débutants et performante pour les professionnels. DaVinci Resolve vous permet de travailler plus rapidement et dans une meilleure qualité, car vous n’avez pas besoin de vous familiariser avec plusieurs applications ou de changer de logiciel selon la tâche à effectuer. Vous pouvez donc vous servir des images originales des caméras durant tout le workflow. C’est comme disposer de votre propre studio de post-production au sein d’une seule application.

L’interface du logiciel est séparée en plusieurs onglets qui correspondent a des groupes de tâches, de très nombreuses fonctionnalités existent dans le logiciel mais il serait très long et inutile de les expliquer, ce tutoriel vous servira a comprendre l’organisation et le fonctionnement basique du logiciel (pour pouvoir faire par exemple vos videos de nsi) et à l’issue d’un premier projet guidé par ce tutoriel vous serez probablement capable de decouvrir seuls des fonctionnalités plus avancées et spécifiques à vos besoins.

Télécharger DaVinci Resolve


Pour télécharger DaVinci Resolve, suivez ces étapes simples :

Rendez-vous sur le site officiel de Blackmagic Design, le développeur de DaVinci Resolve. Une fois là-bas, sélectionnez la version de DaVinci Resolve qui correspond à votre système d’exploitation (Windows ou macOS) et à vos besoins (il existe une version gratuite et une version Studio payante avec des fonctionnalités avancées). Cliquez sur le bouton de téléchargement et suivez les instructions à l’écran. Vous pourriez être invité à créer un compte Blackmagic Design pour télécharger le logiciel. Une fois le téléchargement terminé, ouvrez le fichier d’installation et suivez les étapes pour installer DaVinci Resolve sur votre ordinateur.

Importer des médias

Pour faire un montage, vous partez de fichiers de base (vidéo, audio, image…) que vous allez manipuler jusqu’à satisfaction. Ces fichiers doivent donc être importés dans le logiciel pour faire votre montage.

Lorsque vous lancez le logiciel, cliquez sur ‘new project’ en bas a droite pour créer un nouveau projet, nommez votre projet et appuyez sur entrer.

Vous vous retrouvez donc devant l’interface du logiciel et cherchez a importer vos médias, pour cela il vous faudra appuyer sur le bouton indiqué ci dessous puis sélectionner les fichiers dans l’explorateur de fichier et appuyer sur ‘ouvrir’.

vos médias sont à présent importés dans la media pool et vous allez devoir faire un glisser-déposer pour les mettre sur votre ‘timeline’ (espace dans lequel vous pouvez visualiser chronologiquement votre montage).

Créer des proxy

Un problème que vous allez très probablement rencontrer en tant que débutant surtout si vous n’avez pas un supercalculateur en pc sera que quand vous ferez votre montage le rendu aura un frame rate (images par seconde) très faible et peu exploitable. Ca peut paraitre peu important dit comme ca mais ca vous causera forcément des problèmes. Pour y remédier, les proxy existent. Un proxy est un fichier vidéo qui a une qualité moins élevée que son originale et qui permet d’avoir un rendu plus fluide lors du montage. voici une suite d’instruction pour créer des proxy :

Cliquez tout en bas a droite sur le logo d’engrenage pour accéder aux paramètres du projet, rendez vous à ‘Master Settings’, là il faudra descendre et vous rendre à ‘Optimized media and render cache’.

Dans ‘proxy media resolution’, sélectionnez au moins ‘Half’ ou plus bas selon la puissance de votre ordinateur, ensuite dans ‘proxy media format’ sélectionnez ‘DNxHR HQX’ (ProRes 422HQ pour macOs). Sélectionnez ensuite un chemin pour stocker votre proxy dans ‘proxy generation location’. Enfin, cliquez sur ‘Save’.

Rendez vous ensuite dans l’onglet ‘media’ en bas a gauche de l’interface, dans un premier temps je vous conseille d’afficher vos médias sous forme de liste (permet de voir entre autre si vos médias ont un proxy) pour ca cliquez sur le bouton indiqué ci-dessous. Malheureusement, Davinci resolve n’affiche pas par defaut les proxy dans cet espace, pour les voir faites un clic droit sur l’espace indiqué ci-dessous et cochez ‘Proxy’.

Enfin, il vous suffira de mettre votre souris sur vos vidéos et de faire clic droit> ‘Generate Proxy Media’ pour mettre un proxy sur vos vidéos.

Couper, assembler, gérer les pistes.

A présent, une des premières choses que vous voudriez faire serait d’enlever l’audio de vos vidéos pour laisser place a celui que vous avez choisi. Pour cela, vous allez simplement faire un clique droit sur vos pistes et cliquer sur ‘mute‘.

Dans le cas ou vous voulez afficher deux pistes en même temps a l’écran, le moyen le plus simple est d’ utiliser l’inspecteur (inspector) dans son onglet vidéo, vous pouvez y changer, la taille, la position et d’autres paramètres de votre piste.

A présent une dernière et indispensable compétence va vous être nécessaire: la coupe (cut). Pour faire un cut il suffit de faire un clic droit sur le curseur de votre projet a l’endroit où vous voulez couper et de cliquer sur les ciseaux (nous n’utiliserons pas cette fonctionnalité ici car on en a pas besoin mais notez bien que vous pouvez déplacer vos pistes par un simple glisser-déposer).

Vous pouvez maintenant enlever les parties ‘en trop’ de votre timeline en faisant clic droit->cut.

Exporter les rendus

Une fois que vous avez obtenu un résultat qui vous satisfait vous voudrez exporter votre montage sous forme de fichier mp4, pour cela il faudra aller dans la partie ‘deliver‘ (en bas a droite avec un logo de fusée). Dans l’onglet ‘render settings’, vous trouverez tous les paramètres pour créer votre rendu comme le format, la résolution, la compression, les fps, la qualité… Une fois que vous avez paramétré votre rendu il vous suffira d’appuyer sur ‘add to render queue’ puis sur ‘Render all’ pour créer votre vidéo.

Votre projet est maintenant enregistré sous sa forme finale a l’emplacement que vous avez spécifié dans les paramètres.

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Comment utiliser I’ IA de Wondershare Filmora ?

L’intelligence artificielle est utilisée dans un grand nombre de domaines, y compris dans le domaine du montage vidéo ou photos. WonderShare Filmora propose une version polyvalente de cette intelligence allant de l’intelligence artificielle de conversation à la création de musique ou d’images

Qu’est ce que l’Intelligence artificielle ?

L’intelligence artificielle est un ensemble de méthodes et techniques destinés a simuler l’intelligence humaine et je dit bien simuler, pas reproduire avec exactitude. il existe deux types d’IA tout d’abord l’IA faible utilisé dans des taches spécifiques comme la reconnaissance de voix, et l’IA forte utilisé pour résoudre des problèmes complexes et simuler des comportements humains.

Ajouter des sous titres a une vidéo

Cette méthode s’avère très utile dans la création de vidéo YouTube si on veut ajouter des sous-titres pour une meilleure compréhension ou si on veut écouter une vidéo sans le son . il est très simple d’ajouter des sous-titres d’une vidéo dans toutes les langues disponibles.

D’abord il faut d’importer une vidéo ou un audio.

Il faut ensuite disposer la vidéo sur la timeline, la sélectionner, faire clic droit et sélectionner le terme « speech to text » comme ci-dessous.

Une page s’affiche, il suffit de choisir selons ces préférences il faut choisir la langue de l’audio en fonction de si c’est l’ensemble de l’audio qui est à traduire ou simplement une partie (cela ne fait pas une traduction si l’on met dans ce cas en Français alors que l’audio est en anglais)

après cela l’audio ou la vidéo et sous-titré dans la langue parlée, on peut modifier les sous-titres en faisant clic droit sur le texte qui apparait en bleu.

Une autre page s’interpose.

on peut modifier le type de texte ou le texte, la taille, l’agencement (si on veut par exemple traduire en Français). La partie « préréglage » permet de changer la couleur du texte

Découpe intelligente IA

cette utilisation de l’IA qui peut être très pratique quand la vidéo est lente et avec une bonne stabilisation, la découpe intelligente consiste a effacer une partie d’une vidéo comme par exemple une montagne, on peut par la suite la remplacer par une autre élément ,un autre motif.

Il suffit ensuite d’utiliser de sélectionner avec le stylo les parties qu’on veut retirer on peut choisir l’épaisseur du stylo, l’épaisseur des contour. Une gomme est à disposition afin d’effacer les traits qui dépassent du motif que l’on veut garder ou si l’on veut lisser les contours pour moins d’imperfections.

La mise au point de ce que vous voulez retirer ou garder ce fait automatiquement comme ci-dessus, quand vous avez choisi votre zone d’image vous pouvez appuyer sur démarrer la découpe intelligente marqué par la flèche ci-dessus, toute la vidéo sera alors parcouru et gardera l’élément sélectionné, effaçant le reste.

On peut par la suite mettre un autre fond comme ci-dessous.

Suppression vocale

La suppression vocale est vraiment très simple à appliquer, il suffit d’importer une musique, faire clic droit clic droit et de cliquer sur « suppression vocale par IA ». On obtient alors deux bandes sons, une qui contient seulement la voix et une autre contenant seulement la musique,

IA de conversation

Filmora comprend également une partie très similaire a chat GPT, elle se trouve dans l’écran d’accueil sur « rédaction IA » , cette rédaction reprend exactement les mêmes aspects que chat GPT, mais cependant elle est mise est mise à jours.

Extension audio IA

L’extension audio peut être utilisé quand votre vidéo est trop longue pour votre musique ou au contraire trop courte pour votre musique. Il faut sélectionner l’outil « extension audio » comme si dessous

par la suite il faut étendre l’audio ou de le diminuer. Attention, diminuer l’audio n’efface pas une partie, l’IA contracte l’audio.

Conclusion:

J’ai expliqué ici 5 utilisations de l’intelligence artificielle de Filmora, néanmoins filmora présente beaucoup plus d’IA que cela. Je ne les ai pas toutes présentés parce que certaines sont presque identiques que celles présenté.De plus La création d’image par description, n’est que peu utile pour le montage vidéo, et la création de musique par choix de thème reste quand même à développer les musiques générées comme cela présente encore trop de défauts à mon gout. Enfin l’IA peut être très utile pour faire un montage vidéo ou audio. Grâce a de nombreux outils plus ou moins puissant qui vous facilitent la vie.

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Faire du montage audio simplement avec Audacity

Que vous souhaitiez monter une interview, mixer vos réalisations musicales, ajouter une ambiance sonore à un récit ou même créer votre propre sonnerie de téléphone, vous serez amené à utiliser un logiciel de montage audio. Il en existe de très nombreux, payants ou gratuits, avec plus ou moins de fonctionnalités. Le logiciel Audacity que je vais utiliser et vous présenter à travers ce tutoriel est un des outils de montage le plus utilisé car il regroupe de nombreuses qualités : c’est un logiciel gratuit, disponible sur tous les systèmes d’exploitation (Windows, Mac OS, Linux) qui est à la fois simple d’accès et très complet ce qui en fait un outils prisé par les professionnels.

Plutôt que de faire une présentation d’Audacity au travers de toutes ses fonctionnalités ce qui donnerait lieu à un tutoriel aussi long que fastidieux au vu de la richesse du logiciel, j’ai préféré vous présenter les principales fonctionnalités à travers une mise en situation : je vais vous montrer comment réaliser un podcast simple, constitué d’une introduction musicale suivie du contenu du podcast, de la voix qui aura été au préalable enregistrée à l’aide d’Audacity, et qui se conclura par un autre morceau musical.

1. Présentation rapide de l’interface d’Audacity

Voici comment se présente l’interface graphique d’Audacity :

Cette interface se divise en trois parties :

  • un menu constitué des différents onglets donnant accès aux nombreuses fonctionnalités du logiciel par des menus déroulants
  • les barres d’outils (partie encadrée en bleu)
  • le plan de travail ou s’affichent les différentes pistes audio nécessaires au projet (partie encadrée en rouge).

Parmi les nombreuses barres d’outils détaillées ci-dessous, il y a :

  • en rouge : le lecteur avec les commandes classiques de lecture, pause, enregistrement,…
  • en jaune : la selection du nombre de canaux : 1=mono, 2=stéréo. Il est possible de choisir jusqu’à 32 canaux différents pour une même piste
  • en bleu : la barre des commandes de bases telles que « couper », « copier », « coller », « effacer », fonctions de zoom
  • en vert : la boite à outils qui regroupe les outils de sélection (pour sélectionner une portion de la piste), l’outil de retouche, l’outil d’enveloppe sur lequel je reviendrai plus tard
  • en mauve : le variateur de vitesse de lecture
  • les vu-mètres qui montrent (barres horizontales vertes) le niveau des signaux audio d’entrée/sortie
  • le réglage des niveaux sonores d’entrée/sortie (au-dessus du cadre bleu)

Enfin le plan de travail est constitué des différentes pistes audio nécessaires au projet. Voici à quoi ressemble une piste audio (mono).

La piste est elle même divisée en deux parties :

  • une large fenêtre dans laquelle apparaît la courbe (en bleu) du signal sonore (il y a autant de courbes que de canaux)
  • à droite de ce signal, une fenêtre regroupant des informations sur ce signal telles que le nombre de canaux, la fréquence d’échantillonnage (44,1 kHz par défaut ce qui correspond à un signal HiFi), des curseurs permettant de régler le niveau sonore et la balance entre la droite et la gauche c’est-à-dire la répartition entre la sortie droite et la sortie gauche (même si le signal est mono) et des options permettant de rendre la piste muette (« silencer ») ou au contraire de rendre toutes les autres muettes (« solo ») lors de la lecture simultanée de plusieurs pistes.

2. Enregistrement d’une voix avec Audacity

Audacity permet d’enregistrer un signal sonore en mono ou en stéréo. La stéréo est utile lorsque le champ sonore à capter est large, en pleine nature, ou que l’on souhaite capturer l’ambiance d’une salle en même temps que le spectacle qui s’y déroule. Dans le cas de la captation d’une simple voix (mon cas ici) un enregistrement en mono est suffisant. Il faut savoir que lors de l’exportation du projet finalisé celui-ci sera de toute façon automatiquement converti en stéréo. Pour procéder à l’enregistrement rien de plus simple :

  1. on sélectionne le nombre de canaux enregistrement (mono/stéréo) : mono dans mon cas
  2. on clique sur la touche d’enregistrement (le bouton avec un point rouge)
  3. une fois l’enregistrement terminé on clique sur la touche d’arrêt (le bouton avec un carré noir).

Nous obtenons la piste suivante d’une durée d’environ 34 secondes :

a. « Silencer » le début de l’enregistrement

Avant d’utiliser cet enregistrement en l’état, il faut procéder à quelle retouches dans le but d’en améliorer la qualité et de corriger d’éventuelles erreurs de diction.

Pour commencer zoomons sur le début du signal. Pour cela, il suffit de placer le curseur dans la zone que l’on souhaite agrandir (ici à 2 sec.) et de cliquer ce qui fera apparaître un trait noir vertical traversant la piste. En cliquant sur l’icone « zoom avant », le zoom (horizontal) s’effectuera autour de cette zone.

On voit que durant les deux premières secondes bien qu’elles correspondent à du silence, la courbe n’est pas parfaitement plate et que donc un léger bruit de fond subsiste. Cela est d’autant plus visible si l’on effectue un zoom vertical. Pour cela, il suffit de placer le curseur de la souris au niveau du 0.0 à droite de la piste audio. Celui-ci se transformera en loupe et en jouant sur la molette de la souris on pourra zoomer et dézoomer à volonté.

On voit clairement que la portion du signal située au dessus de la flèche verte est bruitée. Nous allons donc la remplacer par du silence. Cette opération se fait en deux temps. Tout d’abord, il faut sélectionner la partie à transformer. Pour cela, on positionne le curseur au début de la portion, puis on clique (pour tout le tutoriel « cliquer = cliquer sur le bouton droit ») et en maintenant le bouton appuyé, on sélectionne en se déplaçant vers la droite le morceau qui nous intéresse qui va alors prendre une teinte bleu clair. Pour terminer la sélection, il suffit de relâcher le clic de la souris. La deuxième étape consiste alors à cliquer sur l’icône « silencer » (encadré ci-dessous) pour transformer la sélection en silence comme on peut le constater sur les deux captures suivantes.

ce qui nous donne, après avoir utiliser la commande « silencer la sélection » (encadrée en rouge) la piste ci-dessous :

b. Corriger une erreur de diction

Lors de cet enregistrement, j’ai (volontairement) commis une erreur de diction en me trompant sur un mot , erreur que j’ai corrigée aussitôt en reprenant correctement cette fois le mot et en poursuivant ma lecture. Il est d’ailleurs conseillé lorsqu’on commet une erreur de ce type de se corriger et de continuer son enregistrement plutôt que de tout arrêter et tout reprendre à zéro ce qui peut être une source de stress d’autant plus importante que l’enregistrement est long. Audacity est un logiciel qui permet de rectifier après coup assez facilement ce type d’erreur comme nous allons le voir.

La première étape consiste à repérer la portion du signal dans laquelle se situe l’erreur. Pour cela, après une première écoute qui va nous permettre de repérer assez vaguement le passage en question, on va pouvoir sélectionner dans la réglette temporelle (barre graduée légèrement bleutée située juste au dessus de la piste) une fenêtre en procédant de la même manière que lorsqu’on a sélectionné un morceau de la piste sauf que cette fois-ci, il faut placer le curseur sur cette réglette. Une fois la fenêtre temporelle sélectionnée, celle-ci sera relue en boucle (il ne sera plus nécessaire de réécouter à chaque fois toute la piste. Ainsi en ajustant les bord de cette fenêtre temporelle, il devient facile d’isoler avec précision le passage qui nous intéresse (partie de la piste encadrée en rouge ci-dessous. Le flèche rouge indique la fenêtre temporelle correspondante.)

Pour supprimer ce passage, il faut commencer par le sélectionner mais il faut éviter d’effectuer un simple « couper » ou un « supprimer et raccorder » car au niveau du raccord il subsistera un petit bruit (il y a peu de chance que le raccord se fasse parfaitement et soit inaudible). Pour cela quelques manipulations sont nécessaires. Dans un premier temps, il faut lancer la commande « supprimer-séparer »

ce qui va avoir pour effet de supprimer le morceau désiré et de créer un espace vide à la place et de couper la piste en deux parties (on parle aussi de clips) distinctes.

L’étape suivante consiste à rapprocher les deux clips sans pour autant les coller. Pour cela, on va déplacer le clip de droite vers la gauche. Ce déplacement temporel aussi appelé ajustement temporel est une opération très commune et très simple qu’il est essentiel de maîtriser. Il suffit de placer le curseur sur la partie supérieur de la piste (zone plus claire que le reste de la piste) ; celui-ci prend alors la forme d’une main qui permet d’un simple double-clic de la souris de saisir la piste et de la déplacer horizontalement à sa guise . Dans notre cas, nous allons faire glisser cette piste pour la placer à 0,2 sec de la piste gauche. Pour les opérations suivantes, il peut-être nécessaire d’effectuer un zoom horizontal (x2 suffit) autour de la fin du clip de gauche et du début du clip de droite afin d’avoir plus de détails et ainsi d’être plus précis dans nos futures manipulations. Pour rendre la transition entre les deux morceaux parfaitement inaudible, on va sélectionner un cours laps de temps (quelques dixièmes de seconde) avant la fin de la piste de gauche puis réaliser un « fondu en fermeture » comme indiqué ci-dessous.

Puis de la même manière, on selectionne un cours pas de temps au début de la piste de droite et on réalise un « fondu en ouverture » :

Le but du fondu en fermeture c’est de diminuer la signal sonore jusqu’au silence (l’inverse pour le fondu en ouverture). Par ces quelques manipulations, nous avons supprimé notre erreur et récupéré une piste audio sans raccord audible.

c. Supprimer le bruit de fond

Un autre problème récurrent lors d’un enregistrement est qui peut entâcher la qualité du signal sonore est la présence de bruit de fond. Celui-ci peut avoir plusieurs origines (qui peuvent s’additionner) : matériel de captation de mauvaise qualité ou défectueux, bruit environnant comme le ventilateur du PC. Ce bruit, même léger, peut-être gênant et altérer la qualité de l’enregistrement surtout pendant les périodes de silence ou il sera le plus perceptible. Heureusement Audacity dispose d’une commande qui permet de réduire significativement ce bruit. La tâche est assez simple. Tout d’abord il faut sélectionner un morceau de la piste ne contenant que ce bruit de fond, c’est à dire une partie « silencieuse » (1 ou 2 sec. suffisent).

Ensuite, il faut cliquer sur l’onglet « Effets » puis dans le menu déroulant sélectionner « réduction de bruit ». La fenêtre suivante s’ouvrira :

cliquer alors sur « Prendre le profil du bruit » ce qui permettra à Audacity de savoir ce qu’il devra supprimer.

Retourner ensuite sur la piste et sélectionner cette fois-ci la totalité de la piste (placer le curseur à l’intérieur de la piste de double-cliquer : la totalité de la piste sera colorée en bleu ciel) puis recommencer l’opération précédente : Effets>Réduction de bruit et la fenêtre précédente s’ouvrira à nouveau. Cette fois-ci il faudra cliquer sur le bouton valider :

La totalité de la piste a été débruitée : même s’il n’a pas complètement disparu, le bruit a été significativement réduit comme on peut le constater sur le signal sonore ci-dessous que l’on peut comparer avec celui avant débruitage affiché plus haut.

3. Mixage de la musique d’introduction et du début du podcast

La plupart de podcasteurs débutent leur création par une brève introduction musicale (aussi appelée « jingle ») qui est en quelque sorte la signature du podcasteur. Pour ne pas déroger à la règle, nous allons ajouter en début de notre enregistrement vocal effectué précédemment, un jingle. La première étape va consister à importer un fichier musical (pour cette illustration, j’ai utilisé une musique libre droit).

a. Importation de la musique d’introduction

Le format du fichier importe peu car Audacity reconnait la plupart des formats audio. L’importation est une opération très simple qui s’effectue en quelques clics de souris comme le montre la capture ci-dessous :

Une fenêtre s’ouvre sur le répertoire dans lequel se trouve le fichier que l’on souhaite importer, dans mon cas le fichier Moon-Wisper.mp3

Une nouvelle piste constituée de deux sous-pistes (car le fichier importé est en stéréo) apparaît sous la piste de notre enregistrement : elle correspond à notre fichier musical.

Il est important de noter qu’il n’y a pas de différence à travailler sur une piste mono ou stéréo puisqu’en stéréo toute opération effectuée sur une des deux sous-pistes se répercutera automatiquement et de manière identique sur l’autre sous-piste.

b. Différentes stratégies de mixage

En présence de plusieurs pistes audio, toutes les pistes sont lues simultanément. Comme je souhaite débuter mon podcast uniquement par une introduction musicale de quelques secondes, je vais décaler la piste vocale (qui correspond à l’enregistrement effectué en première partie) de 10 sec pour que sa lecture ne commence que 10 sec plus tard. Pour cela, j’effectue un ajustement temporel comme expliqué dans la section 2.b.

A ce stade, si je lance la lecture à partir du début, on entend bien uniquement de la musique les dix premières secondes puis au-delà vient s’ajouter la voix ce qui bien sûr n’est pas satisfaisant. Il existe (au moins) trois façons de réussir une bonne transition entre le jingle initial et le début du podcast.

  1. On fait commencer la partie vocale juste après la fin du jingle
  2. La fin du jingle et le début du podcast se superposent quelques secondes avant que la musique ne s’arrête complètement.
  3. la troisième approche est similaire à la précédente sauf que la durée ou les deux pistes vont se superposer est un peu plus longue et que le mixage entre voix et musique est plus travaillé : on diminue le volume de la musique durant les moments de parole pour la remettre à son niveau nominal pendant les périodes de silence.

Dans les trois cas, pour que cette transition soit la plus harmonieuse possible et éviter un arrêt brutal de la partie musicale, on va être amené à utiliser l’outils d’enveloppe. Pour mettre en oeuvre cet outil, il suffit de cliquer sur l’icone encadré ci-dessous

Aussitôt chacune des pistes est encadrée par deux lignes bleues représentant les seuils minimal et maximal du volume sonore de chacune d’elles.

En positionnant le curseur sur la piste qui nous intéresse celui-ci prend la forme d’une paire de petits triangles qui se superposent. En cliquant sur la souris, vont apparaître deux paires de petits carrés blancs (un sur chacune des deux lignes bleues puis deux situés à la jonction des parties grises claires/foncées). Il est possible de déplacer verticalement ces carrés ce qui va avoir pour effet de modifier la courbure des lignes bleues et ainsi de modifier le volume sonore de la piste à partir de la position de ces carrés. Ces carrés jouent le rôle de balises que l’on peut poser à plusieurs endroits de la piste pour moduler sur une portion voire la totalité de la piste le volume sonore comme on peut le voir ci-dessous.

On peut se poser la question du rôle de la paire de carrées intérieurs. On a vu que les carrés extérieurs permettaient en courbant les lignes bleues de modifier le volume sonore qui ne peut dépasser le volume nominal. Le déplacement de ces carrés entraîne celui des carrés intérieurs. Néanmoins, il est possible de déplacer directement ces derniers et de les positionner au dessus de leur position initiale et ainsi d’augmenter le volume qui du coup sera plus élevé que le niveau nominal. On dispose donc de deux leviers nous permettant de diminuer le son (les carrés extérieurs) ou de l’augmenter (les carrés intérieurs).

Les mixages 1. et 2. étant assez proches, je vais directement présenté le second. Sur les 10 sec qui précèdent le début de la piste vocale, je vais conserver le niveau sonore musical durant les 8 premières secondes puis à partir de là diminuer celui-ci progressivement jusqu’à le réduire au silence à la quatorzième seconde soit 4 sec après le début du podcast. Pour cela, en utilisant l’outils d’enveloppe présenté juste avant, j’obtiens un simple fondu en fermeture de la piste musicale qui se termine après 14 sec.

Le mixage 3. toujours réalisé à l’aide de l’outils d’enveloppe permet d’alterner pendant les premières secondes du podcast la partie musicale et la partie vocale.

4. Mixage de la fin du podcast et du jingle final

Dans la dernière partie de ce tutoriel, nous allons voir comment terminer notre podcast grâce à l’ajout d’une musique finale. La démarche étant très similaire à l’ajout d’une introduction musicale présentée en détail dans la section précédente, je ne vais pas refaire un présentation aussi détaillée. Pour commencer, j’importe le fichier contenant le morceau qui va servir de jingle final. Même si, comme pour l’introduction musicale, on peut imaginer plusieurs transitions, je vais ici limiter mon choix à un simple fondu en ouverture (note : Audacity possède une fonction « fondu en ouverture » que nous avons utilisée dans la première section mais qui effectue un fondu très basique et moins poussé que ceux que nous avons et allons effectuer). Tout d’abord, je déplace (par ajustement temporel) le jingle final jusqu’à la fin de la piste vocale. Plus précisément, je place le début du jingle 3 sec avant la fin de l’enregistrement vocal.

Ensuite, à l’aide de l’outil d’enveloppe, en partant de zéro j’augmente progressivement le volume de la partie musicale jusqu’à atteindre le volume nominal 3 sec plus tard puis je laisse à ce niveau pendant 5 sec et enfin pour ne pas arrêter brutalement le jingle, j’effectue un dernier fondu en fermeture, toujours à l’aide de l’outils d’enveloppe et je laisse une période de silence de 2 sec au cas ou l’auditeur enchaîne avec la lecture d’un autre enregistrement.

En mettant bout à bout toutes les parties, voici le podcast dans son intégralité :

Voilà notre podcast terminé ! Il ne reste plus qu’à le convertir en un format reconnu par un lecteur audio comme le MP3. Audacity permet la sauvegarde d’un projet avec un format (.aup3) qui est propre au logiciel et qui permet d’y retravailler ultérieurement. Cependant ce format n’est pas reconnu et ne peut donc être lu par d’autres applications. Pour rendre le projet lisible par un lecteur audio, il faut le convertir (ou l’exporter) dans un format audio standard. Audacity permet l’exportation sous de nombreux formats :

certains garantissent une qualité (au moins) CD mais produisent des fichiers volumineux, d’autres sont des formats compressés avec une qualité audio moindre mais qui vont créer des fichiers de plus petite taille.

5. En conclusion

Audacity est un logiciel que j’ai découvert en cours de musique au collège. Depuis, je l’utilise occasionnellement pour faire du mixage audio. Lorsque j’ai dû me familiariser avec ce logiciel, j’ai trouvé de nombreux tutoriels sur internet mais tous ne faisaient que la description (plus ou moins détaillée) des différentes fonctionnalités, ce qui rendait leur lecture peu agréable. J’ai tenté de réaliser ici le tutoriel que j’aurais aimé lire pour pouvoir utiliser rapidement cet outils sans forcément passer par la lecture de fonctionnalités dont je n’aurais peut-être jamais l’utilité. Une mise en situation simple, juste pour démarrer et se familiariser avec les fonctions de base …

Tutoriels

Comment faire un montage vidéo grâce au logiciel CapCut…

Vous rêvez de faire une bonne vidéo en réalisant un montage mais vous n’avez jamais touché a un quelconque logiciel de montage ? Ce tutoriel est fait pour vous, il vous permettra d’avoir les bases en montage vidéo grâce au logiciel CapCut. Etes vous prêt à impressionner vos amis et vos proches ?

Pourquoi faire un montage vidéo ?

Ce tutoriel consiste à vous initier au montage vidéo, mais dans quel but ? Il y a plein de façon d’utiliser un montage vidéo :

  • pour rentrer dans une école, en effet certaines écoles peuvent demander à avoir une présentation vidéo du candidat, ainsi cela permettrait de vous faire sortir du lot, en montrant vos capacités de montage et d’imagination.
  • pour un support personnel, faire une vidéo assemblée de plein de vidéos souvenirs (permet de supprimer le reste des vidéos pour faire de la place).
  • pour un support professionnel, cela concerne les métiers de l’internet, des réseaux sociaux (YouTube, Instagram), de la communication.
  • pour un mariage, cela permettrait de faire un message touchant, récapitulant les années passées avec le/la mari/é, cela pourra appuyer votre discours par exemple.
  • pour un anniversaire, de la même manière que le mariage, c’est une façon touchante de souhaiter un joyeux anniversaire à la personne concernée.

Et plein d’autres….

Pourquoi utiliser le logiciel CapCut ?

CapCut est une application de montage vidéo détenu et développé par ByteDance, CapCut est un éditeur vidéo gratuit. La principale fonctionnalité de l’application CapCut est de faciliter l’édition de courtes vidéos dans des formats verticaux ou horizontales. Ainsi ce logiciel est l’un des plus faciles à utiliser lorsque l’on débute, il est simple d’utilisation.

CapCut n’est pas encore disponible pour les ordinateurs de bureau (qu’il s’agisse de PC ou d’ordinateurs portables). Il est uniquement disponible pour les appareils Android et iOS en tant qu’application mobile. Ainsi ce tutoriel sera produit avec comme support l’Iphone 11.

Utiliser le logiciel de montage CapCut :

Installer l’application CapCut :

CapCut est disponible sur iPhone et Android, accedez au magasin d’application de votre appareil : Apple AppStore pour iPhone ou Google PlayStore pour Android.

Allez dans « recherche » en bas à droite, puis cliquez sur la barre de recherche et écrivez « CapCut ».

Lorsque cette interface apparait, appuyez sur « CapCut – Montage video & photo » et appuyez sur « télécharger » en bleu ( le miens est deja installer donc il y a marquer « ouvrir », mais sur le votre il y aura marqué « télécharger » à la place).

Une fois que le téléchargement est fini, allez dans votre écran d’acceuil et appuyez sur l’application pour l’ouvrir.

Fonctionnalités de CapCut :

Une fois l’application ouverte, vous aurez cette page d’acceuil, pour se créer un compte il suffit d’aller sur le petit bonhomme en haut a gauche de l’écran, suite à cela, pour commencer un projet, une vidéo dans le cadre de ce tutoriel là, appuyez sur « Nouveau Projet » en bleu.

Il faudra alors sélectionner les photos et vidéo qui apparaitrons dans votre vidéo. Une fois la totalité sélectionnée, il faut appuyez sur « ajouter » en bas à droite. C’est alors que cette interface apparait, désormais nous pouvons commencer notre montage.

Nous allons maintenant voir les possibilités de montage que propose l’application CapCut :

Premièrement, les modifications se font avec les icones en bas de votre écran, on y trouve 10 possibilités:

Dans ce tutoriel nous allons analyser les plus utilisés, les bases du montage que CapCut nous propose, ainsi nous allons commencer par le premier, « modifier » qui est caractérisé avec un symbole de ciseau. En appuyant sur celui ci, une nouvelle interface apparait avec 24 icones, donc 24 modifications possible pour votre montage vidéo (faire défiler sur votre téléphone pour voir les autres)

Tout comme la première interface, nous allons aller droit au but et s’interresser qu’aux modifications les plus utilisées, les plus utiles. Je vais ainsi faire une liste avec chaque caractéristiques des modifications les plus importantes sous forme de liste, je ferai des explications plus approfondi lorsque l’utilisation est plus complexe.

  • « diviser » permet de diviser une vidéo en deux, trois, quatre, etc..
  • « vitesse » permet de modifier la vitesse de la vidéo (x2, x5….), faire des slowmotion (avoir une partie de la vidéo plus lente que le reste.
  • « animation » permet de faire arriver ou de faire partir une vidéo d’une certaine manière (fondu, secoué…)
  • « supprimer » permet de supprimer la vidéo, l’image.
  • « volume » permet de changer le volume, ou de le couper pour mettre la vidéo sans son et en rajouter un par dessus (nous verrons cela plus bas).
  • « modifier » permet de faire pivoter l’image ou la photo, mais aussi la recadrer.

Le reste sont moins utile pour une personne qui débute, donc cela ne vous servira pas à grand chose maintenant.

Revenons à l’interface du début avec nos 10 icones (appuyez sur la flèche en bas à gauche), nous venons d’expliquer ce que l’icone « modifier » faisait, maintenant, passons au reste :

J’ai laissé une mention spéciale pour l’icone « extraire un son » car il mérite d’être commenté plus que le reste, il est plus intéressant et complexe. Lorsque l’on appuie sur cette icone, une nouvelle interface apparais :

Il y a en effet 4 modifications possibles, premièrement, « sons » permet de mettre sur notre vidéo sans son (mutte le son précédemment) une musique de TikTok par exemple, mais aussi des sons extrait de d’autres vidéos de notre montage.

Deuxièmement, « effets » permet de mettre des sons assez court déjà proposés par CapCut, comme des applaudissements, des rires, des bruits de trafics, des musiques ambiantes….. Cette possibilité là est très pratiques pour les montages/court métrage humoristique.

Troisièmement, « extraite » nous renvois directement dans notre galerie vidéo pour que l’on sélectionne le son d’une vidéo qui nous intéresse, ainsi, le son sera mit sur une vidéo ou photo choisis, et la vidéo du son ne sera pas voyante lors de sa diffusion.

Et puis dernièrement, « voix off » permet comme il l’indique d’enregistrer une voix off en même temps que la vidéo défile, cela est pratique lorsque par exemple, pour une école, si nous avons envie de montrer un dessin, nous pouvons la mettre en grand sur la vidéo, et faire une voix off pour expliquer ce dessin etc, mais cela peut aussi servir pour les vidéo YouTube par exemple comme les vlog.

Après avoir analyser la rubrique « son » qui est l’un des plus utiles, nous allons continuer avec « Texte », en apuyant dessus, une nouvelle interface apparait, avec 6 modifications possibles. Nous allons les commenter en liste, comme précédemment.

  • « Ajouter du texte » permet comme il le dit, d’écrire un texte que l’on pourra mettre sur notre vidéo, nous pouvons changer la police, la couleur, la taille, les effets d’apparitions et de disparition du texte, ainsi cette fonctionnalité est très pratique.
  • « stickers » ouvre une banque de petits dessins animés ou non, nommé « stickers », ainsi nous pouvons ajouter des petites animations a notre vidéo.
  • « légende automatique » permet d’avoir en bas de notre vidéo la légende de ce que la vidéo dit, ainsi, les personnes qui ont des problèmes d’audition peuvent lire ce que la vidéo dit.
  • « modèle de texte » ouvre une banque de modèle de texte, c’est à dire, des animations comme « happy new year » , nous pouvons aussi changer le texte si c’est juste l’animation et le placement du texte qui nous plait.
  • « paroles automatique » permet de mettre en légende les paroles de musique.
  • « dessiner » permet comme son nom l’indique de dessiner sur la vidéo, la photo.

Maintenant que « texte » est expliquer, nous allons continuer avec le reste qui peut servir en tant que débutant.

  • « stickers » renvoie exactement la même interface que précédemment.
  • « superposition » permet de mettre plusieurs vidéos ou photo au même moment, choisir l’opacité de celles ci pour avoir un rendu plus fondu.
  • « effets » CapCut propose des effets à appliquer sur notre vidéo, comme des changements de couleurs, du floutage et encore bien d’autres.
  • « filtres » tout comme dans nos modifications de photos et vidéos dans notre galerie, cette fonctionnalité permet de changer l’intensité des couleurs, mettre en noir et blanc etc..
  • « format » permet tout simplement de modifier le format de la vidéo (9.16, 16.9 , 1.1, …..)
  • « zone de travail » n’est pas très important, il permet seulement de modifier la couleur sur les bords si vous le souhaitez.

Pour finir, il suffit d’appuyer sur l’icone du téléchargement en haut a droite de l’écran pour l’enregistrer dans votre galerie ou le partager à des proches.

Conclusion

Pour conclure ce tutoriel, si vous avez besoin de faire du montage pour x raison ou si vous avez l’envie d’apprendre, de s’informer sur ce sujet là, alors CapCut est selon moi le meilleur logiciel pour commencer le montage.

Il est ludique, simple d’utilisation, et surtout gratuit.

Merci d’avoir prit le temps de lire mon travail, bon montage !

Tutoriels

Comment utiliser After Effect ?

After effect est un logiciel accessible à tous créée par Adobe afin de faire du montage et de rajouter des effets spéciaux dans des vidéos de manière professionnelle, ce logiciel peu être un peu compliqué à prendre en main et c’est pourquoi ce tutoriel existe.

Comment créer une composition

La première chose que nous voyons en arrivant sur After Effect, c’est cette page :

Afin de commencer son montage, il faut cliquer sur « Nouvelle composition » afin de démarrer de 0, ou alors cliquer sur « Nouvelle composition à partir du métrage » si on veut axer tout notre montage sur une seule vidéo (ce processus importe directement la vidéo souhaitée), pour notre exemple nous allons créer une vidéo à partir de 0 et donc cliquer sur « Nouvelle composition ».

Apparait alors cette page qui nous permet de choisir la durée, la résolution et le format de notre vidéo. La durée est très importante et il faut choisir une durée plus longue que la durée estimée de notre montage final afin d’être large. Il existe une méthode permettant de rallonger la durée de notre montage mais elle est plus fastidieuse.

Nous nous retrouvons alors avec cette page divisée en 3 parties importantes.

Au milieu nous voyons un écran noir qui correspond au rendu de notre montage, en haut à droite nous voyons une banque d’effets prédéfinis qui sont très utiles. En bas à gauche nous voyons un rectangle de composition qui nous permet d’importer nos fichiers audios et vidéos et de voir toutes nos pistes, c’est sur cette partie que nous allons travailler.

Changer la colorimétrie

Afin d’illustrer ce tutoriel nous utiliserons des images du jeu vidéo Valorant.

Nous allons choisir une musique libre de droit pour notre montage, pour ce faire il suffit d’aller sur youtube et de chercher « No copyright song », après avoir trouvé la musique parfaite, on descend dans la description et on regarde la licence de la musique :

On voit ici que la licence est libre d’accès et on peut donc utiliser la musique librement
On importe la musique en glissant sur le carré en bas a gauche de notre écran

Une fois la musique importée il faut importer les extraits utilisés pour faire notre montage, le processus est le même, ici nous allons désactiver le son des extraits afin de ne laisser que la musique :

Il suffit de cliquer sur l’icone « son » pour le désactiver

Pour ajouter un calque afin d’ajouter des effets il faut faire clique droit à coté de la zone de rendu et sélectionner Nouveau > Calque d’effets :

Cette manœuvre crée un nouveau calque dans notre espace de travail. Nous allons maintenant rajouter les effets afin de rendre notre image plus joli en corrigeant les couleurs.

Afin de rechercher les effets on va taper leurs noms dans la barre de recherche en haut à droite

Les effets de corrections de couleurs à appliquer ici sont :

-Conservation des détails (tous les paramètres au maximum)

-Plus net (intensité entre 10 et 20)

-Accentuation (Choisir le rayon selon ses préférences mais généralement entre 10 et 30, il ne faut pas changer les autres paramètres car ils ne sont utilisés que dans des cas bien spécifiques)

-Courbes (Il faut changer la courbe qui apparait devant nous selon l’image que nous avons, il suffit de la modifier légèrement afin de voir un changement) :

Ces étapes constituent les bases d’After Effect et sont donc nécessaires afin de faire un bon montage, une fois que ces étapes sont bien maitrisées on peut se diriger vers des techniques plus avancées comme des transitions fluides etc…

Tutoriels

Comment utiliser le logiciel d’enregistrement OBS ?

Le logiciel OBS est un célèbre logiciel qui permet l’enregistrement d’un ou plusieurs écrans sur PC, nous verrons à travers cet article pourquoi et comment l’utiliser !


Pourquoi utiliser ce logiciel au lieu d’un autre ? Quels sont ses atouts ?


Tout d’abord, OBS est un logiciel d’enregistrement gratuit et open source : c’est-à-dire qu’il est possible de retrouver son code très facilement afin de le réutiliser.
On le retrouve sur la grande majorité des plateformes softwares, incluant Windows, macOS et Linux (pour les plus aventuriers).
De plus, il intègre une option de streaming en direct pour des plateformes comme Twitch,.. mais nous resterons ici sur le simple enregistrement. 🤫


Comment utiliser OBS ?

  • Installer OBS


Il est nécessaire d’installer le logiciel avant de pouvoir s’en servir tout comme il est nécessaire d’avoir de la nourriture pour manger ! 👨‍🏫
Se rendre à l’adresse suivante : Téléchargement | OBS (obsproject.com), et bien sûr choisir la plateforme adéquate.


Une fois ceci fait, il suffit simplement d’exécuter l’installateur (ce qui a été téléchargé) et procéder à l’installation du logiciel en suivant les instructions.
On se retrouve alors avec cet écran avec un fond noir.


  • Quelques préréglages nécessaires


Se rendre dans les paramètres, puis dans la section « Sortie ».
Dans la partie « Enregistrement » : modifier à sa guise le chemin d’accès s’il ne convient pas en cliquant sur l’icône « Parcourir », la vidéo sera stockée à cet emplacement ; vérifier si le format vidéo est en mp4, ce format est considéré comme universel et peut donc être utilisé partout ! 😱


Facultativement, il peut être nécessaire de modifier le débit d’images dans la section « Vidéo » à 60, ce qui enregistrera une vidéo à 60 images chaque seconde, créant alors une vidéo plus fluide (utile pour les jeux-vidéos).
Il est également recommandé d’associer des raccourcis claviers dans la section du même nom, notamment pour le démarrage de l’enregistrement, son arrêt, sa pause et sa reprise (pour les coupures).


  • Les scènes et sources


Afin d’enregistrer l’écran, on doit donner au logiciel une scène à laquelle on associe une source, celle-ci peut être une fenêtre de navigateur, de logiciel ou même l’écran entier de l’ordinateur. 😵
Ici, la scène sélectionnée est associée à une source de l’écran entier de l’ordinateur.


À noter que l’on peut créer une liste de scènes pour chaque source récurremment enregistrée, par exemple : la scène « Écran » associée à la source « Capture d’écran » ; la scène « Minecraft » associée à la fenêtre du jeu Minecraft par la source « Capture de fenêtre » ; …


Il ne reste plus qu’à lancer le logiciel, sélectionner la scène adéquate à l’usage et à user des raccourcis clavier pour maîtriser l’enregistrement dès que l’on veut enregistrer une vidéo ! 🤗

Tutoriels

Tutoriel Montage Vidéo

Le montage vidéo avec CapCut ! CapCut est une application de montage vidéo gratuite et facile à utiliser, disponible sur les appareils Android et iOS. Dans ce tutoriel, nous vous guiderons pas à pas à travers les étapes de base du montage vidéo avec CapCut.

On va faire un montage simple et rapide sur un logiciel qui s’appel CapCut, on va le faire en trois étapes :

  • Première étape le dérushage de la vidéo
  • Deuxième étape les effets et incrustation de la vidéo
  • Troisième étape le Sound Design du montage

Le Dérushage

Pour faire un dérushage, on commence à séparer le son et les images cela va permettre de remarquer les moments où l’on parle, comme l’exemple d’en dessous :

Ensuite, on prend l’outil découpage ou on peut faire « Crtl B » puis découper ces moments de vide et les supprimer.

Effet et incrustation

Pour cela on peut faire plusieurs choses CapCut propose une multitude d’effets, mais si on veut faire un effet zoom on va devoir poser une balise d’où on veut commencer le zoom, puis mettre une balise de fin en définissant à l’échelle jusqu’à où on veut que le zoom s’arrête.

Maintenant, pour incruster une image il suffira juste de glisser et mettre notre image dans le vidéo, cette image on pourra la modifier sa taille et sa rotation, puis CapCut propose des animations pour qu’on introduise cette image dans la vidéo.

Le Sound Design

CapCut propose plusieurs musique libre de droits, ces musiques et effets de son vont permettre de dynamiser la vidéo, les musiques sont en fonction de la vidéo, mais on peut utiliser des petits son comme un bruitage de « ding » quand on introduit l’image apparait.

Voilà on peut exporter notre vidéo en 4K, Sans Les Filigranes pour avoir un meilleur rendu ! Et profitez de votre vidéo !

Projets

Comment faire un montage simple sur iMovie

Ce tutoriel a été entièrement rédigé par un élève en spécialité NSI au Lycée Louis Pasteur. Pour en savoir plus : Les tutoriels en spécialité NSI

Pour tous ceux qui adorent remplir leurs galeries de photos en tout genre mais qui ne savent jamais comment les assembler afin de créer un rendu correct et présentable, ce tutoriel va vous guider pour vous permettre de réaliser votre premier montage ( sur iMovie ).

A tous ceux qui ne possèdent pas de Mac, arrêtez-vous là, vous n’apprendrez rien qui ne soit compatible avec votre système d’exploitation ( Windows ou Linux ) .
Sachez que le logiciel est compatible avec iPhone et iPad mais ce tutoriel ne se concentrera que sur la version mac pour éviter les confusions.

Téléchargement et lancement du logiciel

Si vous êtes encore là c’est que vous possédez un mac ! La première étape va être de télécharger le logiciel iMovie pour pouvoir commencer à monter vos plans, si vous l’avez déjà, vous pouvez passez à l’étape suivante.

Il existe plusieurs sites pour télécharger le logiciel, néanmoins je vous conseille l’app store , il permet un téléchargement sécurisé et relativement rapide ( suivant votre débit internet ).
Vous pouvez également télécharger iMovie sur des sites tels que 01net.com.

L’interface

Lorsque vous lancez votre programme, vous devez alors créer votre premier projet.

Il faut noter que lors de votre toute première ouverture de l’application, il n’y a aucun clip, aucun projet de film et un seul événement.

Une fois votre projet créé vous arrivez sur une interface comme celle ci-dessous.

La fenêtre A se réfère à la console, elle vous permet d’importer tous vos fichiers audio et vidéo et de les modifier selon vos envies. Vous pouvez également ajouter des transitions ainsi que des cartes et des arrières plans, mais nous y reviendrons plus tard.

La fenêtre B correspond au rendu de votre travail en cours, vous pouvez vous rendre compte de votre montage dans cette fenêtre que vous pouvez agrandir en cas de besoin. La barre en haut de cette fenêtre contient un certain nombre de commandes que nous verrons dans l’étape suivante.

La fenêtre C est votre bibliothèque, elle vous permet de choisir les transitions, les textes, les cartes et les titres à mettre, les photos, vidéos et audio à insérer ainsi que les éventuels arrières plans de vos créations.

Les différentes insertions

Maintenant que vous connaissez l’interface, il est temps de réaliser votre premier montage, commençons par insérer les photos.

Il existe plusieurs façons d’ajouter photos : vous pouvez insérer des images et vidéos à l’aide de la bibliothèque seulement si vos fichiers se trouvent dans votre photothèque mac.

Ou alors, si vos fichiers sont dans un dossier sur votre bureau ou directement sur celui-ci comme indiqué sur la capture d’écran, vous pouvez les glisser directement dans la fenêtre A.

Lorsque cela est fait vous verrez qu’une bande apparaît dans votre console, pour les vidéos il s’agit de la durée de la vidéo et pour les photos il s’agit du temps durant lequel la photo va rester sur votre montage final.

Sachez que vous pouvez modifier la durée de chaque fichier : pour la vidéo il suffit de cliquer sur un trait jaune à l’extrémité de la bande qui correspond à la vidéo et d’aller vers la droite ; vous pouvez alors voir que la bande rétrécit.

Veillez bien à regarder votre vidéo modifiée une nouvelle fois pour vérifier son contenu.

Il s’agit de la même manœuvre pour les photos.

Une fois vos photos et vidéos ajoutées, vous pouvez insérer des textes ou des titres sur, ou entre vos fichiers. Pour ce faire il suffit d’aller dans votre bibliothèque, de choisir dans “Titres” une animation de texte, vous pouvez ensuite cliquer dans la fenêtre B sur le texte pour le modifier à votre guise.

Quand vous ajoutez des vidéos, le son de celles-ci est inclus, il apparaît comme une bande bleue en dessous de la vidéo.Retour ligne automatique
Si vous souhaitez le détacher, il suffit de faire un clic droit et de cliquer sur “détacher l’audio” . Vous pouvez ensuite inclure une musique ou un fichier son à l’aide de la fenêtre C dans la bibliothèque « audio » ou en le faisant glisser de la même façon qu’une image ou une vidéo ( le fichier son doit être sous format mp3 ).

Une fois l’audio inséré une bande verte sera affichée en dessous des photos texte et vidéos.

Le logiciel permet également d’accélérer ou de ralentir vos plans vidéos pour un rendu plus impressionnant. Retour ligne automatique
Pour ce faire :

  1. sélectionnez la vidéo à modifier en cliquant dessus ( le contour devient alors jaune )
  2. allez dans la barre d’outils en haut de la fenêtre B
  3. cliquez sur le logo vitesse, vous pouvez alors choisir de ralentir ou d’accélérez vos vidéos ainsi que la vitesse de ces modifications ( x2x4, …).

A noter que ces modifications auront un impact sur le temps du rendu final, alors faites ces changements avant d’insérer un audio qui soit parfaitement synchronisé.

Vous avez maintenant mis bout à bout : du texte, des images, des vidéos, et inséré une musique. Il s’agit maintenant de lier cette création de façon harmonieuse, vous avez accès à une trentaine de transitions que vous pouvez choisir dans la bibliothèque de la fenêtre C à l’onglet “transitions” . Vous n’avez plus qu’à faire glisser votre transition entre les photos et les vidéos.

Vous pouvez également effectuer des “transitions de fondu” entre vos audios en utilisant les petits cercles aux extrémités des bandes audio et allant plus ou moins vers le centre.

Notez bien que ce fondu diminuera le son de façon décroissante à la fin de votre son.

Astuces et conseils

Votre montage est terminé ! Vous avez des images des videos et de l’audio, et tout cela s’assemble très bien grâce à vos transitions judicieuses.

Vous pouvez encore peaufiner votre montage en améliorant le rendu de vos images. En effet la touche 1 vous permet de régler la colorimétrie de votre image de façon automatique mais vous pouvez également le faire de façon manuelle grâce à la touche 2 qui vous permet un réglage plus approfondi des couleurs.

Il existe aussi une fonctionnalité qui vous permet de stabiliser les vidéos tremblantes. Elle se situe dans la même barre d’outils que les fonctions précédentes. Elle permet, comme son nom l’indique, de stabiliser une vidéo tremblante pour qu’elle soit plus agréable à regarder.

Néanmoins cette fonctionnalité n’est vraiment utile que dans des cas extrêmes et elle met un certain temps à corriger la vidéo tremblante pour un résultat pas toujours visible…

Ce tutoriel est terminée, j’espère qu’il vous aura été utile. Retour ligne automatique
Je vous propose le lien suivant qui est une vidéo que j’ai réalisé avec iMovie.

Lien vers Youtube

Projets

Comment réaliser un clip vidéo avec NVIDIA

Je vais vous présentez un tutoriel permettant de réaliser un clip vidéo à l’aide du logiciel NVIDIA Geforce Expérience disponible quand on possède une carte graphique NVIDIA.

Aujourd’hui la technologie devient de plus en plus important dans la société au fil du temps. C’est pour cela que je vais vous présenter un magnifique tutoriel vous permettant de créer un clip vidéo, en espérant que mon explication vous servira et vous aidera à accomplir de grandes choses.

Il est important et pratique de savoir faire un clip vidéo facilement et rapidement que ça soit pour les jeux vidéos ou pour toutes autres activités dont vous voudriez garder un souvenir dans votre ordinateur.

Ce tutoriel est constitué de plusieurs étapes avec les explications qui vont avec.

C’EST TIPAR !!! 😉

Les différentes étapes :

  • Il est tout d’abord conseillé de se procurer un ordinateur composé d’une carte graphique NVIDIA. (Cette étape est la plus dure du tutoriel)
  • Téléchargez le logiciel NVIDIA gratuit avec le lien suivant : https://www.nvidia.com/fr-fr/geforce/geforce-experience/
  • Une fois le logiciel téléchargé ouvrez-le. Vous devriez donc tomber sur la page suivante :
  • Sélectionnez « Ouvrir l’interface superposé en jeu » se situant en haut à droite de l’écran.
  • Une fois sur l’interface rendez vous sur l’onglet « Replay instantané » puis sur « paramètre« .
  • C’est ici que vous pouvez paramétrer la durée, la qualité et la résolution de vos futurs clips vidéo sachant que plus ils sont élevé plus la taille du fichier du clip vidéo sera important.
  • Après avoir tout paramétré, retournez en arrière et sélectionnez le logo paramètre à droite de l’interface.
  • Puis rendez-vous sur « Raccourcis clavier« .

Ici vous pouvez programmer des raccourcis clavier vous permettant par exemple d’effectuer un clip vidéo ou d’activer le replay instantané (expliqué à la suite du tutoriel) sans ouvrir l’interface. Cette capacité est surtout efficace quand vous êtes en train de jouer.

  • Maintenant il ne vous reste plus qu’à revenir en arrière pour activer le replay instantané

Cela va vous permettre d’enregistrer la durée sélectionnée dans les paramètre. Par exemple si vous avez sélectionné 30 secondes, le replay instantané va enregistrer les 30 dernières secondes réalisées sur votre ordinateur quand vous aurez effectué le clip vidéo à l’aide du raccourci clavier.

Ce tutoriel est maintenant terminé en espérant que cela n’aura pas été trop compliqué. Donc il vous reste qu’à réaliser de magnifiques clips vidéo que ça soit en jeu ou autres.

Tutoriels

Comment créer un GIF à partir du lien d’une…

Ce tutoriel permet de savoir créer des GIFS rapidement et facilement à l’aide de l’URL d’une vidéo. Un GIF est un format d’images numériques (.gif) permettant de créer des images animées ou à fond transparent. Pour simplifier c’est une image qui bouge.

Il existe deux manières de créer des GIFS, soit avec des images statiques ou soit avec une vidéo. Le plus souvent les GIFS sont créer a partir d’extraits de vidéos.

Comment créer un GIF à partir d’un lien d’une vidéo ? :

1. Ouvrez votre navigateur web puis aller sur giphy.com

2. Une fois sur le site, cliquez sur l’onglet « Create » situé en haut de la page web :

3. Ensuite aller sur YouTube et sélectionner une vidéo de votre choix

4. Récupérez le lien d’une vidéo que vous voulez. Pour se faire faites un clic droit sur la vidéo en question puis cliquer sur « Copié l’URL de la vidéo » :

5. Coller le l’URL de la vidéo dans la partie du site prévu appelé « Add Any URL » :

6. Choisissez dans un premier temps la durée de votre GIF puis le moment ou vous voulez que le GIF commence :

7. Une fois toutes ces étapes faites cliquez sur le bouton « Continue to Decorate » :

8. Ensuite cliquez sur le bouton « Continue to Upload« puis « Upload to GYPHY » et attendez que votre GIF se télécharge :

9. Pour terminer faites un clic droit sur le GIF et enregistré sous l’image dans un dans une dossier de votre choix :

⚠️ Attention pour que le GIF fonctionne correctement, n’oubliez pas de l’enregistrer sous dans son format initial (.gif)

Voila le tutoriel est maintenant finis, vous pouvez maintenant vous amusez en faisant de très beau GIF rapidement 🙂