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Musique : Apprendre la MAO

La musique c’est génial. Écouter de la musique c’est fabuleux. Et faire de la musique c’est encore mieux. Sauf que c’est dur, et long, et la contrainte de l’argent n’aide pas forcément. Pourtant, grâce à la technologie, il est désormais possible de faire de la musique depuis sa chambre, sans dépenser le moindre centime. Dans ce tutoriel, je vais donc vous montrer pas à pas les bases de la production musicale, pour permettre à quiconque le voudra de se jeter à l’eau.

Vidéo du tutoriel

Introduction à la MAO

On va commencer par les bases : la MAO (Musique Assistée par Ordinateur) est un terme qui regroupe tout ce qui touche à la création de musique à l’aide d’outils informatiques.

C’est un domaine qui est devenu essentiel à la production musicale de nos jours et qui est également devenu très simple d’accès durant ces dernières décennies. En effet, là où la MAO n’apparaissait que dans des studios d’enregistrement professionnels, aujourd’hui n’importe qui peut se lancer. Voici le strict minimum dont vous aurez besoin :

• Un ordinateur : Vous allez avoir besoin d’un PC/Mac relativement puissant pour supporter le logiciel, qui est souvent assez impactant sur le processeur.

• Un casque ou enceintes : Pour un rendu sonore fidèle, un casque fermé ou des enceintes de monitoring sont recommandés. Sans ça, il sera très difficile, voire impossible, d’obtenir un résultat sonore satisfaisant, surtout au moment du mix dont on reparlera plus tard.

• Et enfin un logiciel : Le logiciel, appelé DAW, vous sera indispensable pour créer, enregistrer et même mixer. Il en existe un très grand nombre, donc vous devrez choisir le vôtre en fonction de vos préférences en terme de workflow (votre façon de travailler).

Qu’est-ce qu’un DAW ?

Un DAW (autrement appelé Digital Audio Workstation) est le logiciel qui vous permettra de globalement tout faire : enregistrer que ce soit de l’audio ou des événements informatiques en MIDI, éditer vos prises, mixer votre projet, le structurer, etc.
La plupart des DAWs sont pour le moins onéreux, mais il en existe tout de même des gratuits, qui sont parfaits pour débuter.

Si vous êtes sur Windows, je ne peux que recommander des DAWs comme Audacity (un éditeur audio très puissant, mais incompatible avec le MIDI qui permet de se servir d’instruments virtuels), Bandlab (très complet et simple d’utilisation tout en étant gratuit), ou Ableton Live Lite (la version gratuite et limitée d’un des DAW les plus répandus dans l’industrie, surtout électronique).

À gauche Audacity, à droite Garageband. On remarque que les deux interfaces sont très similaires.

Si en revanche vous êtes sur Mac, la question ne se pose même pas : vous disposez déjà d’un DAW nommé Garageband (à droite sur les captures d’écran ci-dessus), extrêmement versatile et regorgeant de fonctionnalités très avancées voir d’un niveau professionnel et qui est, à mon sens, la meilleure manière de commencer la MAO, car très intuitif et ergonomique.

Les DAW payants, comme Logic Pro, FL Studio, Ableton Live ou Pro Tools offrent des fonctionnalités généralement bien plus avancées pour les professionnels, mais il est possible et même recommandé de débuter sans.
En effet, même un logiciel gratuit demande déjà des semaines entières à maîtriser. Il est donc inutile de se plonger dans une interface encore plus intimidante, sans guide préalable.

Présentation de Logic Pro

Je vais à présent survoler l’interface d’un DAW (Logic Pro) afin de parler rapidement des fonctionnalités principales de ces derniers. J’ai choisi ce logiciel car c’est celui avec lequel je suis le plus familier, mais il faut savoir que la majorité des DAWs ont sensiblement les mêmes fonctionnalités, avec des interfaces qui tendent à se rapprocher.

Voici à quoi ressemble l’interface lorsque nous ouvrons une séance existante dans le logiciel. Ne vous inquiétez pas si cela peut paraître intimidant, je vais tout expliquer pas à pas.

• La majorité de l’espace est occupée par la timeline. C’est l’endroit où les régions d’instruments (souvent des mesures) vont apparaître et se jouer. On remarque à gauche les pistes des instruments et à droite la structure des régions.

• La première fenêtre que nous allons aborder est celle du Piano Roll. C’est l’éditeur MIDI qui va nous permettre d’utiliser des instruments virtuels, comme un piano par exemple. On peut y écrire des notes, les enregistrer et les éditer à volonté.

• Tout à gauche, il y a la bibliothèque native d’instruments virtuels. Elle est particulièrement fournie sur Logic Pro et Garageband, mais chaque DAW est unique et possède un grand nombre d’instruments natifs dès l’installation.

• À l’opposé de la fenêtre, à droite, on retrouve la bibliothèque de boucles audio et MIDI pré-enregistrées qui sont d’une grande utilité pour trouver des idées ou enrichir une composition existante.

• En bas peut également s’ouvrir le Mixer. Une grande fenêtre avec plein de boutons qui permettent de gérer les volumes, les panoramiques et effets de chaque piste, bus et master.
Chaque tranche correspond à une rangée d’instruments sur la timeline. On peut également accéder à ces tranches en cliquant sur une rangée.

• Enfin en haut on retrouve une barre d’outil, personnalisable et qui nous donne des informations sur le tempo du projet, sa tonalité, voir l’endroit où l’on se situe dans la timeline (la mesure exacte et le temps) ainsi que des contrôles.

Plugins

Les plugins sont de très loin les choses les plus utiles dans la MAO. Ce sont des applications qui s’ouvrent directement dans le logiciel et qui permettent d’y ajouter des fonctionnalités.

Les plugins ne sont pas indispensables, mais présentent des ressources très précieuses, que ce soit pour la composition ou pour le mix de votre projet.

Certains plugins sont gratuits et varient en qualité, allant de professionnels à inutiles, tandis que d’autres sont payants, mais cela ne veut pas dire qu’ils sont sans défauts. Ils se séparent en deux catégories principales, les instruments virtuels et les effets.

Les instruments virtuels

Les instruments virtuels sont tout simplement des instruments comme un synthétiseur, une batterie, un violon, etc… qui s’utilisent grâce au protocole MIDI, virtuellement donc.
Bien sûr un instrument virtuel ne remplacera jamais un vrai musicien, ni l’instrument en lui-même, car même si la technologie évolue rapidement, la différence est toujours notable.

Voici par exemple le plugin LABS, qui est une banque d’instruments externes à Logic de très grande qualité.

Les effets

Les effets permettent d’ajuster le son et de le moduler à notre guise. Il en existe un très grand nombre, mais les plus communs sont :

• La Reverb qui est tout simplement un effet temporel similaire à lorsqu’on parle dans une grande pièce vide, où notre voix se réverbère sur les parois.

• Le Delay aussi un effet temporel, où le son se répète après un certain temps et de plus en plus faible. En français, c’est de ça dont on parle quand on dit un écho.

• La Distorsion, comme ce qui se retrouve pour une guitare électrique et qui est très utile pour changer le caractère du son. Il existe plein de distorsions différentes, comme le fuzz, l’overdrive, ou encore le treble booster (littéralement l’amplification des aigus).

• La Compression est un effet dynamique, qui réduit les écarts de dynamique (en gros il sert à adoucir les sons forts et amplifier les sons faibles, pour garder un certain équilibre et mieux intégrer des instruments dans le mix).

• L’Égalisateur (appelé EQ), est un filtre qui sert à modifier les plages de fréquence d’un signal audio (par exemple amplifier les fréquences graves ou atténuer les fréquences aiguës).

Chacun est un outil qui sert à régler un problème ou apporter une texture différente au son et permet donc une manière de se rapprocher du son voulu. Il en existe bien évidemment bien plus que cela, tous avec leur but.
En général, ces plugins viennent nativement avec votre DAW, mais il est toujours possible de faire appel à des logiciels externes, s’ils vous conviennent mieux.

Voici par exemple un effet (appelé l’imager) qui permet de modifier la stéréo d’un signal audio, pour le rendre plus ou moins large, ce qui n’est pas possible avec les plugins natifs de Logic Pro.

Composition

Alors avoir des outils c’est chouette, mais il manque toujours le plus important : ce qu’on en fait. Qu’ils soient virtuels ou enregistrés, les instruments et ce qu’ils jouent restent la pierre angulaire de votre projet. Je vais donc décrire le processus de composition et le décomposer en plusieurs étapes :

• La première chose à faire c’est définir une tonalité, un tempo pour le projet (sa rapidité, en Battement Par Minute ou BPM), ainsi que sa signature rythmique (par exemple mon projet est en 5/4, mais la plupart sont en 4/4). Vous n’êtes pas obligés de connaître toute la théorie derrière ces choix, mais il est important de savoir que ces choix auront un impact plus tard.

• Ensuite, vous allez avoir besoin de mélodies. C’est là où l’aspect technologique de la MAO devient particulièrement intéressant, car vous n’avez pas forcément besoin de savoir jouer d’un instrument pour écrire votre mélodie dans le Piano Roll en MIDI. Vous pouvez simplement y écrire la mélodie que vous avez en tête, puis tenter de trouver une contre-mélodie et de continuer d’agrémenter de petits détails.

• Une fois que vous pensez avoir fini vos mélodies, vous devrez penser à poser des accords dessous. C’est une étape très importante, mais qui peut s’avérer compliquée si vous êtes complètement novice en théorie musicale. Trouver la bonne formule nécessite souvent des expérimentations, il est donc nécessaire d’y passer du temps.

• C’est à ce moment-là que vous allez devoir vous concentrer sur votre ligne de basse et votre rythmique. Ce sont des sujets assez complexes et il est nécessaire de connaître un peu de théorie si vous souhaitez explorer différents genres musicaux. Cependant, vous pouvez vous contenter du minimum : une ligne de basse qui suit la fondamentale de l’accord et un pattern de grosses caisses/caisses claires très simple.

Mixage

Une fois la composition terminée (même s’il est toujours possible d’y revenir plus tard si une idée vous vient entre temps), vous allez devoir mixer. Le mixage, c’est l’art d’équilibrer. Faire en sorte que tout sonne bien et soit cohérent. Il y a plusieurs étapes pour un mix réussi, qui seront toutes indispensables pour aboutir à un résultat qui soit agréable à l’oreille.

• Premièrement, le Mix statique. Cela consiste simplement à ajuster les niveaux de volume et les panoramiques (si votre piste est dans l’oreille gauche/droite, ou au milieu) et d’essayer de s’approcher le plus possible du résultat final seulement en s’occupant de ces deux paramètres.

Dans ce mixer : En haut le contrôle du pan, en dessous un contrôle du volume.

• C’est après que vous appliquerez vos effets à vos pistes individuelles. C’est indispensable pour créer de l’espace dans votre morceau, ne serait-ce qu’avec un EQ pour se débarrasser de fréquences non voulues, ou qui rentrent en conflit avec d’autres instruments. Une fois que toutes vos pistes seront mixées, votre projet devrait commencer à bien sonner.

• Enfin, vous pourrez appliquer des effets sur la totalité du projet, avec tous les instruments en même temps. L’idée ici est d’apporter encore plus de cohérence, en essayant de « gluer » de manière légère les éléments les uns aux autres pour qu’ils soient plus unis. Cela peut se faire à l’aide de compression, de reverb et d’un léger EQ sur cette même tranche.
À noter que la différence n’a pas à être flagrante : le but est d’être subtil afin de ne pas déséquilibrer le tout. C’est cette touche finale qui devrait permettre à votre projet de se rapprocher d’un résultat final.

Voici un exemple d’une chaîne d’effets sur un projet :

• D’abord, on a un EQ, qui vient légèrement accentuer les fréquences aiguës (le treble) et baisser les fréquences du milieu (les mids). Les basses étaient bien donc je ne les ai pas touchées.
• Ensuite, une reverb (Raum) très fine juste pour que les éléments soient moins « séparés » et une compression pour qu’il n’y ait pas trop de variations dans les dynamiques. À la suite de laquelle je remets un imager pour plus de largeur.
• Derrière, ce sont des plugins pour contrôler le volume (comme un limiteur) et je finis la chaîne avec un plugin de mastering et une légère distorsion pour caractériser le son un peu plus.

Structure

Une fois tout cela terminé, il ne vous reste plus qu’à construire la structure de votre morceau, mesure après mesure. Faites une introduction, des couplets, refrains, ponts, interludes, solos et des outros.

Amusez-vous avec les transitions et n’oubliez pas de laisser parler votre créativité : Si vous souhaitez changer de signature rythmique juste sur les couplets, c’est totalement possible. Si vous voulez laisser un grand blanc d’exactement 42 secondes en plein milieu du morceau, rien ne vous en empêche.

Voici un exemple d’à quoi pourrait ressembler la structure de votre morceau
(Intro/Couplet/Refrain/Couplet/Pont/Refrain/Outro)

À noter que ce processus créatif peut différer de personnes en personne. Je préfère construire la base de mon projet au début et construire la structure à la toute fin (quitte à rajouter des parties au dernier moment si je les estime nécessaires à la progression du morceau), tandis que d’autres préféreraient créer la structure en premier afin d’avoir une vision globale du projet et de composer par dessus.

La fin

Une fois que vous êtes satisfait de votre résultat final, il ne vous reste plus qu’à l’exporter, après ce qui s’appelle un bounce. Le format mp3 est très bien pour des fichiers de petite taille, mais vous perdrez un peu en qualité audio (étant compressé avec pertes), par rapport à un format comme wav, qui est bien plus adapté, mais aussi bien plus lourd.

La fenêtre de bounce dans Logic Pro. Il y a beaucoup de paramètres possibles, mais vous pouvez simplement laisser ceux par défaut.

Enfin, la MAO est un sujet très dense et complexe. Il est normal de s’y perdre et de ne pas tout savoir, c’est quelque chose qui s’apprend dans le temps, un peu comme un instrument de musique.
Mais j’espère que ce petit guide vous aura aidé à y voir plus clair et, à défaut de vous avoir convaincu de tenter, au minimum renseigné sur la façon dont sont produits l’écrasante majorité des morceaux de nos jours. Merci de votre lecture !

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Shazam : identifiez tous vos sons en un instant

Il ne vous est jamais arrivé d’être obsédé par un son ou une musique sur une vidéo pendant plusieurs jours sans jamais parvenir à retrouver son origine ? Toujours ce titillement régulier et ce sentiment d’amertume dont vous ne pouvez plus vous débarrasser ? Shazam est la solution parfaite pour vous !

C’est quoi Shazam ?

Avant tout, Shazam débarque sous forme d’un service téléphonique en 2002 avant de rejoindre l’Apple Store en 2008.

Le principe est simple, l’application doit être capable de retrouver n’importe quel son à la demande de l’utilisateur.

L’algorithme possède plus de 11 millions de titres stockés dans sa base de données, chacun étant assigné à une empreinte unique avec des marqueurs identitaires.

Chaque échantillon du morceau est soumis à l’analyse et les marqueurs sont comparés à ceux de la base. Plutôt logique non ?

Si vous trouvez cela plutôt enfantin, sachez que pour accomplir cette tâche l’algorithme doit reconnaître le morceau à l’aide de l’échantillon diffusé et capté par votre micro, et de plus, doit également prendre en compte les bruits alentours.

Comment ça marche ?

Pour ce faire, il a fallu trouver le moyen de créer une empreinte résistante au bruit, à la distorsion et transmission par réseau. C’est donc pourquoi les ingénieurs du son ont décidé de ne s’appuyer uniquement que sur des éléments principaux pour chaque morceau.

Ainsi, nous retrouvons notre cher spectrogramme, graphique à trois dimensions qui donne l’intensité d’un son en fonction de sa fréquence et son instant t dans la musique.

Pour faire plus simple, essayez de vous représenter cela sur un graphique. On retrouve d’abord le temps du morceau en ordonnées, en abscisses la fréquence ( comprise entre 20 et 20000 Hz, soit le spectre audible de l’oreille humaine ), et enfin la couleur ( du jaune au rouge ) pour représenter la vélocité de la note.

Sur toute la composition du morceau, Shazam ne retient ainsi que les notes ayant la plus forte vélocité, solution pour contrer tous les problèmes évoqués précédemment.

Se forme alors une constellation de petites notes qui formeront la base de l’extrait musical.

À partir des points d’encrage sont formés des triplés, composés de la fréquence du point, celle de la zone cible et leur différence de temps. En d’autres termes ce sont les fameux marqueurs temporels comparés à ceux de l’échantillon intercepté par votre micro.

S’ensuit une assimilation avec l’empreinte qui regroupe toutes les informations relatives au morceau :

  • Artiste
  • Nom de la chanson
  • Nom de l’album
  • Date de parution

Comparaison des empreintes

Après avoir calculé l’empreinte de l’échantillon et relevé plusieurs capteurs, il faut procéder à la comparaison. Mais une question se pose : comment diable l’algorithme parvient-il à encoder tout l’environnement sonore qui accompagne le morceau joué sans entacher le rendu 🤔

Pour ce faire, le processus doit être en mesure de reconnaître le morceau d’origine malgré la présence dans l’échantillon de marqueurs qui ne se trouvent pas dans l’empreinte du morceau.

De même, lorsqu’il existe des marqueurs dans l’empreinte du morceau qui ne correspondent à aucun de l’empreinte de l’échantillon fourni. Vous suivez ?

Le programme prend en compte uniquement ceci :

Le morceau correspondant à l’échantillon n’est pas forcément celui qui correspond parfaitement, mais celui qui a le plus de points communs avec les marqueurs temporels de l’échantillon, même s’il y a un léger décalage dans le temps.

Pour faire simple, les marqueurs de notre spectrogramme vont directement chercher leur « jumeau » pour établir une correspondance parfaite, ce qui explique l’incroyable efficacité de Shazam.

Utilisation

L’application est disponible sur iOS et Android.

Voici une petite démonstration réalisée sur tablette Android. Après installation et lancement de Shazam vous apercevez cet interface :

Il existe deux manières de procéder :

Son externe

Vous étiez en train de regarder une vidéo sur votre ordinateur et un son vous a interpellé, vous décidez de lancer le bouton « Shazamer » à partir de votre téléphone qui captera le son diffusé. Vous n’avez qu’à patienter quelques secondes et hop Shazam a trouvé votre son.

Pareil si vous êtes à un concert ou autre en extérieur Shazam peut retrouver le son à condition qu’il ne soit pas joué en live.

Son interne

Autre option, que je vous recommande fortement, vous pouvez utiliser directement votre panneau de paramètres rapides/centre de contrôle, l’interface en haut de votre écran que vous faites défiler.

Vous devez éditer cet interface et y faire glisser les deux options de Shazam comme ci-dessous :

Nous pouvons alors distinguer une nette différence entre les deux modes.

Imaginons que vous faites défiler des shorts YouTube et d’un coup un son vous captive. Vous faites défiler votre écran du haut vers le bas et appuyez sur le bouton « Shazam ». Cette action va permettre à l’application d’écouter le morceau joué sur le short et vous le donner instantanément.

En revanche, si vous utilisez l’option « Auto-Shazam », l’application capte tous les morceaux de façon continue en arrière-plan jusqu’à désactivation. Tous les sons identifiés sont alors enregistrés sur votre historique dans l’application. Pratique puisque vous n’avez pas à appuyer de manière répétitive sur le bouton.

Ces deux moyens d’utilisation ne nécessitent donc pas plusieurs appareils, vous pouvez le faire directement à partir du votre, ce qui est plus optimisé et rapide.

Et pour les i-Sceptiques j’ai également testé l’application sur iPhone et le rendu apporte tout aussi bien satisfaction, voire même de façon plus fluide. 😁 Donc aucune inquiétude vis-à-vis des systèmes d’exploitation.

Avantages

L’utilisation de Shazam vous apporte donc une entière satisfaction dans votre recherche de musiques, et améliore votre expérience d’écoute sans jamais vous décevoir.

Tout ceci est effectué d’une précision chirurgicale et de façon totalement gratuite. Oui, les services de Shazam ne nécessitent aucun abonnement, c’est pas chouette ?

Fait amusant : comme évoqué précédemment, Shazam ne peut pas reconnaître un morceau rejoué en direct; si cela arrive c’est que chaque chanteur et musicien interprète l’original à la milliseconde près.

C’est une autre manière de dire qu’il s’agit là de playback. 😂

Le playback c’est cette pratique qui consiste à utiliser des pistes préenregistrées lors de performances en « direct » 🤡 afin de garantir une meilleure qualité sonore et compenser les limitations vocales/techniques.

Le playback est une véritable controverse dans la musique, malgré que certains artistes soutiennent son aide dans l’amélioration des performances et le fait qu’il évite des soucis, il engendre la déception et les critiques des fans face à l’authenticité du chanteur et son intégrité artistique.

Succès et avenir

Première application à utiliser des algorithmes d’identification des sons, Shazam pèse désormais dans l’industrie musicale avec plus d’un milliard de téléchargements !

Son acquisition par Apple en 2018 a permis le renforcement de l’intégration avec iOS et Siri.

Aujourd’hui capable de reconnaître n’importe quel son en un éclair, il est aussi intégré à des services de streaming, possède des fonctionnalités hors-ligne et des recommandations personnalisées liées à vos playlists favorites. 🤯

Et l’avenir s’annonce radieux car l’IA pourrait aider à son fonctionnement et les multimédias à un élargissement au-delà du monde de la musique.

De plus, Apple compte bien renforcer les liens avec l’entièreté de son environnement et totalement influencer les tendances musicales…

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Comment faire de bonnes mélodies sur FL Studio ?

J’ai choisi le logiciel FL Studio pour mon tuto car il mélange musique et informatique qui sont deux de mes passions. Il existe d’autres logiciels de ce genre comme Ableton, Logic pro ( essentiellement sur Mac) et d’autres encore. Ce logiciel a pour but de créer des instrumentales dans le genre musical que l’on veut (rap, housse, reggae, électro …) ou bien se démarquer en créant de nouveaux styles musicaux . Cette liberté musicale apporte de la créativité et de l’originalité aux utilisateurs de ce logiciel. Dans ce tuto nous allons nous intéresser à une partie bien précise de l’instrumentale, les mélodies.

Teaser du tutoriel

Interfaces

L’interface de FL Studio peut paraître assez compliqué à comprendre mais elle est en réalité assez simple. Lorsque vous lancez votre logiciel vous arriverez sur cette page ci-dessous.

Les parties qui nous intéressent pour les mélodies sont le piano roll ( piano déroulant ), le Channel Track, et le mixeur.

Le Piano roll nous servira de repère pour faire les mélodies.

VST et piano roll

Pour créer les mélodies nous aurons besoin d’un VST (Virtual Studio Technology) qui est une bibliothèque numérique avec des sons d’instrument pour pouvoir faire nos mélodies nous aurons besoin de choisir un instrument. Pour cela il faut se diriger vers le Channel rack.

Il existe différents types de VST, certains sont payants et d’autres sont gratuits et déjà téléchargés lors de l’installation du logiciel comme :
– Sakura
– FL Keys
– Sytrus

Il faudra donc choisir un VST et pour cela il faut cliquer sur le + du Channel rack qui ouvrira la liste de tous les presets installés

La création de mélodie

Pour la mélodie il faudra se diriger dans le piano roll où nous commencerons par choisir une gamme, par exemple pour faire une mélodie de type orientale il faudra utiliser une gamme mineure harmonique, pour des mélodies plus chill il faudra plutôt utiliser une gamme majeure harmonique. FL Studio possède une fonctionnalité assez intéressante qui est que lorsque vous choisissez votre gamme vous n’avez qu’à cliquer sur une note pour que votre accords soit crée.

Pour choisir votre gamme il faudra cliquer sur le boutons ci-dessous qui ouvrira un menu avec des gammes différentes que vous pourrez utiliser.

Maintenant passons à la mélodie en elle même, pour débuter il est préférable de choisir 4 accords, essayez-en plusieurs et prenez ceux qui vous conviennent le mieux. J’ai pris comme exemple ces 4 accords qui me serviront de base pour notre mélodie.

Il faut ensuite rajouter des notes qui sonnent bien avec vos accords . Vous pouvez aussi réduire la taille de vos notes pour dynamiser davantage votre mélodie.

Humaniser sa mélodie

Pour rendre sa mélodie plus naturelle, il existe quelques presets préalablement installés que l’on peut retrouver facilement grâce à des commandes comme Alt + R qui ouvre le Randomizer (outil qui permet la randomisation du panoramique, de la vélocité et de la hauteur) ou Alt + S qui ouvre le Strumizer ( il décale le timing et la vélocité des notes individuelles dans les accords pour humaniser la mélodie).

Pour utiliser ces deux presets vous n’avez qu’à tourner les boutons Time, Tension, Velocity. Modifiez-les selon vos envies.

Transposition

Pour finir, vous pouvez changer de tonalité pour voir si votre mélodie sonne mieux. Pour cela vous devez sélectionner toutes vos notes à l’aide de la commande Alt + A et vous n’aurez qu’à faire glisser vos notes vers le haut ou vers le bas.

Mixage

Mixer vos mélodies vous servira à donner plus de textures à votre instrumental grâce à plusieurs outils comme la reverb (réverbération), les EQ ( équaliseur) qui servent à modifier les fréquences sonores
de vos mélodies. Pour se rendre dans le mixeur cliquer sur le bouton ci-dessous.

Nous allons nous intéresser à la partie droite de ce menu, c’est là où nous pourrons ajouter les effets. Il faudra cliquer sur l’un des slots vide pour choisir l’effet que vous voudrez ajouter.

  • Fruity Reverb : Ce plugin comporte plusieurs variateurs, nous nous intéresserons surtout à Mid, Side, Delay et Size. Les boutons Mid et Side sont utilisé pour traiter les sons mono ou stéréo (si vous ne comprenez pas la différence laissez-les tel quel). Ensuite le bouton Delay sert à donner de la profondeur à notre mélodie ( attention de ne pas trop en mettre). Pour finir le variateur size sert à simuler la taille de la pièce que vous souhaitez pour créer un effet compressé ou autre.

  • Equaliseur : ce plugin rajoute un effet permettant d’atténuer ou d’amplifier certaines fréquences d’un signal audio, il est difficile à utiliser c’est pour cela que je ne ferai qu’évoquer le nom de cet outil. Il est très utilisé par les beatmaker (personne créant des instrumentales pour des chanteurs rappeurs…).

Création Personnel

Voici un exemple de mélodie que vous pourrez réaliser lorsque vous maitriserez mieux le logiciel.

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Faire des drums sur FL studio !

FL Studio est un logiciel de production de musique. Nous pourrions croire que ce logiciel est plutôt simple à utiliser en voyant l’interface, mais non, FL Studio est plus technique qu’on ne le pense. C’est pour cette raison que j’ai décidé d’écrire ce tutoriel ! Et aussi, car la musique c’est ma passion. Dans ce tutoriel, nous allons voir, comment faire des drums (ce sont les percussions) classiques.

Lien de la vidéo et à la fin, la prod réalisée pendant ce tutoriel !

Je vais essayer de vous montrer un maximum d’astuces qui vous permettrons de débuter sur FL Studio !

Ouverture du logiciel et quelques explications :

Dès l’ouverture du logiciel, vous arriverez sur cette page :

Comme vous pouvez le constater, sur cette page, nous avons beaucoup d’informations.

Je vais vous expliquer les plus utiles !

Tout d’abord, nous pouvons voir, un nombre 130.000, ceci est le BPM (Battement Par Minute) de la prod. Cela est indispensable pour la rapidité de la musique. A coté, le bouton « play » permet le lancement de la prod. Nous avons 2 touches : « song » et « pat ».

Si vous appuyez sur « song » la prod sera jouée dans la playlist, où nous pouvons voir toutes les « Tracks ». Alors que si vous appuyez sur « pat », la prod sera jouée dans un pattern (le motif rythmique de base).

Ici, nous pouvons voir que le curseur qui était dans la playlist n’est plus là, il est dans le pattern !

Pour aller dans le pattern, rien de plus simple : vous avez juste à cliquer sur le bouton au milieu des 6 sur lequel il y a 3 barres verticales à coté du 1 :

Voilà là vous êtes dans le pattern ! Pour ajouter un instrument, vous devez appuyer sur le + et choisir un VST qui vous plaît. Mais dans ce tutoriel, nous allons nous concentrer uniquement sur les drums.

Explication des drums :

Tout d’abord, il faut définir le style de musique qu’on veut produire, nous, nous allons faire de la trap, c’est un genre de style musicale associé au rap. Dans les drums, nous retrouvons très souvent : une snare ou un clap qui sont considérés comme la caisse claire, un hi-hat qui est le charleston fermé, un open hat qui est le charleston ouvert, une inter-snare, un kick qui est la grosse caisse, une 808 qui est la basse. Nous pouvons aussi retrouver aussi des percs, ce sont souvent des bruits percussifs parfois étrange qui ramène du mouvement à la prod.

Pour ajouter une percussion, il faut aller dans la liste de noms à gauche, puis appuyer sur « Packs », puis sur « Drum kit ».

Sur ma capture d’écran, il a y a beaucoup de « Drums kits » qui sont ouverts car j’ai acheté plusieurs « Drum kit » de beatmakers (personne qui fait des prods) de qualité car les « Drums kits » de base de FL Studio ne sont pas les plus qualitatifs mais pour débuter ils sont assez performants.

Après avoir choisi l’élément qui vous convient, vous avez plus qu’à glisser l’élément en-dessous du « Sampler » ! Puis cliquez sur le pattern de l’élément ! Vous allez arriver à cela :

Et là rien de plus simple, vous avez juste à cliquer où vous voulez sur ce qu’on appelle le « Piano roll » et l’élément se placera, et clique droit sur l’élément si vous voulez le supprimer.

Choix du BPM ?

Pour l’exemple de cette prod, nous allons laisser le BPM à 130.000 qui est un rythme adapté pour la trap. Le BPM se choisit dans la plupart des cas avant de commencer à ajouter des élément que cela soit mélodiques ou percussifs.

Les drums !

Donc pour la snare, tous les 3 temps car nous faisons une prod trap, ce qui donne :

La « velocity » c’est le volume de l’élément, vous pouvez le baisser ou l’augmenter.

Pour ajouter un élément, vous avez juste à fermer avec la petite croix en dessous du bouton vert puis vous glissez votre élément en dessous de l’élément déjà rajouter.

Ensuite, passons aux hi-hats, c’est tout les 1/2 temps, pour donner un rythme à la prod :

Pour donner du vivant, vous pouvez jouer avec la vélocité, en bougeant les barres vertes, comme ceci :

Juste en faisant cela, ça donne tout de suite un rythme à la prod, cela donne un rythme humain contrairement à l’image d’au-dessus où le rythme est très robotique, très droit.

Ensuite, nous pouvons rajouter un open hat, tous les 2 temps, en jouant avec la vélocité ce qui donne :

Après cela, l’inter-share qui donne vraiment un rythme à la prod, le placement est assez particulier, vous pouvez aussi un peu baisser la vélocité comme ceci, voici ce que cela donne :

Puis, vous pouvez poser les kicks, la vélocité il ne faut pas qu’elle soit trop basse car c’est un élément phare de la prod. Le kick, vous pouvez le poser un peu où vous voulez, il faut juste que cela ne soit pas à contre temps, un exemple d’un placement de kick simple :

Et là tout de suite, cela donne vraiment un rythme à la prod.

La 808 !

Dans une prod, le choix de la basse est très important. Il y a plusieurs critères à prendre en compte:

  • Il faut que la basse ne soit pas trop aigu et grave.
  • Il faut qu’elle suive les notes fondamentales de la mélodie sinon on dit que la basse est « off keys » et cela ne sonne pas bien.
  • Il faut que la basse prenne assez de place sur la prod.
  • Il ne faut pas qu’il y est d’interférence entre le kick et la basse, et entre la mélodie et la basse.

Nous, nous allons choisir une basse de base de FL studio, qui n’est pas la meilleure des basses mais qui fait le boulot pour cette prod.

Pour cela, vous appuyez sur la petite croix, en-dessous du bouton vert, donc vous allez arriver à ça :

Puis, vous allez appuyer sur le + et chercher un VST qui se nomme « Sytrus » c’est un VST de base de FL Studio, donc cherchez bien il est obligatoirement sur votre logiciel !

Quand vous l’avez trouvé, cliquez dessus, vous allez arriver à cela :

Puis vous allez cliquer sur « Presets » et cherchez « Bass » :

Et à ce moment là, vous allez cliquer sur « Deep 3 », cela va vous donner ceci :

Vous avez plus qu’à cliquer sur la petite croix du VST:

Pour ensuite aller dans le « Piano roll » et faire une ligne de basse, je vous conseille une ligne de basse comme ceci :

Vous avez fini vos drums type trap !

L’enregistrement de la prod :

A ce moment là, vous avez presque fini : il vous manque plus qu’à faire quelques manipulations.

Tout d’abord, fermez le pattern en appuyant sur la petite croix :

Puis glissez le « pattern 1 » que nous voyons à gauche sur la « Track 1 » :

Puis ctrl B, jusqu’à 17 mesures car c’est le temps d’un couplet :

Ensuite, ctrl S, pour enregistrer, puis nommez la prod au nom que vous voulez :

Puis appuyez sur « Save ». Votre prod est enregistrée !

L’enregistrement de la prod en mp3 :

Pour l’enregistrer en mp3, rien de plus simple, ctrl R puis appuyez sur « Save », vous allez arriver à ceci :

Appuyez sur « Start » et votre prod sera enregistré en mp3 ! Vous pouvez fermer le logiciel, chercher la prod pour l’envoyer à votre téléphone, par mail ou par airdrop si c’est un Mac !

Lien d’une prod faites par moi !

Voilà ce tutoriel est maintenant fini ! J’espère qu’il vous aura aider à la compréhension de FL Studio et que la prod faites pendant ce tutoriel vous aura plus !

Tutoriels

Comment enregistrer une chanson à partir de plusieurs pistes…

Vous êtes un musicien solo et souhaitez créer un morceau qui sonne comme celui d’un grand groupe ? La plateforme musicale BandLab est faite pour vous ! Vous pourrez créer votre propre musique à partir de plusieurs pistes audio, y ajouter des effets sonores et même la partager avec vos abonnés ! Ne perdez plus de temps, et laissez place à votre inspiration…

Qu’est ce que BandLab ?

BandLab est une plateforme de musique gratuite créée en 2015 qui fonctionne comme un réseau social. Elle permet aux artistes de collaborer les uns avec les autres et de partager leur travail avec les auditeurs. BandLab est utilisée pour l’enregistrement ainsi que pour l’édition numérique d’enregistrements audio. Elle est accessible en se rendant sur son site Web ou en téléchargeant ses applications de bureau (MacOs et Windows) et mobiles (Android et iOS).

Premiers pas sur BandLab

Pour commencer, après avoir téléchargé l’application ou vous être rendus sur le site, il va falloir vous créer un compte. Vous pourrez y renseigner votre nom ou pseudo, votre âge et la musique que vous aimez écouter ou jouer. De plus, il existe une fonctionnalité très pratique pour insérer des liens vers vos contenus musicaux, si vous en avez, sur d’autre plateformes musicales telles Deezer ou Spotify. Il est possible de mettre votre profil en privé afin que seul vos abonnés puissent avoir accès à votre contenu.

Une fois votre compte activé, vous allez pouvoir commencer à créer votre musique. Pour cela, il vous suffit simplement d’appuyer sur le bouton « créer » se trouvant en haut à droite, puis sur « nouveau projet ».

Création de votre projet

Vous voila ensuite dans votre nouvel espace de travail !

Comme vous pourrez le constater, c’est à vous d’insérer vos pistes audios à l’endroit prévu à cet effet.

Vous pouvez enregistrer votre instrument via un enregistreur numérique ou tout simplement depuis votre téléphone portable. Ensuite, il vous suffit simplement d’appuyer sur « déposer une boucle ou un fichier audio/MIDI » puis de sélectionner votre fichier audio.

Libre à vous d’ajouter le nombre de pistes que vous souhaitez !

A présent, vous pouvez raccourcir vos pistes audio, les faire débuter à différents moments, les diviser, modifier leur volume… Toutes ces options sont réalisables pour chaque piste de façon indépendante.

Pour cela, sélectionner la piste que vous souhaitez modifier puis faites un clic droit. Vous pouvez alors choisir les différentes options pour travailler votre piste audio.

Focus sur le travail du volume :

Il est aussi possible de rectifier le volume en l’augmentant, le diminuant ou en le faisant ressortir du coté gauche ou droit de la sortie audio. Tout d’abord, sélectionner la piste concernée, puis penchez vous sur les réglages se trouvant à gauche de la piste. Pour modifier le volume, faites glisser le curseur vers la droite pour l’augmenter et vers la gauche pour le diminuer. Si vous préférez que la piste sélectionnée ressorte plus d’un côté que de l’autre, tourner le curseur (en forme de cadran) vers L (left) pour une sortie à gauche et inversement avec R (right).

Il est aussi possible de mettre une piste en mode « Solo » afin de n’écouter que cette dernière (appuyez sur le S). Au contraire, pour la mettre en « Muet » afin d’avoir un rendu sans la piste sélectionnée, appuyez sur M.

Ajout d’effets :

De plus, si l’envie vous prend, vous pouvez vous amuser à ajouter des effets sur votre piste (style classique, rap moderne, robot, reverb…) en appuyant soit sur « AutoPitch » soit sur « Effets » en bas à gauche de votre écran.

Il est aussi possible d’ajouter une autre source extérieure (voix, clap…) sur cette même piste en vous rendant sur « Source » pour l’enregistrer directement sur la piste.

Pour changer la hauteur (tonalité) ou la vitesse (tempo) d’une piste, rendez vous sur le bouton « Editeur ».

Si votre création contient des paroles, vous pouvez aussi vous rendre sur « Paroles/Notes » en bas à droite du poste de travail, afin de les ajouter. Ainsi, elles apparaitront sur votre post BandLab et défileront en même temps que la chanson.

Enfin, la touche « BandLab Sounds » qui est juste à côté permet de rajouter des boucles ou extraits de musique déjà créés par BandLab !

Pour finir, lorsque vous êtes satisfait du résultat final et souhaitez le partager, il vous suffit d’appuyer sur le bouton « Publier » en haut à droite pour que vos auditeurs y aient accès.

Il est toutefois possible d’enregistrer votre création si vous souhaitez l’améliorer à un autre moment ou simplement la garder pour vous en appuyant sur « Enregistrer », à gauche de « Publier ».

Accéder à vos projets

Une fois revenu au fil d’actualité de BandLab, il vous suffit d’appuyer sur « Bibliothèque » pour accéder à vos différents projets et sélectionner celui qui vous intéresse.

Vous pouvez alors l’ajouter à vos favoris, partager le lien sur tout autre type de réseaux sociaux, le télécharger sur votre ordinateur ou votre téléphone, le publier si cela n’est pas encore fait ou tout simplement le modifier à nouveau comme vous avez pu le faire précédemment en vous rendant sur « Studio ».

Vous voilà maintenant prêt à créer votre morceau avec BandLab, à vous de découvrir les astuces et modifications qui vous plaisent le plus…

Laissez place à votre imagination !

Tutoriels

Présentation du logiciel Ableton Live 11

Notre objectif sur ce tutoriel et de présenter le logiciel sur lequel nous allons travailler qui se nomme Ableton Live 11 pour créer un début de morceaux, en utilisant des boucles et des pistes audio. Tout en vous expliquant pas à pas chaque fonctionnalité pour créer une production musicale à partir de boucle.

1- Qu’est-ce que Ableton Live 11 ?

 Ableton Live est un séquenceur musical logiciel professionnel pour OS X et Windows lancé par Ableton en 1999. Live est un outil permettant la composition et l’arrangement musical, mais sa conception et son ergonomie sont surtout destinées à une utilisation en concert.

  1.1- Les deux différentes interfaces d’Ableton Live 11

Ableton Live 11 est un logiciel de musique qui permet de jouer en Live un morceau avec l’interface session, qu’on peut observer ci-dessous:

Ableton a aussi une autre interface cette interface se nomme « arrangement » où toute la partie de composition musicale se déroule; (la composition est aussi disponible dans l’interface session qui est plus compréhensible lorsque vous débutez sur le logiciel)

2- Explication du tempo, du BPM, de la notion de temps et des séquences

Cette partie est indispensable pour comprendre comment est formée la musique, comment elle fonctionne.

Chaque élément se complète et a un rôle important.

Il faut savoir que la musique fonctionne sur plusieurs règles importantes:

  • Le tempo
  • Le BPM
  • Le temps
  • Les séquences

2.1- Le tempo

En musique, le tempo est la vitesse à laquelle le musicien va jouer la musique. Tempo signifie « temps » en italien. Le terme « pulsation » est aussi employé ainsi que celui de « mouvement ». Le tempos va indiquer le rythme du morceau (joué lentement ou rapidement).

2.2- Le BPM

Le BPM signifie en musique “battement par minute”. C’est l’unité de mesure du tempo afin de calculer la vitesse d’un morceau. Un battement (appelé aussi “temps”) est l’unité de mesure standard d’un morceau de musique. Chaque morceau possède sa propre signature rythmique. Autrement dit chaque morceau à son propre tempo.

2.3- Le temps

En musique, le temps est l’unité de mesure de la durée musicale. La durée réelle des temps peut varier d’une œuvre musicale à l’autre, et c’est le tempo qui va fixer, pour un passage musical donné, la durée exacte des temps, (le temps peut être rapide un moment donné du morceau comme lent).

Le temps fonctionne sur 4 temps qui signifie 1 mesure en musique.

2.4- Les séquences

En musique dans la notion de temps il existe des séquences, une séquence est composée de 32 temps. Dans la production musicale nous devons respecter cette séquence, c’est-à-dire qu’à la fin de chaque 32 temps, un nouvel élément musical se passe (un nouvel instrument rentre dans le morceau, ou un autre en sort).

3- La composition d’un morceau à partir de boucle, sur des pistes audio

3.1- La piste audio

Tout d’abord qu’est-ce qu’une piste audio et à quoi va t’elle nous servir?

Les pistes audio vont nous permettre de déposer nos boucles d’instruments, de rythmique (batterie), de voix, etc. dans Ableton Live 11

3.2- Les boucles

En musique, une boucle est une séquence musicale destinée à être répétée indéfiniment. La boucle est typique de la musique électronique.

Par exemple, vous pouvez écouter le morceaux Around The World des Daft Punk où on entend des sons qui se répètent tout au long du morceau.

Ableton Live 11 nous propose des boucles toutes faites directement sur le logiciel, nous pouvons aussi en trouver sur Internet disponible gratuitement en téléchargement.

3.3- La composition

Nous commençons d’abord par mettre en place la rythmique: un kick (grosse caisse de la batterie) tape sur chaque temps

Nous allons rentrer une caisse claire (qui se nomme snare) elle va taper 1 temps sur deux contrairement au kick.

  En dernier lieu nous rentrerons un hit-hat (les mini cymbales de la batterie) qui tapera sur chaque micro temps (encore plus rapide que le kick)

Pour trouver toutes ces rythmiques que j’ai positionnées, il suffit de se rendre dans l’onglet de gauche de l’interface intitulé « batterie ».

Voilà, nous venons de poser nos bases pour la rythmique, l’essentiel à avoir pour la structure du morceau. Nous allons ensuite mettre en place une mélodie simple que nous retrouvons dans les onglets ‘Sons », « Sample », et « Clips ».

Ici j’ai déposé ma mélodie dans la piste audio, nous remarquons que cette boucle est composée de 16 temps donc la moitié d’une séquence de 32 temps, il faudra la jouer deux fois pour pouvoir ensuite rentrer une autre boucle.

Dans un morceau il y a des moments où nous retirons le kick pour faire comme une pause dans le morceau, cette évènement s’appelle le « break ». L’image ci-dessous nous montre une partie où il n’y a plus de kick, où il ne reste plus que la snare, les hit-hat et notre mélodie:

Ici on peut remarquer que j’ai mis un break entre chaque séquence (il n’est absolument pas obligatoire de faire des breaks aussi régulièrement). En général dans la plupart des morceaux on retrouve deux breaks tout au long du morceau.

Après avoir mis ma rythmique, ma mélodie, je peux rajouter d’autres mélodies en parallèle. Par exemple, pendant un break, dans la continuité du morceau pour le faire évoluer, ou encore libre à votre inspiration !

Vous avez maintenant les bases essentielles pour faire un morceau avec des boucles, il ne vous reste plus qu’à développer votre morceau. Voici mon résultat final (il n’est pas nécessaire de trop faire évoluer le morceau, souvent une dizaine de scène suffit !)

Projets

De la musique ? Oui, mais pas que.

Envie d’écouter de la musique avec style ? Le Web regorge de site Internet sans aucune utilité, comme les Cookies Clickers, les sites vierges, ou Parcoursup. Et bien, je peux fièrement annoncer que mon site est l’un d’entre eux, mais ne paniquez pas ! Avec mon site, vous pourrez mettre de la musique (téléchargée au préalable, il faut pas déconner non plus), et l’écouter sereinement, sans crainte. Mais le plus important c’est que vous pourrez écouter votre musique… avec style et bagou.

Ce site, qui est constitué d’une seule et unique page, est constitué de 4 programmes différents, que j’ai intégré a ma page html, et nous allons les détailler un par un.

1 La souris animée

Sur mon site, nous avons une petite boule animée qui suit la souris, avec un temps de retard.Retour ligne automatique
Cette souris est animée grâce a deux petits codes css et javascript, que je me permet d’afficher ici, car il est vraiment petit, et simple a afficher (pour les codes plus long, je prendrais des extraits).

D’abord le Javascript ;

const cursor = document.querySelector('.cursor');
 
document.addEventListener('mousemove', e => {
    cursor.setAttribute('style', 'top:'+(e.pageY - 20)+"px; left:"+(e.pageX - 20)+"px;")
})
 
document.addEventListener('click', ()=>{
    cursor.classList.add('expand');
 
    setTimeout(()=>{
        cursor.classList.remove("expand");
    }, 500);
})

Comme on a dit, le « setTimeout » sert a initialiser le retard du curseur, pour donner cette impression de ralenti. Retour ligne automatique
Le « cursor.setAttribute » place le cercle animée a la pointe du curseur, et pas au milieu, ce qui se passerait si cette commande n’aurait pas été la.

Le CSS :

.cursor {
    width: 40px;
    height: 40px;
    border: 1px dashed white;
    border-radius: 50%;
    position: absolute;
    animation: Anim1 1s infinite alternate;
  pointer-events: none;
}
 
.cursor::before {
    content: '';
    position: absolute;
    top: 50%;
    left: 50%;
    transform: translate(-50%,-50%);
    width: 5px;
    height: 5px;
    background: crimson;
    border-radius: 50%;
}
 
.expand {
    animation: Anim2 .5s;
    background: crimson;
    border: 1px solid crimson;
}
@keyframes Anim1 {
    from {
        transform: scale(1) rotate(0deg);
    }
    to {
        transform: scale(0.7) rotate(190deg);
    }
}
 
@keyframes Anim2 {
    0%{
        transform: scale(1);
    }
    50%{
        transform: scale(2);
    }
    100%{
        transform: scale(1);
        opacity:0;
    }
}

Le curseur est crée grâce a ".cursor", est le curseur après-clic est crée grâce à ".cursor::before"

L’animation du cercle lorsqu’il est statique est générée ici :

les "@keyframes" s’en occupent, en le faisant tourner, et en le faisant respirer.

Evidemment, pour que la souris fonctionne, il ne faut pas oublier de déclarer la souris dans le html, grâce a cette unique ligne : <div class="cursor"></div>
Bref, la souris est surtout un élément esthétique (comme si il n’y en avait pas assez…), et ne demande pas beaucoup d’analyse, c’est un code relativement simple, ou du moins compréhensible, ce qui n’est clairement pas le cas des codes suivants (bon courage).

2 Le background avec les lignes animées

On parlait d’élément esthétiques, bah en voila un autre.

Ces lignes, qui donnent du dynamisme au site, sont générées uniquement en CSS (sans compter la déclaration dans le HTML).

Le HTML :

<div class="lines">
  <div class="line"></div>
  <div class="line"></div>
  <div class="line"></div>
</div>

On peut remarquer que chaque ligne est indépendantes, ce n’est pas juste un background animé.

Le CSS :

.lines {
  position: absolute;
  top: 0;
  left: 0;
  right: 0;
  height: 100%;
  margin: auto;
  width: 90vw;
}
.lines .line {
  position: absolute;
  width: 1px;
  height: 100%;
  top: 0;
  left: 50%;
  background: rgba(255, 255, 255, 0.1);
  overflow: hidden;
}
.lines .line::after {
  content: "";
  display: block;
  position: absolute;
  height: 15vh;
  width: 100%;
  top: -50%;
  left: 0;
  background: -webkit-gradient(linear, left top, left bottom, from(rgba(255, 255, 255, 0)), color-stop(75%, #ffffff), to(#ffffff));
  background: linear-gradient(to bottom, rgba(255, 255, 255, 0) 0%, #ffffff 75%, #ffffff 100%);
  -webkit-animation: run 7s 0s infinite;
          animation: run 7s 0s infinite;
  -webkit-animation-fill-mode: forwards;
          animation-fill-mode: forwards;
  -webkit-animation-timing-function: cubic-bezier(0.4, 0.26, 0, 0.97);
          animation-timing-function: cubic-bezier(0.4, 0.26, 0, 0.97);
}
.lines .line:nth-child(1) {
  margin-left: -25%;
}
.lines .line:nth-child(1)::after {
  -webkit-animation-delay: 2s;
          animation-delay: 2s;
}
.lines .line:nth-child(3) {
  margin-left: 25%;
}
.lines .line:nth-child(3)::after {
  -webkit-animation-delay: 2.5s;
          animation-delay: 2.5s;
}
 
@-webkit-keyframes run {
  0% {
    top: -50%;
  }
  100% {
    top: 110%;
  }
}
 
@keyframes run {
  0% {
    top: -50%;
  }
  100% {
    top: 110%;
  }
}

Ici aussi, l’animation des lignes est juste une histoire de délais : pour que les lignes soit décalées, un délai de 2 seconde est donné a la première ligne, et un délai de 2.5 est donnée a la troisième ligne.

On peut d’ailleurs le voir quand on lance le site : la deuxième ligne, celle qui n’a pas de délai, descend en première, suivi de la première est de la troisième .

Grace a « webkit », le navigateur gère (presque) tout seul les animations, et cela est moins lourd dans le code.

Bref, je ne vais pas tout détailler, mais cet effet apporte tellement au site (sans être ironique pour le coup), quand on lance une musique, on a l’impression que les lignes bougent en rythme.

Passons au programme majeur du site.

3 Le spectre audio + le bouton d’upload

Alors, faisons un point.

Il est hors de question que j’explique le code ligne par ligne, déjà parce que c’est long, et puis j’avoue que je n’y comprend pas grand chose, c’est hors de mes capacités. Je vais expliquer comment marche le bouton, mais je vais très peu parler des spectres audio.

Le bouton est juste un… bouton. SAUF que, il permet d’uploader le mp3, pour, de 1 lancer la musique, et de 2, initialiser le spectre audio.

Ce code Javascript, est ce qui permet au site de récupérer la musique, via le bouton :

input();
                shade.init();
                document.getElementById("input").addEventListener("change", function(e){
                        document.getElementsByClassName('label')[0].innerText = e.target.files[0].name;
                        fileReader = new FileReader();
                        fileReader.readAsArrayBuffer(e.target.files[0]);
                        music.init();
                       
                }.bind(this), false);

Le "input" demande le fichier choisi, et le "getElement" récupère le fichier, pour l’upload dans le site. Le "innerText" permet de donner au bouton le nom du fichier, et le fait de choisir un nouveau fichier, écrase le précédent, comme nous le montre "fileReader = new FileReader() ;".
Enfin, "music.init" lance la musique sur le navigateur.

Pour ce qui est des deux spectres audio, tout ça est contrôlé par de nombreuuuses formules mathématiques, voici un petit exemple du Javascript :

color : function(){
                        var r = [false, Math.floor(Math.random() * shade.data.max)],
                        g = [false, Math.floor(Math.random() * shade.data.max)],
                        b = [false, Math.floor(Math.random() * shade.data.max)];
                        setInterval(function(){
                               
                                if(r[1] === shade.data.max) r[0] = true;
                                if(r[1] === shade.data.min) r[0] = false;
                                if(r[0] === false) r[1]++;
                                if(r[0] === true) r[1]--;
 
                                if(g[1] === shade.data.max) g[0] = true;
                                if(g[1] === shade.data.min) g[0] = false;
                                if(g[0] === false) g[1]++;
                                if(g[0] === true) g[1]--;
 
                                if(b[1] === shade.data.max) b[0] = true;
                                if(b[1] === shade.data.min) b[0] = false;
                                if(b[0] === false) b[1]++;
                                if(b[0] === true) b[1]--;
 
                                for(var i = 0; i <= 1; i++){
                                        colour = 'rgba('+r[1]+','+g[1]+','+b[1]+',0.8)';
                                        ctx[i].fillStyle = colour;
                                        document.getElementsByClassName('label')[0].style.setProperty('border-color', colour,'');

A ce que j’ai compris, ceci sert a régler les couleurs , car oui, les couleurs réagissent aussi a la musique, et ça, c’est quand même plutôt cool.

Les teintes r (rouge), g (vert), et b(bleu), évoluent au rythme des « shades », qui sont a mon avis les variations du spectre audio.

Bref, ce code rajoute quand même au site tout son charme, et arrachera surement un « wow » a vos amis, si vous en avez.

Passons au dernier programme, tout simple, symbole de l’ego surdimensionné du programmeur :

4 La signature du beau développeur

Tout en bas, a droite, nous avons un petit « Made by Robin Metais », animé, et cliquable.

Le CSS :

a{
  color:white;
  font-size:9px;
  text-decoration:none;
  letter-spacing:2px;
  font-family: "Open sans", sans-serif;
  position:fixed;
  z-index:5;
  bottom:10px;
  right:10px;
  transition:all 0.2s 0s ease-in-out;
}
a:hover{
  color:#95afab;
  letter-spacing:3px;
  transition:all 0.2s 0s ease-in-out;
}

la partie « a » est le bouton (car c’est un bouton) d’origine, et le "a:hover" est le bouton lorsqu’il est survolé.

Le Javascript :

var a = document.createElement("a");
a.innerText = "Made by Robin Metais";
a.href="https://www.youtube.com/watch?v=dQw4w9WgXcQ"
a.title = "";
a.target="";
body.insertBefore(a, body.childNodes[0]);

Ici, on définit le texte qui doit être affiché, et ce qui doit se passer quand le bouton est cliqué.
Un mystérieux lien mystique est apparu dans mon fichier Javascript, comment l’enlever ? ( ͡° ͜ʖ ͡°)

Avec ça, je crois que nous avons fait le tour de ce sublime programme !

Etes vous prêt a mettre le « fire » dans vos diners de famille, et enflammer le « dancefloor » ?

Tutoriels

Comment jumeler une enceinte Sony SRS-XB21 et autre périphérique…

Laissez-moi deviner ? Vous étiez à la recherche d’une enceinte Bluetooth puis vous tombez sous le charme de la fameuse Sony SRS-XB21, ou bien d’une enceinte Sony de la même gamme. Cependant, vous ne parvenez pas à la connecter avec votre smartphone, c’est normal : pour sa première connexion, celle-ci nécessite d’une application (totalement gratuite) pour se jumuler à votre appareil.

Enceinte Sony SRS-XB21

Le processus est très simple et très rapide :

Le tutoriel est le même pour les utilisateurs d’iPhone et de smartphones androids !

1- Aller sur Apple Store (iOS) ou Play Store (Android)

2- Télécharger « Music Center »

Music Center est une application permettant d’organiser et de transférer de la musique sur des périphériques audio fabriqués par Sony. Il est nécessaire, pour tout périphérique audio sans fil de Sony, de passer par cette application lors de la première connexion avec le smartphone. Sans cette étape, votre téléphone portable ne détectera pas l’enceinte.

3- Ouvrir l’appliclation

4- Accepter les conditions d’utilisations (si vous n’acceptez pas, il sera impossible d’utiliser l’application). Vous aurez également la politique de confidentialité à lire et à accepter.

5- Accepter que l’application utilise le Bluetooth

6- Activer votre Bluetooth et allumer l’enceinte Sony SRS-XB21

7- Retourner sur Music Center

Votre enceinte sera automatiquement détectée par Music Center.

8- Appuyer sur SRS-XB21

9- Music Center vous demandera d’enregistrer l’enceinte sur votre smartphone, appuyer sur Suivant et l’application vous expliquera comment enregistrer l’enceinte dans vos appareils (que ce soit un iPhone ou un smartphone Android, tout est expliqué très clairement)

L’exemple ci-dessus est le procédé pour un iPhone.

10- Après avoir enregistré votre enceinte, quittez l’application puis activez le Bluetooth dans les Réglages de votre smartphone.

11- Sélectionnez SRS-XB21

L’enceinte produira à ce moment là un son annonçant qu’elle s’est connectée avec votre smartphone.

12- Revenez sur Music Center et appuyer sur Terminé

L’enceinte a été jumelé à votre smartphone avec succés !

P.S : Ce processus n’est nécessaire qu’à la première connexion. A présent, il suffira simplement d’aller dans les Réglages de votre téléphone, d’activer le Bluetooth et sélectionner SRS-XB21. L’enceinte se jumulera automatiquement.Retour ligne automatique
Comme il est dit dans le titre, ce tutoriel s’applique également pour les autres périphériques audio sans fil de Sony, l’enceinte Sony SRS-XB21 n’est qu’un exemple !

++ Comme vous avez pu le voir sur la dernière étape, après avoir cliqué sur Terminé, vous arrivez sur une page dédiée à l’enceinte que vous venez de jumeler. Si vous le souhaitez, vous pouvez cliquer sur Réglages et vous aurez toutes sortes de réglages à modifier comme le son de l’enceinte (en mode standard, extra bass, live sound), les illuminations (rave, chill, strobe,…), le Party Booster (vous pouvez activer les bruits de percussions lorsque vous donnez une tape sur l’enceinte), etc. Le choix est large !