Étiquette : tutoriel

Tutoriels

L’art de se perdre sur Wikipedia, une exploration immersive…

L’accès à l’information est un besoin fondamental. Utilisée part tous et pour tout, Wikipédia est une ressource incontournable, avec près de 6,8 millions d’articles en anglais. Pourtant, l’ensemble de ces articles ne représente que 42 Go, hors images et discussions – un chiffre qui peut paraître modeste, mais cache une richesse inestimable. Alors, avec une telle quantité d’informations, comment apprendre à s’en servir au mieux ?

Comment aller bien au-delà de la simple consultation pour un exposé d’histoire ? Et surtout, comment y contribuer ? Car derrière son apparente simplicité, Wikipédia est un univers bien plus complexe et fascinant qu’il n’y paraît.

Introduction

Telle que mentionnée précédemment, la Wikipédia anglophone ne pèse que 42 Go, sans les images ni les discussions. Si l’on prend en compte toutes les langues, toujours sans les images, ce chiffre atteint environ 420 Go, regroupant près de 60 millions d’articles. Avec les images, vidéos et graphiques, ce chiffre grimpe à 420 To, soit 1 000 fois plus que le texte seul. Et même si cela paraît gigantesque, Wikipédia reste étonnamment légère comparée à d’autres géants du web comme YouTube, qui nécessite près de 1 000 000 To pour son stockage.

Cette quantité d’informations phénoménales est à la portée de tous, et presque tout le monde a déjà utilisé Wikipédia, ne serait-ce qu’une fois, pour une recherche rapide ou un exposé. Mais ce n’est que la surface : derrière chaque article se cache une plateforme bien plus complexe et finement optimisée pour gérer cet océan de connaissances.

Ce tutoriel vous invite à explorer Wikipédia sous un nouvel angle. Nous partirons des fonctionnalités les plus connues pour aller vers des outils et astuces plus avancées, parfois méconnues, qui enrichiront votre expérience utilisateur. Nous découvrirons également comment fonctionne cette encyclopédie collaborative et, pour les plus curieux et motivés, comment contribuer efficacement à son expansion.

Avant de plonger dans ces aspects fascinants, commençons par les bases.

C’est quoi Wikipedia ?

D’après Wikipedia lui-même, « Wikipédia est une encyclopédie en ligne collaborative et multilingue créée par Jimmy Wales et Larry Sanger le 15 janvier 2001. Il s’agit d’une œuvre libre, c’est-à-dire que chacun est libre de l’amender et de la rediffuser. » En d’autres termes, Wikipédia est un gigantesque répertoire d’articles, créés par des volontaires comme vous et moi, c’est le principe du “wiki”.

D’après Wikipedia, « Un wiki est une application web qui permet la création, la modification et l’illustration collaboratives de pages à l’intérieur d’un site web. Il utilise un langage de balisage, le wikitexte, et son contenu est modifiable au moyen d’un navigateur web. » Tout ça dans le but d’en faire une source d’information libre d’accès à tout le monde.

On dit souvent que Wikipédia ne sera jamais “finie”, car chaque article peut être enrichi par n’importe qui, et n’importe quand. Et les articles n’appartiennent à personne, même si vous êtes le premier à l’avoir créé, il ne vous appartiendra pas, tout est libre d’accès à la communauté, gratuitement.

On peut éditer un article, en créer, mais en revanche certaines modifications exigent un niveau supérieur dans la hiérarchie de la plateforme, car oui, pour son bon fonctionnement, il y a une hiérarchie, mais nous reviendrons sur ce point du tutoriel plus tard pour celles et ceux qui souhaitent aller plus loin avec Wikipedia, dans la partie – Comment contribuer ? c. – Protection et hiérarchie.

Bref, maintenant assez parlé, entrons dans le vif du sujet.

Pour bien lire.

Tout au long de ce tutoriel, j’accompagnerai mes propos avec des images. Certaines des images seront affichées en cliquant à gauche du texte sur la petite flèche allant vers la droite. Une image ou un texte se déroulera automatiquement en cliquant, ce qui apportera des précisions et des indications.

Voici un exemple.

Parfait ! Vous êtes maintenant prêt à lire la suite.

73 ou 42 ?

Bonne lecture !

Comment bien l’utiliser ?

Déjà pour commencer, on va regarder à quoi ressemble une page Wikipedia, pour situer les éléments importants.

On va choisir une page au hasard, et pour faire ça, on va sur la page d’accueil de la plateforme.

Page d’accueil.

Comme vous aurez pu, ou pas, le remarquer, on est sur la Wikipedia français, même si celui-ci compte moins d’articles et n’est pas exactement pareil, on va se baser sur lui.

Ah oui et si vous vous demandez pourquoi le site est en sombre, il suffit d’aller dans la barre latérale droite dans le menu Apparence, où vous pourrez y choisir vos préférences de lecture. La taille du texte, la largeur, et la couleur. Si la barre vous gêne, masquez la, et vous la retrouverez dans la barre en haut a droite, en cliquant sur les lunettes (1).

Bref, voici l’accueil, on peut y trouver des onglets tels que: l’article labellisé du jour, la présentation du site, comment contribuer, les actualités, les éphémérides du jour actuel, le saviez-vous, et l’image labellisé du jour. C’est assez complet, mais on ne va pas s’éterniser dessus.

Je vous met un petit aperçu tout de même :

Bravo ! Vous avez compris le fonctionnement du tutoriel, ne ratez pas les autres flèches !

Il y a une barre de recherche (2), et un menu (3), et c’est d’ailleurs ce sur quoi on va s’appuyer, pour aller explorer un article grâce à la fonctionnalité article au hasard.

Exploration d’un article.

Pour aller sur un article aléatoirement, on va dans le menu, qui se situe en haut de la barre transversale gauche, en cliquant sur les trois trais en haut à gauche, puis on clique sur Article au hasard (1).

Maintenant qu’on y est, explorons la page.

Les captures sont d’ailleurs prise via un ordinateur, la version téléphone diffère quelque peu sur certaines choses.

La premier chose qu’on voit sur la page est son titre (1), ici « Cartographie d’information », l’article est organisé via un sommaire (2), il est sur la barre transversale gauche de l’article, ici, pour faciliter la recherche, il est pratique d’aller directement dans la section qui pourrait nous intéresser.

Important à savoir, mais normalement connus de tous (on ne sait jamais), les mots en bleus sont des redirections vers d’autres articles, ce que l’on appelle un lien interne, d’après Wikipedia, « un lien interne est un hyperlien dont la destination est une autre page de Wikipédia. » Ce qui veut dire que tous les articles sont inter-connectés. En revanche, parfois des mots seront rouges, ceux-ci sont des articles qui devraient être créés, mais ne le sont pas, ou du moins pas encore. En réalité, lors de la création d’articles, les contributeurs peuvent mettre des liens rouges sur certains mots ou expressions, voulant dire qu’il faudrait un jour que quelqu’un s’y penche, mais évidemment sans en abuser car sinon tous les articles seraient remplis de rouge. Ces articles attendent d’être créés, par des gens comme vous et moi !

Ensuite, vous avez accès à une barre d’outil sur la barre transversale droite (3). Parmi ces outils, il y a l’outil Pages Liées, celui-ci recense les articles qui citent l’article sur lequel nous sommes, cet outil est pratique lors de recherches sur un sujet, voici un exemple avec la page précédente :

Allons dans la rubrique Pages Liées.

Ici, il y a un outil de recherche avec notre article en question (1), puis en cliquant sur lister, les articles apparaîtront. Vous pouvez cliquer sur le nombre d’articles à afficher (2), puis faire vos recherches. Par exemple, ici notre article est lié à l’article Gestion de connaissances, ce qui veut dire que cet article cite celui sur lequel on était. Or le problème ici, c’est que l’outil charge absolument tous les espaces ou notre article apparait, dont les discussions, ou les modèles. Il suffit d’aller dans Espace de noms (3), et de cliquer sur (Principal).

Maintenant on remarque que ce sont seulement les articles qui apparaissent. Ici il n’y en a que 6.

Vous pouvez cliquer également sur Inverser la sélection (1), ce qui, au lieu d’afficher l’élément recherché, affichera tout sauf celui-ci. C’est-à-dire ici il affichera tout sauf les articles.

Voici l’exemple.

Continuons avec les outils. La rubrique Informations sur la page peut servir pour voir le nombre d’utilisateurs qui lisent la page chaque mois, sa taille, sa date de création, la date de sa dernière modification, et les catégories auxquelles elle est associée.

Pour ceux qui veulent voir à quoi ça ressemble.

Ensuite, un outil pour les plus curieux, s’appelant Lien permanent (1). En cliquant, une banderole va s’afficher.

Cette banderole jaune nous indique que ceci est la version actuelle de la page, avec sa date de dernière modification et le nom du contributeur. Juste en dessous on a des boutons cliquables, version précédente, voir version actuelle (on ne peut pas cliquer car on est dessus) et version suivante (on ne peut pas cliquer car on est sur la dernière version. Cet outil sert à remonter le temps dans l’article, de modifications en modifications, jusqu’à même aller à sa première version. Cet outil peut servir à voir l’évolution d’un sujet au cours du temps, sur une page comme celle-ci l’intérêt est un peu absent, mais sur des sujets en constante évolution, on pourrait y trouver des informations.

Dernière chose importante quand on lit un article, c’est d’aller s’intéresser de la provenance des informations, via les sources, elles sont obligatoires sur Wikipedia. Pour les trouver, il suffit de regarder les endroits de l’article qui nous intéresse, et d’y chercher un exposant sur le texte, avec un chiffre, ce chiffre se retrouvera en bas de page dans Notes et références, et vous y retrouverez le numéro de votre exposant, avec la source.

D’autres outils servent par exemple à savoir comment réutiliser la page pour un projet, ou bien obtenir un QR code de la page, mais rien de vraiment très intéressant.

Exploration générale.

On va maintenant traiter de fonctionnalités plus générales, donc pas sur un article en particulier.

Une autre fonctionnalité très intéressante est la liste de suivie. Mais pour cela, il faudra créer un compte.

Pour ce faire, cliquer sur créer un compte en haut à droite. Choisissez un pseudonyme, un mot de passe et une adresse email, puis le tour est joué.

Une fois le compte crée, en allant sur un article quelconque, une petite étoile apparait (1).

Une fois cliqué, cet article sera dans notre liste de suivie accessible via les trois trais avec la petite étoile en haut a droite (2).

Dans cette liste, en allant dans Afficher et modifier la liste de suivie, voici ce qui apparait :

Tadaaa, notre article est là. Grâce à cette fonctionnalité, on peut faire nos recherches en les référençant dans cette liste sans avoir à ouvrir 42 ou 73 onglets inutilement.

Ensuite, dans les outils vu précédemment donc dans la barre transversale droite, j’en ai sauté un très interessant. Il s’appelle Page spéciale, en cliquant on peut découvrir une multitude de section jusqu’à en avoir les yeux qui brulent, mais pas de panique, cela regorge d’informations intéressante.

Ici, on peut voir une premiere section, Rapports de maintenance. On peut y trouver des listes d’articles, en cliquant par exemple sur Pages longues (1), on découvre une liste d’article rangé dans l’ordre décroissant, des articles les plus long de Wikipedia,

On remarque que l’article le plus long de Wikipedia Français est Régiments d’infanterie français d’Ancien Régime, il fait 1 532 947 octets soit 1,532947 Mo (pour du texte, c’est énorme). À ne pas oublier qu’il s’agit du Wikipedia Français, on pourrait aller voir ce qu’il en ai du Wikipedia Anglais qui lui recense le plus d’articles.

En effet, c’est pas pareil, ici c’est Timeline of the Israel-Hamas war.

Bref, si ça vous intéresse, il y a une multitude de classements, comme les articles les plus courts, les articles les plus visités ou les moins visités, et je vous laisse vous y aventurer, on peut parfois y trouver des choses très surprenantes.

Discussions (et guerres d’éditions).

Les discussions ont une très grande importance sur Wikipedia, cela permet aux contributeurs de se concerter sur des sujets, pour discuter de la validité de certaines informations sur certains articles. C’est un passage presque obligatoire sur certains articles à sujet sensibles. Ce sont des centres de débats et de discussions philosophiques, et parfois de champs de batailles.

Pour accéder aux discussions des articles, il faut cliquer sur le bouton Discussion qui se situe juste en dessous du titre d’un article.

Pour prendre un exemple, on va utiliser la barre de recherche de Wikipedia qui se situe en haut, à droite du logo de la plateforme. Ici je vais rechercher la page Racine carrée inverse rapide, une fonction en informatique servant à calculer l’inverse d’une racine carrée, sans faire une seule fois de racine carré ou de fraction, elle permet aux ordinateurs de calculer ces résultats bien plus vite, d’où le nom racine carrée inverse rapide, et cette fonction a notamment été utilisé dans les jeux vidéos de l’époque. Bref, même si vous n’avez rien compris, allons voir ce que les gens ont à se dire sur cette racine carrée inverse rapide. On clique sur Discussion.

On arrive la dessus, ce bloc nous indique que cet article fait parti du projet Jeu vidéo, et nous montre également l’avancement et l’importance du projet, mais c’est pas le sujet, descendons pour voir les messages échangés.

Sur cette discussion, il n’y a que 3 messages, et c’est très peu. Un contributeur semble avoir modifié la page et l’informe aux autres, un autre semble ne pas comprendre pourquoi l’article manque de preuves, et le dernier semble vouloir reproduire la racine carrée inverse rapide sur scratch. On peut leur répondre, et discuter avec eux. C’est un exemple de sujet assez basique qui ne présente pas des milliers de messages.

Même la page d’accueil possède sa page de Discussion.

Mais ce qui est intéressant et ce dont j’aimerais vous parler, c’est ce qu’on appelle sur Wikipedia, les Guerre d’édition. Elles peuvent avoir lieu sur n’importe quel article de la plateforme, il suffit simplement que deux personnes ou plus ne soient pas d’accord sur un sujet. C’est là qu’entre en jeu cette rubrique discussion où ils vont en discuter jusqu’à résolution du problème pour que l’article se rapproche le plus possible de la réalité. Mais parfois les discussions peuvent s’étaler sur de longs pavés presque infinis, et les articles sont modifiés en permanence jusqu’a qu’un d’entre eux craque. Cela peut se produire notamment sur les sujets les plus sensibles. Wikipedia a même mis en place un système de protection de certaines pages, modifiable que par certaine personne quand le sujet est trop sensible, si vous voulez en savoir plus allez à la partie – Comment contribuer ?.

Pour éviter ces guerres, parfois la page ne peut plus être modifiable par qui que ce soit, et laissé place aux discussions argumentées jusqu’à résolution du problème.

Des exemples de guerres d’édition, il y en a pleins. Mais ceux qui fascinent le plus, ce sont les guerres d’éditions sur des sujets qui ne sont absolument pas sensibles. Wikipédia en a fait une liste, on les appelle « Les guerres d’éditions les plus futiles ». Comme exemple marquant, il y a le problème de l’apostrophe. Deux apostrophes, celle-ci : ‘, et celles-ci : ‘. Vous ne voyez pas de différence ? Eh bien pourtant si, ce ne sont pas les mêmes. Et ça pose un énorme problème, quelle apostrophe choisir pour référencer les articles ? Cette guerre a même un nom : La croisade des apostrophes.

Une page a archivé les discussions, si ça vous intéresse, voici le lien.

Des exemples il y en a pleins, et ça montre à quel point Wikipedia est une oeuvre humaine, les humains ne seront jamais d’accord entre eux, et c’est plutôt amusant à voir. Bref, si jamais vous faites vos recherches, passez sur l’onglet Discussion, vous pourrez peut-être y trouver une guerre dont vous ne vous doutiez même pas.

Guerres d’édition les plus futiles.

Espaces de noms.

Je vais maintenant vous présenter les espaces de noms, il s’agit d’un ensemble de pages ayant le même préfixe dans leur titre. Par exemple, sur Wikipédia la page d’aide Aide:Espace de noms appartient à l’espace « Aide:« . En informatique, un espace de noms (namespace en anglais) est un lieu abstrait conçu pour accueillir des ensembles de termes appartenant à un même répertoire. Un espace de noms permet d’assurer l’unicité de nommage. Ainsi, si deux ressources portent le même nom, il est possible de les distinguer grâce à un espace de noms. Cela permet d’organiser chaque section de la plateforme, par exemple Discussion est un espace de noms, et l’espace de noms où les articles sont recensés, s’appelle (Principal), et on l’a croisé tout à l’heure.

Pour mieux comprendre, on va se rendre (encore une fois), grâce à la barre des outils, dans les Pages spéciales.

On va aller dans la section Listes de pages (1), et cliquer sur Toutes les pages (2).

On arrive dans cet outil de recherche, comme indiqué, ici sont référencées absolument toute les pages qui constituent le Wikipedia Français.

Pour faire une recherche c’est assez simple, choisissez un espace de noms, dans Espace de noms (1), maintenant vous savez ce que c’est. Vous avez pas mal de choix, (Principal) c’est tous les articles, il suffit de mettre dans Afficher les pages à partir de (2) le début du titre d’un article, vous pouvez même simplement mettre une lettre.

Par exemple, vous pouvez y trouver l’espace de noms Wikipedia:, dans lesquels on retrouve les guerres d’éditions, et plein de choses super intéressantes. Cet espace de noms regroupe des recommandations, les règles de la plateforme, les décisions prises dans les discussions, les projets, et les informations sur le règlement de Wikipedia.

En somme, de nombreuses fonctionnalités sont connues de tous, comme les lien interne, mais d’autres moins, et pourtant qui méritent d’exister. Maintenant, on va passer dans la partie contributeur, maintenant que vous connaissez Wikipedia mieux que la plupart des gens, vous êtes fin prêt à y apporter votre temps, pour faire partie des volontaires.

Comment contribuer ?

Si vous êtes arrivé jusqu’ici, c’est que vous êtes bien motivé à contribuer, vous connaissez maintenant plus de choses, et vous êtes prêt à vous y mettre.

Avant de commencer, assurez-vous d’avoir bien crée un compte, une fois que c’est fait, vous allez passer les étapes qu’on vous propose, pour personnaliser votre profil de contributeur.

Contribution guidée.

Après les questions répondues, la plateforme vous proposera des tâches à réaliser sur certains articles.

Vous verrez sur cette page le nombre de pages, vous verrez des statistiques comme le nombre de visite des pages depuis vos modifications. Bref un suivi de très près. Les tâches peuvent être faciles, intermédiaire et difficile. On vous proposera de modifier des articles, ou d’en créer pour les plus expérimentés. De plus, quand votre compte est créé, Wikipedia vous attribue un mentor, un contributeur expérimenté à qui vous pouvez poser des questions.

On remarque donc que c’est assez suivi, vous êtes accompagné et réalisez des tâches qu’on vous demande. Mais ça vous ennuie un peu de chercher les articles qui vous intéressent dans la liste proposée, vous voulez être libre et modifier ce que vous voulez, sur des sujets qui vous passionnent.

Contribution libre.

Vous pouvez bien sûr modifier les articles que vous voulez. Pour ça, rendez-vous dans l’article que vous souhaitez modifier.

Avant de continuer, je souhaite préciser quelque chose d’important. Vos modifications doivent être pertinentes, elles doivent apporter quelque chose d’utile à l’article, et DOIVENT ETRE accompagnées de sources, c’est primordial, sur Wikipédia, chaque information doit être vérifiable par le lectorat, une information ne peut être mentionnée que si les lecteurs peuvent la vérifier


Il est donc indispensable, à chaque fois que vous ajoutez une information, de citer vos sources. Une information est obligatoirement vérifiée par une source : un livre, une étude, un article de presse, etc. Cette source est désignée par une référence : auteur, titre, éditeur, lien (externe), identifiant, etc., afin qu’une personne consultant l’article puisse savoir d’où provient l’information.

Une fois que vous avez trouvé des sources et que vous vous êtes assuré de leur fiabilité, il faut les lier à votre article au moyen de notes de bas de page. Une note est généralement représentée par un numéro apparaissant sous la forme d’un lien interne à l’article, placé en exposant du texte, ce lien interne renvoie à la définition de la source, mise en forme dans une section à part de bas de page. Ainsi, la référence « 1 » sera affichée dans une section intitulée « Notes et références » en bas d’article ; la flèche bleue « ↑ » renvoie au lien interne contenu dans le corps du texte de l’article.

Bref, une fois sur l’article, cliquez sur Modifier (1) sur la barre qui se trouve en dessous du titre, à droite.

Nous voici sur la page de modification. Plusieurs fonctionnalités s’offrent à vous. Premièrement, modifier le texte, et bien-sûr en accompagnant des sources avec, pour ce faire, cliquez sur les guillemets (1) dans la barre d’outil, pour mettre en exposant un nombre, qui se retrouvera en bas de page dans Notes et références. Vous y ajouterez la source.

Ensuite, ajouter des liens internes (2), en cliquant dans la barre d’outil, sur le symbole lien, ceci redirigera le lecteur vers la page indiquée.

Protection et hiérarchie.

Sur Wikipedia, l’abus de certains utilisateurs existe. Parmi les articles de la plateforme, certains sont plus balancés que d’autres, plus sensibles. Ces articles subissent des guerres d’éditions, et se retrouve sous protection.

Mais alors, qui possède le droit de modifier des articles sous protection ?

Déjà, c’est quoi un article sous protection ?

Certains utilisateurs de Wikipédia, les administrateurs élus par la communauté, ont la capacité de « protéger » en écriture toute page de Wikipédia.

  • Pages semi-protégées.
La semi-protection a été mise en place sur la Wikipédia à la suite d’une prise de décision. Elle est utilisée lorsque la page connaît de sérieux problèmes de vandalisme.

Qui peut la modifier ?

Les utilisateurs autoconfirmés (L’acquisition automatique de ce statut s’impose après une période de 4 jours à compter de la création du compte, l’utilisateur enregistré devient automatiquement autoconfirmé) et les statuts au dessus.

  • Page sous semi-protection longue.
C’est, techniquement, une semi-protection classique. Mais longue.
Certains articles subissant régulièrement et durablement des interventions préjudiciables, leur semi-protection quasi permanente est devenue la seule solution pour éviter des révocations quotidiennes. Il peut s’agir :
– d’articles liés à des sujets délicats (sexe, politique, religion…) ;
– d’articles sur des personnes ou des thèmes traités à l’école, et donc très vulnérables au vandalisme scolaire. On peut, dans ce cas, semi-protéger un article jusqu’à la fin de l’année scolaire, une œuvre ou un auteur au programme, par exemple, si le vandalisme s’avère être intensif
– d’articles sujets à un intense lobbying.

Qui peut la modifier ?

Les utilisateurs autoconfirmés et les statuts au dessus.

  • Page sous semi-protection étendu.
La semi-protection étendue est un outil puissant qui ne doit servir que dans des cas où une semi-protection classique et un blocage des contributeurs problématiques se sont révélés inefficaces. Un usage plus libéral peut en être fait dans le cas d’attaques organisées et régulières sur des articles appartenant à une même thématique. Il faut en ce cas que la chose fasse l’objet d’un consensus formel des administrateurs.

Qui peut la modifier ?

Les utilisateurs autopatrolled (L’acquisition automatique de ce statut impose que deux conditions sont remplies, avoir effectué au moins 500 modifications, et avoir un compte créé depuis au moins 90 jours) et les statuts au-dessus.

  • Page protégée.
Les pages protégées sont protégées complètement en écriture.

Qui peut la modifier ?

Les administrateurs (élus par la communauté).

  • Protection en cascade.
La protection en cascade protège la page en question et toutes les pages qui en font une transclusion.

Qui peut la modifier ?

Les administrateurs.

  • Nom protégé.
Une page avec un nom protégé permet de lutter contre le vandalisme à propos d’un renommage. Les articles populaires et les célébrités ont souvent ce type de protection.

Qui peut la modifier ?

Les administrateurs.

  • Protection de la Wikimedia Foundation.
Cette protection n’est actuellement pas utilisée sur Wikipédia en français. Seule la Wikimedia Foundation peut l’appliquer comme « Office action » et cette action est uniquement réalisée par un membre de la Wikimedia Foundation ou par l’équipe Trust and Safety. Même si le niveau de protection est le même que pour une protection simple, les administrateurs ont l’interdiction de modifier ces pages sans l’autorisation de la Wikimedia Foundation sous peine de retrait de leur statut d’administrateur.

Qui peut la modifier ?

Uniquement la Wikimedia Foundation.

Précisions.

Ici je ne vais que parler, sans montrer d’images, car la contribution sur Wikipedia n’est pas qu’un acte sans sens.

Je précise qu’être contributeur, ça n’est pas simplement lire ce tutoriel, en réalité il faudrait lire chacune des pages Wikipedia qui en parlent, ces pages sont essentiels et même incontournables pour devenir un contributeur. Pour faire de vous un contributeur expérimenté, il vous faudra du temps pour comprendre comment Wikipedia fonctionne.

Sur Wikipedia, il y a ce qu’on appelle l’inclusionnisme, une manière de pensée qui considère que tout, mais vraiment tout, a sa place sur la plateforme. Les inclusionnistes considèrent que Wikipedia, contrairement au papier, n’a pas de limite d’écriture, tout peut y être, et eux préfèrent voir des articles problématiques conservés et perfectionnés plutôt que supprimés, en se disant que tôt ou tard, quelqu’un viendra peaufiner son contenu.

À l’inverse, il y a ce qu’on appelle le suppressionnisme, cette manière de pensée vise à laisser sur Wikipedia que ce qui est utile, où en tout cas ce qui leur semble utile. C’est une vision plus conservatrice qui vise à supprimer les articles qui ne servent pas, ou qui ne sont pas rigoureusement parlants parfaits.

Ces deux tendances visent à diviser la communauté des Wikipédiens, c’est ce qu’on appelle le factionnalisme, cela décrit les tendances de divisions au sein des contributeurs, Wikipedia préconise que « Plutôt que de s’enfermer dans des factions, il est conseillé d’essayer de développer des approches basées sur le consensus afin de régler les cas litigieux.»

Bref, Wikipedia, c’est toute une communauté, pour entrer dans ce monde il est préférable de se renseigner, de lire. Pour vous aider j’ai mis à la fin du tutoriel mes sources, qui contiennent les 5 principes fondateurs de la plateforme, vous y trouverez votre bonheur.

Conclusion, une œuvre humaine, à la fois magnifique et complexe.

Wikipédia est bien plus qu’une encyclopédie. C’est une œuvre collaborative d’une ampleur inédite, construite par des millions de mains à travers le monde. Chaque article, chaque ligne, chaque mot est le fruit d’un effort collectif, d’un dialogue entre des visions parfois divergentes. Mais c’est aussi un reflet de l’humanité elle-même : un mélange fascinant de coopération et de conflit, où l’idéal d’un savoir universel se heurte aux limites de nos désaccords.

Les guerres d’éditions, les débats entre inclusionnistes et suppressionnistes, ou encore les tensions causées par le factionnalisme ne sont pas des faiblesses. Ils témoignent de la vivacité et de l’engagement des contributeurs, mais aussi de la complexité de nos sociétés. Car à travers Wikipédia, c’est une version miniature de l’humanité qui se dessine : capable du meilleur comme du pire, unie par l’envie de bâtir.

Mais malgré ces tensions, Wikipédia reste une merveille. C’est une bibliothèque vivante, ouverte à tous, qui ne cesse d’évoluer, d’apprendre et de s’enrichir. Une preuve éclatante que, malgré nos imperfections, nous sommes capables de créer ensemble quelque chose de plus grand que nous. Alors, que vous soyez lecteur occasionnel ou contributeur passionné, souvenez-vous : chaque visite, chaque clic, chaque modification participe à cette aventure humaine unique.

Et peut-être que, dans cette imperfection, réside justement toute la beauté de Wikipédia.

Sources.

Pour la partie – Comment bien l’utiliser ?.

Pour la partie – Comment contribuer ?.

Les 5 principes fondateurs de Wikipedia:

Je suis d’accord, ça fait beaucoup. Mais jetez y un oeil si ça vous intéresse.

Tutoriels

Comment synchroniser son Google Drive avec son ordinateur ?

Google Drive est un service de stockage en ligne qui permet de sauvegarder, partager et accéder à vos fichiers depuis n’importe quel appareil connecté à Internet. Pour faciliter l’accès et la gestion de vos documents, il est possible de synchroniser votre Google Drive avec votre ordinateur. Cette synchronisation vous permet de travailler directement sur vos fichiers depuis votre bureau, sans avoir besoin d’ouvrir votre navigateur. Dans ce tutoriel, nous allons voir comment configurer cette fonctionnalité et tirer le meilleur parti de votre espace cloud.

Les avantages liés à cette manipulation.

Synchroniser Google Drive avec votre ordinateur présente de nombreux avantages. Cette configuration permet d’accéder à vos fichiers hors ligne, avec une synchronisation automatique dès que vous êtes reconnecté à Internet. Vous gagnez du temps en travaillant directement depuis un dossier local, sans avoir à passer par un navigateur. De plus, vos fichiers sont sauvegardés en continu dans le cloud, réduisant les risques de perte de données. Il devient également plus facile de partager des documents ou de collaborer en temps réel, car toutes les modifications sont instantanément visibles pour les autres utilisateurs. Cette solution combine la praticité du cloud avec le confort d’un accès local.

Ouvrir le navigateur « Chrome »



Dans un premier temps, pour accéder à Google Drive, connectez vous au navigateur Chrome ou Google. Cliquez ensuite sur l’icône de l’application pour ouvrir la page.

Se connecter à son compte Google

Avec un seul compte Google, vous pouvez accéder à une multitude d’applications et de services qui fonctionnent de manière connectée, comme Gmail, Google Drive, Google Sheets, Google Docs et bien d’autres. Tout est centralisé, ce qui signifie qu’il n’est pas nécessaire de créer plusieurs comptes pour chaque application. Par exemple, tous les fichiers que vous créez ou modifiez dans Google Sheets, Google Docs ou Google Slides sont automatiquement enregistrés dans votre Google Drive, ce qui vous permet de les retrouver facilement au même endroit. Donc pour accéder à votre Drive, il vous suffit de vous reconnectez simplement avec votre adresse Google habituelle.

Se rendre sur Google Drive

Une fois connecté à votre compte Google, cliquez sur l’icône située en haut à droite de la page, intitulée « Applications Google ». Une liste d’applications liées à votre adresse e-mail apparaîtra, y compris Google Drive.

Parmi les applications proposées, cherchez une icône en forme de triangle aux couleurs de Google : vert, jaune et bleu. C’est celle de Google Drive. Cliquez dessus pour ouvrir une nouvelle page.

Télecharger Drive pour ordinateur

Une fois sur la page de Google Drive, cliquez sur l’icône en forme de rouage située en haut à droite de l’écran, à côté de votre photo de profil.

Ensuite, sélectionnez l’option « Télécharger Drive pour ordinateur » ou, si votre interface est en anglais, « Get Drive for Desktop ».



Une nouvelle page s’affichera avec des instructions. Faites défiler jusqu’en bas pour trouver le lien hypertexte « Télécharger Drive pour Ordinateur ».

Ce lien vous permettra de télécharger Google Drive sur votre ordinateur, facilitant ainsi la synchronisation des données, une étape essentielle.

Cliquez sur « Installer ». Parfois, des messages d’autorisation et d’accès peuvent s’afficher après l’ouverture du dossier de téléchargement. C’est normal, il suffit de les accepter.

Paramétrer à sa guise

Il se peut qu’on vous demande de vous connecter à votre Drive (ce qui n’est normalement pas nécessaire). Connectez-vous alors à celui que vous souhaitez synchroniser avec votre ordinateur.

Une série de questions vous sera posée pour déterminer les données que vous souhaitez synchroniser ( documents, photos, tout). Cochez celles que vous souhaitez jumeler, puis cliquez sur « Suivant ».

Démarrer la synchronisation



Pour vérifier que la demande a été prise en compte et que la synchronisation des informations est en cours, rendez-vous sur la barre des tâches, cliquez sur la flèche et cliquez de nouveau sur l’icône de Drive.

Pour vérifier, cliquez sur l’icône des paramètres, puis sélectionnez « Reprendre la synchronisation ».

Accéder à son Drive depuis l’ordinateur

Maintenant, vous pouvez accéder à votre Drive directement depuis votre ordinateur, et tous les fichiers y seront synchronisés automatiquement.

Pour y accéder suivez ces étapes : Fichiers > Ce PC > Google Drive > Mon Drive.

Conclusion

Grâce à cette manipulation, plus besoin de vous tracassez sur la possibilité de ne pas pouvoir modifier vos documents lors de déplacements, où votre connexion n’est pas au rendez-vous. De plus, les avantages liés à l’utilisation du Drive sont conservés : vos documents s’enregistreront automatiquement, ne risquant plus de perde de documents importants.

Risques liés à cette manipulation

La synchronisation de Google Drive avec votre PC présente de nombreux avantages, notamment l’accès facile à vos fichiers depuis n’importe quel appareil, mais elle comporte également certains risques qu’il est important de prendre en compte.

Tout d’abord, la sécurité des données peut être un point faible. Si votre PC est compromis par un piratage, les fichiers synchronisés avec Google Drive deviennent accessibles aux personnes malintentionnées. Bien que Google propose un chiffrement des données, la sécurité dépend en grande partie de la gestion de vos mots de passe et de la configuration de votre appareil. Si ces aspects ne sont pas bien protégés, vous pourriez exposer vos fichiers à des risques de vol ou de corruption.

En outre, la synchronisation peut entraîner aussi des problèmes d’espace disque local. En synchronisant un grand nombre de fichiers ou des fichiers volumineux, vous risquez de saturer rapidement l’espace de stockage de votre PC. Même si vous pouvez choisir de ne synchroniser que certains dossiers, il est important de gérer cet aspect pour éviter de manquer d’espace.

Un autre danger réside dans la synchronisation automatique des fichiers. En effet, si vous supprimez ou modifiez un fichier sur votre PC, ces changements se répercutent immédiatement sur votre Google Drive et inversement. Cette synchronisation dans les deux sens peut entraîner une perte accidentelle de données si vous ne faites pas attention. De plus, si des fichiers sont modifiés simultanément sur plusieurs appareils, des conflits peuvent survenir, créant des versions multiples d’un même fichier, ce qui complique leur gestion. (relou)

La consommation internet est également un facteur à prendre en compte, surtout si vous travaillez avec de gros fichiers. La synchronisation continue peut épuiser rapidement votre connexion Internet, particulièrement si vous avez une bande passante limitée. Cela peut ralentir votre activité en ligne ou causer des problèmes de performance sur d’autres tâches.

Sur le plan de la confidentialité, bien que Google prenne des mesures pour protéger vos données, certains utilisateurs préfèrent éviter de synchroniser des informations sensibles sur un service cloud, par crainte de voir leurs données exploitées ou analysées à des fins commerciales.

Palier à ces risques

Pour limiter ces risques, il est conseillé de mettre en place des mots de passe forts sur votre compte Google. Vous pouvez également utiliser la synchronisation sélective pour ne synchroniser que les dossiers dont vous avez réellement besoin, et effectuer des sauvegardes régulières sur d’autres supports comme des disques durs externes ou d’autres services cloud. Enfin, l’utilisation d’un antivirus et de logiciels de sécurité sur votre PC est indispensable pour prévenir toute intrusion malveillante. En prenant ces précautions, vous pourrez profiter des avantages de la synchronisation avec Google Drive tout en réduisant les risques liés à la sécurité, à l’espace disque et à la confidentialité.

Pour plus d’informations sur ces risques, regardez cet article

Tutoriels

Comment installer et utiliser les extensions de navigateur les…

Les extensions de navigateur sont des outils indispensables pour personnaliser et améliorer votre expérience en ligne, elles offrent des fonctionnalités pratiques directement accessibles depuis votre navigateur. Dans ce tutoriel, je vais vous accompagner pour au final réussir à installer et utiliser les extensions les plus utiles, afin de simplifier vos tâches quotidiennes et naviguer plus efficacement.

Ouvrir le magasin d’extensions

Avant de pouvoir ajouter des extensions à votre navigateur, vous devez accéder à la plateforme qui les propose. Chaque navigateur dispose de son propre magasin dédié où vous pouvez découvrir, rechercher et installer des outils adaptés à vos besoins.

Pour Google Chrome :

Cliquez sur les trois points en haut à droite du navigateur.

Puis dans extensions > gérer les extensions > Chrome web store.

Pour Microsoft Edge :

Cliquez sur les trois points en haut à droite.

Puis dans extensions > Obtenir des extensions pour Microsoft Edge.

Rechercher une extension pratique

Une fois dans le magasin d’extensions, il est temps de trouver celle qui correspond à vos besoins. Que vous recherchiez un bloqueur de publicité ou un outil de traduction, le moteur de recherche du magasin vous permet de trouver des options fiables et bien notées.

Dans le magasin d’extensions, tapez le nom ou une description dans la barre de recherche.

Ensuite, consultez les avis et les notes pour évaluer la fiabilité.

Installer une extension

Trouver une extension est une chose, l’ajouter à votre navigateur en est une autre, l’installation est simple et rapide.

Cliquez sur l’extension souhaitée puis appuyez sur le bouton Ajouter au navigateur ou Installer. C’est aussi possible qu’on vous demande d’accepter les permissions si demandée.

Activer et gérer les extensions

Une fois installées, les extensions doivent être configurées et gérées pour être pleinement fonctionnelles. Vous pouvez personnaliser leur utilisation ou désactiver celles dont vous n’avez pas besoin à tout moment.

Après avoir installée les extensions souhaitées, une icône apparaîtra généralement près de la barre d’adresse.

Pour Microsoft Edge :

Pour Google Chrome :

En cliquant dessus, vous pouvez configurer ou activer l’extension ou vous pouvez aussi désactiver ou supprimer une extensions dans le menu Gérer les extensions.

Utiliser les extensions pour vos besoins quotidiens

Avec vos extensions installées, il ne reste plus qu’à les mettre en pratique. Elles vous simplifieront la vie en automatisant certaines tâches ou en vous offrant de nouvelles fonctionnalités directement dans votre navigateur.

  • Navigation sécurisée : Utilisez une extension comme uBlock Origin pour bloquer les publicités intrusives, les pop-ups et les sites potentiellement malveillants. Pour protéger vos mots de passe, Bitwarden ou LastPass offrent un stockage sécurisé et des suggestions de mots de passe complexes.
  • Traductions et recherches : Installez Grammarly pour vérifier l’orthographe et la grammaire lorsque vous écrivez des e-mails ou des documents en ligne. Trello et Notion Web Clipper vous permettent de capturer rapidement des idées ou des tâches directement depuis votre navigateur.
  • Productivités : Si vous avez souvent de nombreuses pages ouvertes, des outils comme OneTab ou Tab Manager Plus vous permettent de regrouper et organiser vos onglets pour une navigation plus claire et rapide.

Mettre à jour et surveiller vos extensions

Pour profiter pleinement de vos extensions, il est essentiel de les maintenir à jour. Cela garantit non seulement leur bon fonctionnement, mais aussi la sécurité de votre navigation en ligne.

Les développeurs publient régulièrement des mises à jour pour :

Ajouter de nouvelles fonctionnalités : Vous bénéficiez des dernières améliorations et outils proposés par l’extension.

Corriger des bugs : Une version obsolète peut entraîner des erreurs ou ralentir votre navigateur.

Renforcer la sécurité : Les mises à jour protègent contre les vulnérabilités qui pourraient être exploitées par des hackers.

La plupart des navigateurs mettent à jour les extensions automatiquement. Toutefois, vous pouvez vérifier manuellement si une mise à jour est disponible :

Pour Google Chrome :

Cliquez sur les trois points en haut à droite puis sur Extensions et activez le Mode développeur.

Cliquez sur Mettre à jour pour forcer une mise à jour de toutes les extensions.

Pour Microsoft Edge :

Faire la même manipulation sur Microsoft Edge.

Pour éviter que votre navigateur devienne lent ou vulnérable, il est recommandé de supprimer les extensions que vous n’utilisez plus :

  • Rendez-vous dans le gestionnaire d’extensions de votre navigateur.
  • Cliquez sur Supprimer pour les extensions inutiles ou sur Désactiver pour les désactiver temporairement.

Certaines extensions demandent des autorisations sensibles (accès à vos données, navigation, etc.).

  • Vérifiez régulièrement les permissions dans les paramètres de l’extension.
  • Si une extension demande des autorisations suspectes ou inutiles, envisagez de la désinstaller.

Trop d’extensions actives peuvent ralentir votre navigateur ou causer des conflits. Pour optimiser vos performances :

  • Désactivez les extensions que vous n’utilisez pas fréquemment.
  • Testez votre navigateur après la désactivation pour voir si les performances s’améliorent.

En prenant le temps de mettre à jour, surveiller et organiser vos extensions, vous assurez non seulement leur efficacité, mais aussi une navigation plus fluide et sécurisée. Cela fait partie des bonnes pratiques pour tirer le meilleur parti de votre navigateur sans compromis sur la vitesse ou la sécurité.

Tutoriels

Comment monter un ordinateur ?

Monter un ordinateur peut sembler compliqué, mais ce n’est pas si difficile lorsque l’on sait ce que l’on fait. Ce tutoriel possède deux grands objectifs. Le premier est de vous expliquer les spécificités techniques de chaque composant d’un ordinateur, afin de vous aider à choisir ceux qui correspondent le mieux à vos besoins. Le second objectif est de vous guider pas à pas pour apprendre à monter un ordinateur de A à Z.

Liste des composants ainsi que leur caractéristique

Le processeur : le processeur ou CPU (Central Processing Unit) est le cerveau de votre ordinateur. Il gère les échanges de données entre composants (mémoire RAM, disque dur, carte graphique). La fréquence des processeurs est en GHz. Concrètement, une fréquence de 2 GHz permet au processeur d’effectuer deux milliards d’opérations par seconde. Ce qui est un critère important dans le choix du processeur. De plus, La puissance de calcul et la vitesse de traitement sont multipliées par le nombre de cœurs sur la puce. Ainsi, plus un processeur a de cœurs, plus il sera puissant et multitâche. Évidemment, il vaut mieux avoir un processeur 2 GHz avec deux cœurs qu’un processeur 3 GHz avec un seul cœur.

La carte graphique : la carte graphique ou GPU (Graphics Processing Unit) est un périphérique graphique ou carte d’extension d’ordinateur dont le rôle est de produire une image affichable sur un écran. Pour bien choisir sa carte graphique, il faut regarder plusieurs caractéristiques. Sa fréquence, exprimée en MHz ou GHz, indique la vitesse à laquelle le GPU effectue ses calculs. Sa finesse de gravure plus elle est fine, plus elle est performante. Pensez à regarder la gamme de puces graphiques, les puces embarquées sur les GPU NVIDIA sont les GTX et RTX et Radeon RX pour AMD. Enfin, la VRAM embarquée dans la carte graphique plus il y en a, mieux c’est. ATTENTION, le prix monte très vite.

La carte mère : la carte mère est un circuit imprimé qui relie tous les composants entre eux. Pour choisir une carte, il faut regarder 3 points importants. Le 1er la compatibilité avec le processeur, il ne faudrait quand même pas choisir une carte mère INTEL avec un processeur AMD. 

2612058

  • Ne pas oublier que les processeurs possèdent des sockets (ce qui établit le contact entre la carte mère et le processeur) pour AMD ce sont AM4 et AM5 (le plus souvent). Pour Intel, ça marche en générations : 9ème, 10ème, 11ème, 12ème, 13ème et 14ème (pour savoir, il faut regarder les deux premiers chiffres du nom du processeur). Chaque génération correspond à un socket. Par exemple, pour un i9 13900K (13ème génération), le socket sera un LGA 1700.
  • Il faut aussi prendre la bonne taille de carte mère. Il existe trois principales tailles : ATX, micro-ATX et mini-ITX chacune correspond à une taille de boitier.
  • Enfin, choisir si l’on veut que notre carte mère possède des antennes ou non (pour capter le wifi et le Bluetooth).

Le SSD:  le SSD (Solid-State Drive) est une unité de stockage rapide. Il peut être trouvé sous différents formats.

  • Le 2.5 qui se connecte à l’aide d’un câble SATA.
  • Le M.2,lui se connecte directement à la carte mère il est plus intéressant que le format 2.5 au niveau du cable management, car il est moins  encombrant. Il possède aussi souvent une vitesse de lecture plus rapide que le 2.5 pour moins cher.
  • Le mSATA, ou mini-SATA, est une version plus petite du SSD SATA ordinaire. C’est un format compact, comme le M.2, sans être interchangeable.
  • L’U.2, pour finir, ressemble à un disque 2,5″ en un peu plus épais. Il utilise un connecteur différent et envoie ses données par le biais du PCIe. La technologie SSD U.2 est généralement réservée aux stations de travail, serveurs et applications d’entreprise haut de gamme qui nécessitent un stockage plus important.

Le HDD : le HDD (Hard Disk Drive) désigne le disque dur traditionnel à mémoire de masse magnétique. . Il est moins rapide qu’un SSD, mais il est souvent beaucoup moins cher. Mais je vous recommande quand même de privilégier le SSD au HDD.

La RAM : la RAM (Random Access Memory) est une banque de mémoire temporaire où votre ordinateur stocke les données qu’il doit retrouver rapidement. Elle est un composant essentiel pour votre ordinateur. La puissance de la RAM se remarque par trois grands critères : sa taille (8 Go, 16 Go, 32 Go, etc.), sa fréquence (3200 Mhz, 3600 Mhz, 600 Mhz, etc.) et enfin, la latence CAS (18, 32, etc.). Le CAS représente le nombre de « cycles d’horloge » nécessaires pour que le module accède à un ensemble spécifique de données dans l’une de ses colonnes et les mette à la disposition de la sortie. En gros, plus il est faible, plus la tâche sera accomplie rapidement.

Le refroidisseur de processeur : le refroidisseur de processeur sert, comme son nom l’indique, à refroidir le processeur. La chaleur générée par le processeur lui-même est distribuée au couvercle métallique du processeur, appelé diffuseur de chaleur intégré (Integrated Heat Spreader, IHS). La chaleur est ensuite transférée vers la plaque de base du refroidisseur du processeur. Cette chaleur est alors distribuée, soit par liquide, soit par le biais d’un tuyau thermique, vers un ventilateur, où elle est évacuée du refroidisseur, puis du PC. Il existe deux types de refroidisseurs le ventirad et le watercooling, chacun pour un usage bien spécifique. Le ventirad est moins cher et convient très bien aux petits et moyens processeurs, alors que le watercooling,lui, intervient sur les gros processeurs qui chauffent beaucoup.

L’alimentation : elle sert à alimenter chacun des composants de ton ordinateur. Pour calculer de quelle puissance d’alimentation vous avez besoin, je vous conseille de regarder ce site la https://fr.msi.com/power-supply-calculator. Les alimentations possèdent aussi une certification « 80 PLUS » suivie de BRONZE, ARGENT, GOLD, PLATINE et enfin TITANE elle représente la perte énergétique de l’alimentation. Par exemple, une alimentation BRONZE aura une plus grande perte énergétique qu’une alimentation ARGENT ainsi de suite. 

Le boitier : le boitier de l’ordinateur doit correspondre à la taille de la carte mère ATX, micro-ATX, etc. La carte graphique doit pouvoir rentrer dans l’ordinateur, car ce serait dommage de lâcher 800 euros dans une carte graphique pour qu’elle ne rentre pas. Il faut bien lire toutes les lignes de la fiche technique pour éviter tout problème. Il faudra peut-être penser à acheter des ventilos s’il n’y en a pas inclus avec le boitier, faites attention.

Informations complémentaire

Le Bottleneck ou goulot d’étranglement fait référence à un composant limitant le potentiel d’un autre élément matériel en raison des différences de capacité maximale des deux composants. Pour connaitre le goulot d’étranglement entre votre processeur et votre carte graphique, allez sur ce site https://pc-builds.com/fr/bottleneck-calculator/ mettez votre processeur, votre carte graphique et votre résolution d’écran, et cochez la case « Tâches intensives du GPU » si vous faites un ordinateur principalement pour jouer sur votre ordinateur. Un bon goulot d’étranglement est <5%.

Montage de l’ordinateur

Liste du matériel à avoir pour le montage :

  • Plusieurs tournevis 
  • Des rislans (il y en a souvent fournis avec la carte mère, mais je vous conseille quand même d’en avoir).
  • une pièce bien illuminée

La mise en place de la carte mère

  • Commencez par déballer la carte mère ainsi que les câbles fournis avec et placez-les là sur un morceau de polystyrène présent dans la boite de la carte mère ou du GPU.
  • Pour installer le processeur, vous devez tout d’abord lever la sorte de petit levier et poser délicatement le processeur sur le socket (!!! ATTENTION pour les processeurs AM4, ne tordez pas les pins au dos du processeur en le plaçant, soyez délicat !!!). Puis redescendez délicatement le levier, mais avec une certaine pression.
  • Pour la RAM, installez-la à droite du processeur sur les sortes de rangées. Si vous avez deux barrettes, déclipsez les rangées 2 et 4 pour faire du DUAL CHANNEL. Placez ensuite dans le bon sens (oui, il y a un sens) les barrettes de RAM. Avec un peu de force, elles vont se clipser toutes seules. ÉVITEZ DE TOUCHER LA PARTIE DORÉE DE LA RAM !!!
  • Le SSD M.2 se connecte à la carte mère en dessous du processeur, au-dessus de la carte graphique. On peut dévisser un petit cache pour insérer le SSD dans le port M.2 en alignant les encoches. Puis revisser le cache par-dessus.
  • Maintenant, concentrons nous sur le ventirad. Pour cela, regardez les instructions données par le manuel de votre ventirad en fonction du processeur, n’oubliez pas d’appliquer la pâte thermique sur le processeur, puis branchez le ventilo de votre ventirad sur les pins « CPU FAN ». Vous pouvez maintenant l’installer dans votre boitier. Faites attention à bien l’aligner avec l’emplacement des vis.
     

La mise en place des autres composants dans le boitier

  • L’alimentation se place tout en bas à gauche du boitier. Pour cela, ouvrez la plaque arrière de celui-ci et installez l’alimentation en bas à droite quand vous êtes face au dos du boitier avec le ventilateur de l’alimentation vers le bas. Préparez bien les câbles dont vous aurez besoin pour alimenter votre MACHINE DE GUERRE, puis vissez-la correctement.
  • La carte graphique se branche sur la carte mère. Pour cela, dévissez les supports arrière du boîtier PCI qui s’alignent avec l’emplacement PCI que vous utiliserez. Retirez la protection qui recouvre la bande PCI du GPU. Puis l’insérer dans la fente jusqu’à entendre le clic de fixation, puis la visser au boitier grâce au support.
  • Les HDD se branchent à la carte mère avec un câble SATA. Certains boitiers possèdent un petit tiroir où les HDD peuvent être rangés.
  • Les SSD 2.5 se branchent à la carte mère avec un câble SATA et peuvent souvent être fixés magnétiquement à l’arrière du boitier ou dans un emplacement dédié.

Les branchements

L’alimentation est reliée à :

  • La carte mère :
  • La carte graphique :
  • Au processeur :
  • Enfin, à l’HDD et au SSD :

Les ventilos sont branchés aux pins avec écrit « FAN »

Pour tous les branchements liés au boitier, comme le bouton de démarrage ou un port USB-C, référez-vous au manuel du boitier.

 

Conseille

Si vous ne comprenez pas une partie, vous trouverez énormément de vidéos en ligne sur comment bien monter un ordinateur. De plus, lisez bien les manuels des composants, ils possèdent souvent la réponse à toutes vos questions. Monter un ordinateur demande juste de la patience, rien n’est bien compliqué.

 

Tutoriels

Excel, un formidable outil informatique

Excel est un logiciel de type « tableur » développé par Microsoft faisant partie des logiciels de bureautique de la suite Microsoft Office au même titre que World, Power Point etc… Cependant si il n’était que cela, je ne prendrais pas la peine de vous le présenter. Mark Cuban, milliardaire et investisseur de Shark Tank disait lui-même que la maitrise Excel est l’une des compétences les plus importantes dans le monde professionnel.

Présentation générale d’un tableur

Dans le monde des entreprises désormais complètement informatisé, l’utilisation d’outils comme Excel est devenu indispensable. Le logiciel étant facile d’utilisation, il est accessible à tout le monde et permet de créer un environnement de travail adapté: par exemple la réalisation d’un suivi de stock, d’une analyse financière ou d’un budget.

Mais avant d’aller plus loin, définissons ce qu’est un tableur. Un tableur est un programme informatique conçu pour manipuler et analyser des données organisées sous forme de tableaux. Le tableau est composé de cellules qui peuvent contenir des nombres ou des textes et être utilisées pour réaliser des calculs ou des actions de gestion de base de données. Excel propose aussi de nombreuses fonctionnalités comme la réalisation d’un graphique à partir d’une série de données, voire la possibilité de créer de petits programmes sous forme de macro, en utilisant le langage informatique VBA.

Prise en main d’Excel

L’ensemble des fonctionnalités d’Excel est organisé dans une barre des taches qui est composée de plusieurs menus comme insertion, mise en page, formules etc… Dans les menus, sont rangés les boutons, permettant d’accéder aux nombreuses fonctionnalités d’Excel.

Lorsque l’on ouvre le logiciel Excel, on ouvre une feuille de calcul vierge. Cette feuille de calcul est composé de cellules. Chaque cellule a un nom composé d’une lettre (sa colonne) et d’un chiffre (sa ligne). A1 par exemple pour la cellule tout en haut à gauche du tableau. Ces cellules peuvent contenir des nombres, des textes voire des liens hypertexte.

Fonctions et formules

Lorsque l’on veut faire une opération comme une addition par exemple, il faut toujours commencer par rentrer le signe = dans la cellule. Puis on écrit notre addition. On peut également additionner le contenu de 2 cases en rentrant leurs coordonnées.

Excel propose une large gamme de fonctions pour automatiser les calculs et traiter des données. Pour insérer une fonction, il faut se rendre dans le menu « Formules » de la barre des tâches puis sélectionner le bouton « Insérer une fonction ».

Les fonctions sont classées par catégorie thématique : il y a des fonctions financières, statistiques, mathématiques etc…

A l’intérieur de ces catégories de fonctions, il existe un menu déroulant permettant d’afficher et de sélectionner toutes les fonctions disponibles dans une catégorie. Par exemple la fonction SOMME se situe dans la catégorie Mathématiques.

Création de graphiques

Il est aussi possible de créer des graphiques à partir d’un tableau existant dans une feuille de données. Les graphiques sont des outils visuels qui permettent de représenter des données afin de mieux les analyser. Pour créer un graphique, il faut se rendre dans le menu « Insertion » de la barre des tâches puis sélectionner le bouton « Graphiques ». On peut sélectionner différents types de graphiques et choisir le plus adapté au tableau que nous voulons analyser.

Création d’un tableau croisé dynamique

Le tableau croisé dynamique est un outil servant à principalement à extraire des données significatives à partir de grandes quantités de données. Il regroupe et synthétise des données pour obtenir des moyennes, des totaux ou d’autres valeurs spécifiques. Ce tableau peut être organisé de manière très simple pour accéder aux informations à analyser. Pour cela, les données sont regroupées avec d’autres valeurs possédants des caractéristiques similaires. Pour créer un tableau croisé dynamique, il faut se rendre dans le menu « Insertion » de la barre des tâches puis sélectionner le bouton « Tableaux croisés dynamiques ».

Nous avons, pour faciliter la compréhension, créé un tableau croisé dynamique à partir du tableau qui affichait les notes ainsi que le prénom des élèves. A ce tableau nous avons rajouté des colonnes qui contiennent des informations par élèves qui sont:

  • la moyenne
  • le mois de naissance
  • la ville

Le tableau va nous permettre d’extraire les informations souhaitées au sujet des élèves. En l’occurrence la moyenne des élèves qui habitent Avignon.

Enregistrement d’une macro

Sur Excel, on peut également créer ce qu’on appelle des macros. Une macro est une séquence d’instructions ou de commandes automatisée qui permet d’exécuter des tâches répétitives rapidement et facilement. Les macros dans Excel sont généralement créées à l’aide de VBA (Visual Basic for Applications), un langage de programmation intégré dans Excel. Excel offre la possibilité d’enregistrer une suite d’actions en les réalisant. Cette suite d’actions est ensuite traduite automatiquement en langage VBA.

Pour créer une macro, il faut se rendre dans le menu « Affichage » de la barre des tâches puis sélectionner le bouton « Macros » puis le bouton « Enregistrer une macro ». On effectue donc la suite d’actions que l’on veut réaliser et une fois terminée, on arrête l’enregistrement.

Exemple : Reprenons le tableau de notes utilisé pour créer les graphiques dans la partie précédente. Vous trouverez ci-dessous le code VBA de la macro « MiseEnForme » appliquée à notre tableau. Les tâches successives sont :

  • centrer le texte des deux premières cellules
  • afficher le texte en gras
  • trier par ordre décroissant les notes obtenues par les élèves
Sub MiseEnForme()
'
' MiseEnForme Macro
' Mettre en forme un tableau
'

'
    Range("A1:B1").Select
    With Selection
        .HorizontalAlignment = xlCenter
        .VerticalAlignment = xlBottom
        .WrapText = False
        .Orientation = 0
        .AddIndent = False
        .IndentLevel = 0
        .ShrinkToFit = False
        .ReadingOrder = xlContext
        .MergeCells = False
    End With
    Selection.Font.Bold = True
    Columns("A:B").Select
    ActiveWorkbook.Worksheets("Feuil1").Sort.SortFields.Clear
    ActiveWorkbook.Worksheets("Feuil1").Sort.SortFields.Add2 Key:=Range("B2:B9") _
        , SortOn:=xlSortOnValues, Order:=xlDescending, DataOption:=xlSortNormal
    With ActiveWorkbook.Worksheets("Feuil1").Sort
        .SetRange Range("A1:B9")
        .Header = xlYes
        .MatchCase = False
        .Orientation = xlTopToBottom
        .SortMethod = xlPinYin
        .Apply
    End With
End Sub


Une fois la macro enregistrée ou écrite, vous pouvez l’exécuter à tout moment en cliquant sur le bouton « Exécuter la macro » dans Excel ou en appuyant sur un raccourci clavier que vous lui avez attribué.

Ce tutoriel ne montre qu’une petite partie des très nombreuses fonctionnalités d’Excel qui lui permettent d’être considéré par 80% des entreprises comme un outil essentiel.

Tutoriels

Optimiser son code python

Vous cherchez à rendre l’affichage d’une image plus rapide ? où simplement, vous trouvez votre code un peu long à se faire ? Ici, nous nous plongerons dans l’art de perfectionner nos codes pour en maximiser l’efficacité. Vous trouverez ici des moyens de mieux utiliser certaines bibliothèques ou des alternatives à celle-ci.

Teaser du tutoriel

Kandinsky

Vous avez peut-être déjà remarqué que Kandinsky, bibliothèque utile pour dessiner en python, est très lent sur ordinateur. Mais l’avez-vous bien paramétré ? Et êtes-vous satisfait de sa rapidité ? Regardons ensemble comment y remédier.

Comment bien utiliser Kandinsky

Tout d’abord, regardons comment vous avez et pourrez paramétrer l’émulateur de Kandinsky. Pour vérifier ça, ouvrez votre IDE, lancez votre script.

vous partez donc de cela :

Ensuite suivez, ces indications :

tout d’abord allez dans le menu « Options » :

D’ici, vous pouvez :

  • avec l’onglet « OS », choisir l’os utilisé.
  • avec l’onglet « Model », choisir une version de la calculatrice Numworks, ici émulé.
  • avec l’onglet « Zoom », choisir la taille de la fenêtre.

Ici pour accélérer notre script, nous utiliserons l’OS « PC ».

Et voilà, déjà, votre script va bien plus vite sur votre ordinateur. Il est important de savoir que ce n’affecte pas la vitesse du script sur la calculatrice, mais seulement ici sur votre ordinateur.

Pillow, Kandinsky en plus rapide (et plus encore)

Vous trouvez encore votre script lent à l’exécution ? Alors voici la bibliothèque PIL. Avant de commencer, il est important de rappeler que Pillow n’est pas disponible sur Numworks là où l’est Kandinsky.

Comparatif de vitesse entre Pillow et Kandinsky

Pour analyser la vitesse de mes deux options, je vais utiliser le script disponible sur le tuto ici qui génère un « Julia set », et je le modifie pour qu’il utilise Pillow plutôt que Kandinsky.

Afin de chronométrer le temps de génération, j’ai rajouté la bibliothèque Time :

#si le script utilise Pillow
from PIL import Image
#si le script utilise Kandinsky
#import Kandinsky
import time

def julia_PIL(N_iteration):
    start_time = time.time()  # Enregistrez le temps de début

    # création de la palette de couleurs
    palette = []
    xmax = 2
    xmin = -2
    ymax = 1.3875
    ymin = -1.387
    r = 255
    g = 255
    b = 255
    for j in range(0, 128):
        b = 255 - 2 * j
        palette.append((r, g, b))
    for j in range(128, 256):
        r = 255 - 2 * (j - 128)
        g = 255 - 2 * (j - 128)
        palette.append((r, g, b))

    # Création de l'image avec Pillow (rien a mettre si on utilise Kandinsky)
    img = Image.new('RGB', (320, 222))

    #generation de la fractale
    for x in range(320):
        for y in range(222):
            i = 0
            z = complex(xmin + (xmax - xmin) * x / 320 + (ymax - (ymax - ymin) * y / 222) * 1J)
            c = complex(0.36, 0.36)
            while i < N_iteration and abs(z) < 2:
                i = i + 1
                z = z * z + c
            couleur = palette[int(255 * i / N_iteration)]

            # Avec Pillow : Définir la couleur du pixel dans l'image aux coordonnées (x,y)
            img.putpixel((x, y), couleur)
            # Avec Kandinsky : même but que Pillow
            #col = color(couleur[0],couleur[1],couleur[2])
            #set_pixel(x,y,col)

    # Affichage de l'image (rien a mettre si on utilise Kandinsky)
    img.show()

    end_time = time.time()  # Enregistrez le temps de fin
    elapsed_time = end_time - start_time
    print("Temps d'exécution : ",elapsed_time," secondes")

Ici, le script utilisant Kandinsky prend 3,25 secondes, celui avec Pillow prend 4,40 secondes quand je génère une fractale avec 1000 itérations. Mais il est plus lent ?!! en fait non, car Pillow, avec son .show() (ligne 40), doit ouvrir une nouvelle fenêtre photo, ce qui prend longtemps. Si à la place, on enregistre l’image et qu’on ne l’affiche pas, le script prend 0,39 seconde à s’exécuter. On rajoute donc ceci à notre script au même endroit que .show().

img.save('Julia.png')

L’image générée est enregistrée dans le même répertoire que le script, sous le nom « Julia.png » (le nom est modifiable à souhait).

Utilisations

De mon côté, j’ai utilisé le script modifié grâce à Pillow. Ainsi, je peux générer des images a très grand format et j’ai donc réalisé ceci, un « Julia set » en 8k en 211,25 secondes (ce qui est impossible avec Kandinsky, car la bibliothèque est limitée en 320p par 222p) :

En outre, je peux l’utiliser par exemple pour faire un explorateur de fractale sur des images plus petites que de la 8k quand même.

Si vous avez besoin de plus d’information, voici la documentation complète de Pillow, ici.

NumPy

NumPy est une bibliothèque python très utile dans le calcul de tableaux ou de matrices pour accélérer ces calculs ou simplifier la lecture du code grâce à ses fonctions directement implémentée comme la multiplication matricielle. C’est une bibliothèque très utilisée par exemple pour :

  • Calcul Scientifique : NumPy est largement utilisé dans le domaine scientifique pour la modélisation mathématique, les simulations numériques et l’analyse de données.
  • Apprentissage Automatique : De nombreuses bibliothèques d’apprentissage automatique, comme scikit-learn, utilisent NumPy pour la manipulation des données et les opérations numériques.
  • Traitement des Images et du Son : NumPy est souvent utilisé dans le traitement des images et des signaux sonores en raison de ses capacités à travailler avec des tableaux multidimensionnels.
  • Analyse de Données : Les analystes de données et les scientifiques des données utilisent NumPy pour effectuer des opérations numériques efficaces sur de grands ensembles de données.

Pourquoi utiliser les tableaux de NumPy plutôt que de simples listes ?

Les listes normales en Python sont des structures de données de base qui peuvent contenir des éléments de types différents. Elles offrent une grande souplesse, mais peuvent être moins performantes pour les opérations numériques sur de grands ensembles de données. D’un autre côté, les tableaux de NumPy (ou array) sont des structures de données spécialisées pour les calculs numériques qui offrent des performances optimisées.

En outre, voici quelques exemples montrant les différences entre les deux :

  • Type d’Éléments :
    • Liste : Peut contenir des éléments de différents types (entiers, chaînes de caractères, etc.).
    • Array : Contient des éléments d’un type de données homogène. Les Array sont typés, ce qui signifie que tous les éléments doivent être du même type.
  • Performance :
    • Liste : Moins efficace pour les opérations numériques sur de grands ensembles de données en raison de sa flexibilité.
    • Array : Conçu pour les calculs numériques, offrant des opérations vectorielles efficaces et des performances optimisées.
  • Fonctions et Opérations :
    • Liste : Offre des fonctionnalités de base pour la manipulation de données, mais peut nécessiter des boucles explicites pour certaines opérations numériques.
    • Array : Fournit une vaste gamme de fonctions optimisées pour les opérations numériques, y compris des opérations vectorielles, des fonctions mathématiques et des fonctions de statistiques.
  • Taille Dynamique :
    • Liste : La taille d’une liste peut changer dynamiquement en ajoutant ou en supprimant des éléments.
    • Array : La taille d’un Array est fixée à la création. Pour ajouter ou supprimer des éléments, un nouveau tableau doit être créé.
  • Syntaxe :
    • Liste : Définie avec des crochets, par exemple, ma_liste = [1, 2, 3]
    • Array : Créé avec la fonction numpy.array(), par exemple, mon_tableau = numpy.array([1, 2, 3])

Démonstration

Imaginons que nous devons faire des calculs sur des éléments d’une liste d’integer :

liste = [i for i in range(10000000)]
resultat = []
for nb in liste :
    resultat.append(nb ** 2)

Ici, on élève chaque élément de notre liste au carré, ce script prend 3,42 seconde. Avec NumPy, on peut faire ceci :

import numpy as np

arr = np.array([i for i in range(10000000)])
# Applique une fonction pour élever chaque élément de la liste au carré
result = np.square(arr)

Ici, le script prend 1,15 seconde, NumPy est utile pour gérer des tableaux de valeurs très grandes et appliquer des règles de calculs sur ces tableaux. Les array sont un nouveau type d’objet qui correspondent aux listes et matrices.

Fonctions natives intéressantes

NumPy offre un grand nombre de fonctions qui pourront simplifier la lecture de votre code et l’accélérer :

  • Produits de tous les éléments :
import numpy as np

liste = [1, 2, 3, 4, 5]

produit = np.prod(liste)
# renvoie donc avec un print ou un return 120
  • moyenne et écart-type :
import numpy as np

liste = [1, 2, 3, 4, 5]

moyenne = np.mean(liste)
# renvoie donc avec un print ou un return 3.0
ecart_type = np.std(liste)
# renvoie donc avec un print ou un return 1.4142135623730951
  • Chercher des éléments suivants une condition et liste des éléments unique de la liste
import numpy as np

#va renvoyer tous les éléments du tableau supérieur à 2 dans une nouvelle liste
liste_sat = [1, 2, 3, 4, 5]
elements_satisfaisants = np.extract(np.array(liste_sat) > 2, liste_sat)
# renvoie donc avec un print ou un return [3 4 5]

#va renvoyer tous les éléments uniques du tableau et leur nombre d'apparitions dans une nouvelle liste
liste_uni = [1, 2, 2, 3, 4, 4, 5]
elements_uniques, comptages = np.unique(liste_uni, return_counts=True)
# renvoie donc avec un print ou un return [1 2 3 4 5] [1 2 1 2 1]

Si vous avez besoin de plus d’information, voici la documentation complète de NumPy, ici.

Tutoriels

Comment mettre à jour sa calculatrice NumWorks ?

Vous venez d’acheter une calculatrice NumWorks ou vous en possédez déjà une et vous voulez comprendre comment la mettre à jour ? Alors ce tutoriel est fait pour vous : découvrez à travers une explication pas à pas comment mettre à jour votre calculatrice et bénéficiez des nouveautés disponibles sur celle-ci.

Trailer du tutoriel :

Pourquoi mettre à jour sa calculatrice ?

Tout d’abord, si vous venez d’acheter la calculatrice, elle ne possède pas la dernière version en date et peut ne pas posséder certaines fonctionnalités qui, pour certains, peuvent être essentielles dans leur utilisation de la calculatrice.

De plus, la calculatrice est sans cesse en évolution pour améliorer son utilisation. Des mises à jour sont donc régulièrement publiées. Il faut penser à les installer de temps en temps. Cela ne lui fera pas de mal.

La mise à jour étape par étape de votre calculatrice :

Pour que ce tutoriel soit simple et efficace, il vous expliquera les différentes étapes à réaliser pour réussir la mise à jour de votre calculatrice. Toutes les procédures doivent être réalisées sur un ordinateur pour faciliter le passage d’une étape à l’autre. Vous aurez également besoin de votre calculatrice et d’un câble USB (celui d’origine de préférence). Les captures d’écran du tutoriel ont été réalisées avec un ordinateur utilisant Windows et Google.

Voici les différentes étapes :

1ère étape : le compte NumWorks :

Dans cette première étape, vous allez devoir vous connecter à votre compte NumWorks. Si vous n’en avez pas encore un, cette étape explique également comment le créer.

Tout d’abord, rendez-vous sur numworks.com :

Puis, cliquez sur « Mon compte » :

Vous arriverez sur cette page :

Si vous avez déjà un compte, vous pouvez passer l’explication de l’inscription en cliquant ici.

Si vous ne possédez pas de compte, cliquez sur « S’inscrire » :

Vous arriverez sur cette page :

Pour créer votre compte, vous devrez alors remplir les informations demandées, c’est-à-dire donner votre adresse e-mail avec laquelle vous voulez créer votre compte et créer un mot de passe (d’au moins 6 caractères) que vous devrez écrire une deuxième fois pour le valider.

Après avoir rentré ces données, cliquez sur « S’inscrire » :

(L’adresse e-mail a été floutée, car c’est une donnée confidentielle. Normalement, la vôtre doit toujours apparaître sur votre écran.)

Après avoir cliqué, un message apparaîtra vous indiquant qu’un lien de confirmation a été envoyé à votre adresse e-mail.

Pour valider votre compte, vous devrez alors vous rendre dans votre boîte de réception et ouvrir l’e-mail :

(Si vous n’avez pas reçu l’e-mail, pensez à vérifier vos spams. Sinon, vous pouvez demander un nouveau lien de confirmation.)

Comme indiqué dans l’e-mail, cliquez sur le lien pour valider votre compte.

Vous arriverez donc sur une nouvelle page :

Vous pouvez alors remplir les informations demandées ou tout simplement cliquer sur « Sauvegarder » (ces informations sont facultatives) :

Vous arrivez donc sur cette page :

Étant déjà connecté(e), vous pouvez directement passer à la deuxième étape en cliquant ici.

Si vous possédez déjà un compte, cliquez sur « Se connecter » :

Après avoir cliqué, vous arriverez sur cette page :

Vous devez alors rentrer votre adresse e-mail et votre mot de passe, puis cliquer sur « Se connecter » :

(Si vous avez oublié votre mot de passe, vous pouvez cliquer sur « Mot de passe oublié » pour lancer la procédure de récupération de votre compte.)

Vous arrivez donc sur cette page si vous n’avez pas encore associé votre calculatrice :

Ou sur celle-ci, si vous avez déjà associé votre calculatrice au compte NumWorks :

Étant connecté(e), vous pouvez passer à la deuxième étape.

2ème étape : la connexion de la calculatrice :

Cette deuxième étape consistera à connecter votre calculatrice à votre ordinateur pour pouvoir ensuite l’associer à votre compte NumWorks.

Pour ceux qui ont déjà associé leur calculatrice à leur compte NumWorks, cliquez ici pour sauter les explications concernant l’ajout d’une calculatrice.

Sinon, si vous n’avez pas encore enregistré de calculatrice sur votre compte (ceux qui viennent de créer un compte ou ceux qui viennent de se connecter mais qui ne l’avaient jamais utilisé avant), vous arriverez donc, comme montré dans la première étape, sur la page ci-dessous.

Premièrement, cliquez sur « Mettre à jour mon appareil » :

Vous arriverez sur cette page :

Vous devrez ensuite cliquer sur « Mettre à jour » :

Après avoir cliqué, vous arriverez sur cette page :

Vous devez, comme c’est indiqué, brancher votre calculatrice à votre ordinateur avec de préférence le câble USB d’origine. Une fois le branchement effectué, cliquez sur « J’ai branché ma calculatrice » :

Vous arriverez sur cette page :

Vérifiez alors que la calculatrice affiche bien qu’elle est connectée, puis cliquez sur « J’ai vérifié que la calculatrice est connectée » :

(Si la calculatrice n’affiche rien, pensez à vérifier qu’elle est bien branchée, essayez de changer de port USB et de câble. Vous pouvez également éteindre puis rallumer la calculatrice puis essayer de la rebrancher.)

Vous êtes donc sur cette page :

Cliquez sur « Lancer la détection » :

Une nouvelle fenêtre apparaît :

Vous devez alors cliquer sur « NumWorks Calculator » puis sur « Connexion » :

Vous arrivez ensuite sur cette page :

Vous avez réussi à connecter votre calculatrice à votre ordinateur et à l’associer à votre compte NumWorks ! Vous pouvez à présent passer à la troisième étape en cliquant ici.

Si vous avez déjà associé votre calculatrice à votre compte NumWorks, vous avez dû arriver sur cette page à la fin de la première étape :

Vous devez donc cliquer sur « Mise à jour » :

Vous serez alors dirigés sur cette page :

Vous devrez ensuite cliquer sur « Mettre à jour » :

Après avoir cliqué, vous arriverez sur cette page :

Vous devez, comme c’est indiqué, brancher votre calculatrice à votre ordinateur avec de préférence le câble USB d’origine. Une fois le branchement effectué, cliquez sur « J’ai branché ma calculatrice » :

Vous arriverez sur cette page :

Vérifiez alors que la calculatrice affiche bien qu’elle est connectée, puis cliquez sur « J’ai vérifié que la calculatrice est connectée » :

(Si la calculatrice n’affiche rien, pensez à vérifier qu’elle est bien branchée, essayez de changer de port USB et de câble. Vous pouvez également éteindre puis rallumer la calculatrice puis essayer de la rebrancher.)

Vous arrivez ensuite sur cette page :

Vous avez réussi à connecter votre calculatrice à votre ordinateur ! Vous pouvez à présent passer à la troisième étape.

3ème étape : la mise à jour de la calculatrice :

Cette troisième et dernière étape vous permettra de mettre à jour votre calculatrice pour qu’elle soit prête à être utilisée dans les meilleures conditions possibles.

Tout d’abord, cliquez sur « Installer la mise à jour » :

Vous arriverez donc sur cette page :

(La barre orange montrant l’avancée de l’installation de la mise à jour sur votre calculatrice.)

Une fois l’installation terminée, cette page s’affichera :

Il ne vous reste plus qu’à débrancher la calculatrice, sélectionner votre langue et votre pays sur celle-ci et vous aurez fini la procédure de mise à jour !

Tutoriels

Gagner de l’argent grâce au cashback.

Vous voulez gagner de l’argent ? Ce tutoriel vous présentera les dessous d’un système de plus en plus tendance et attirant : le cashback. De nombreux logiciels proposent ce service, mais comment fonctionne-t-il ? Et comment en bénéficier ? Ce tutoriel répondra à toutes vos questions !

Information préambule

Les exemples de ce tutoriel seront en parti pris sur le site de cashback iGraal, étant donné qu’il est le premier site de cashback en France.

Trêve de blabla, bonne lecture !

Comment fonctionne le cashback ?

Les sites/applications de cashback négocient avec les grandes marques et vendeurs, qui seront leurs partenaires (ex: Amazon, Ali express, Cdiscount, Conforama, etc.) une commission sur les achats de tous les clients qu’ils leur envoient. Commission qui sera alors partagée avec le client, c’est ça, le cashback.

Ces sites nous poussent alors un peu à la consommation, mais la méthode reste néanmoins très attirante, et de plus assez réglo !

Par exemple :

Si je décide d’acheter mon tout nouveau téléphone en passant par un site de cashback, et non pas par le site du vendeur directement (ex : backmarket), je recevrai un pourcentage de ma facture sur mon compte de cashback, montant qui sera alors possible de retirer.

Y’a t-il des règles à tout ça ?

Eh bien oui !

Attention, si je veux récupérer ce montant, je dois d’abord attendre que ma cagnotte atteigne un certain montant, généralement autour de 15-20 €.

Ensuite, je ne peux pas garder mon compte inactif plus de 2 ans, cela veut dire que je dois acheter, car au dessus de cette date, la cagnotte est remise à zéro et supprimée, et le montant revient au site de cashback.

Quel sites/applications choisir ?

Plusieurs plateformes propose ce service :

  • iGraal
  • Poulpeo
  • eBuyclub
  • Swagbucks
  • Capital Koala

Mais alors comment choisir avec tous ces choix.

La première chose est de comparer. Chaque plateforme possède des pourcentages différents. C’est donc a l’utilisateur de faire le choix en fonction de lui.

Par exemple :

Je suis un grand acheteur chez Amazon, je vais alors comparer les pourcentages les plus avantageux. Si iGraal a le plus gros pourcentage, je me dirigerai plutôt vers cette plateforme.

Quels sont les avantages de choisir un bon site de cashback ?

  • Choisir un bon site de cashback vous permettra de profiter de plusieurs avantages. Un site de qualité vous offre un choix varié d’offres et de partenaires marchands, ce qui signifie que vous pouvez utiliser le cashback pour presque tous vos achats en ligne.
  • De plus, des taux de remboursement intéressants sont essentiels pour maximiser vos économies.
  • Un site de cashback de qualité sera également intuitif et rapide à utiliser, vous permettant d’économiser non seulement de l’argent, mais aussi du temps.
  • Un service client réactif et à l’écoute est également crucial, car il peut vous aider à résoudre les problèmes et répondre à vos questions.
  • Enfin, des options de paiement sûres sont importantes pour vous permettre d’accéder à vos gains de la manière qui vous convient le mieux.

Mais alors, comment comparer ?

Se rendre sur un des sites, par exemple iGraal (plus de 1800 partenaires), se connecter

chercher si le site est partenaire à iGraal, ici AliExpress.

Si AliExpress est bien partenaire, il faut alors trouver le pourcentage de cashback d’affiché.

La capture ci-dessus montre un cashback de 2,5%. Le site iGraal propose alors un cashback de 2,5% sur le site marchant AliExpress.

Comment bénéficier de la remise ?

Apres avoir créé votre compte, il suffit donc ensuite de sélectionner le code promo qui vous redirigera vers le site marchand (ici Amazon). Puis de réaliser vos achats. Le montant sera alors déposé dans la cagnotte iGraal.

J’ai pris exemple avec mon compte (capture ci-dessus), de ma cagnotte iGraal.

A noter que quand vous effectuer un achat et que vous récupérez l’argent sur votre cagnotte, l’argent sera en attente de validation, ici, mes 3€ sont en attente de validation.

Quoi de plus ?

Imaginons que je me rends sûr par exemple Zara faire mon achat, et zut ! Je me rends compte que je ne suis pas passé par iGraal ! Que faire pour y remédier ?

Les plateformes de cashback permettent d’installer une extension qui s’appliquera sur tous les sites partenaires a la plateforme, il suffit de l’installer puis le cashback s’activera automatiquement quand vous vous rendrez sur un site partenaire.

Voici comment faire,

Aller sur iGraal, créer son compte (à part si c’est déjà fait) et se rendre en bas de page,

Cliquer sur « Extensions iGraal »,

Puis « Ajouter à Chrome », et suivre les étapes de téléchargement.

Bravo ! Tout sera fini quand vous arriverez sur cette page, maintenant, plus qu’a se rendre sur un des sites partenaire (sans passer par iGraal) et le cashback sera activé automatiquement !

Et les moyens de paiements pour récupérer mon cashback ?

Vous vous demandez quels sont les moyens de paiement disponibles sur les sites de cashback ? Les sites modernes et qualitatifs proposent en général plusieurs types de paiements.

Ainsi, vous pourrez récupérer votre argent au travers d’un virement bancaire, en crédit Paypal, en chèques cadeaux, en bons d’achat…

Votre argent vous attendra tranquillement sur votre cagnotte personnelle puis à vous de décider de la façon dont vous souhaitez le récupérer.

Conclusion

En ayant suivi ce tutoriel à la lettre, vous devriez être paré à recevoir vos premiers euros de cashbback dès maintenant.

J’espère avoir répondu à vos nombreuses interrogations, car en effet, restant tout de même assez intuitif, se lancer dans le cashback demande une certaine réflexion.

Les arnaques sont rares, mais il est toujours important de vérifier le site sur lequel on se trouve, voici une liste de site de cashback très professionnels, variés et de qualités.

  • iGraal
  • Poulpeo
  • eBuyclub
  • Swagbucks
  • Capital Koala
  • Widilo
  • Joko
  • Keetiz
  • Aklamio
  • Bankybee

En espérant que cela vous a été utile !

Merci de votre lecture.

Tutoriels

Comment rendre Windows 10 esthétique

Si vous avez envie d’avoir un bureau agréable et a votre image ce tutoriel est fait pour vous! Vous allez voir dans ce tutoriel comment styliser votre bureau pour le rendre agréable et esthétique sous Windows 10.

Le sommaire:

  • Les prérequis
  • La différence entre un bureau avant le tutoriel et après le tutoriel
  • Le changement des couleurs
  • Modification des paramètres de la barre des taches
  • Les icones
  • Le fond d’écran
  • Conclusion

Les prérequis:

Pour ce tutoriel il faut donc avoir Windows 10 et pour cela il y a donc un configuration matérielle requise.

La configuration matérielle:

  • Processeur : 1 gigahertz (GHz) ou plus rapide.
  • Mémoire RAM : 1 gigaoctet (Go) (32 bits) ou 2 Go (64 bits)
  • Carte graphique : périphérique graphique Microsoft DirectX 9 avec pilote WDDM.

La différence entre un bureau avant le tutoriel et après le tutoriel:

Windows 10 : Microsoft relooke le Bureau de manière étonnante avec la News  Bar

Bureau classique

Après le tutoriel

1/ Le changement des couleurs

Se rendre dans les « Paramètres »

« Personnalisation »

« Couleurs »

« Choisissez votre couleur » puis choisir « Sombre »

Activé par la suite les « Effets de transparence »

Vous pouvez personnaliser une couleur pour que cette dernière aille au mieux avec votre fond d’écran.

Puis par la suite choisir les surfaces sur lesquelles la couleur va s’afficher.

2/ Modification des paramètres de la barre des taches

Effectuer un clic droit sur la barre des taches puis une fenêtre va s’afficher.

« Rechercher » puis « Masquée » va permettre d’enlever la barre de recherche.

« Barres d’outils » puis sélectionné seulement « Liens ».

Désélectionné les paramètre « Afficher le texte » et  » Afficher le titre ».

Désélectionné tout les paramètre d’affichage.

Déverrouiller la barre des taches puis des petits traits vont apparaitre a gauche et a droite de la barre des taches.

Sélectionné les deux traits de droite puis déplacez les complètement vers la gauche.

Maintenant que les onglets de la barre des taches ont changé de coté, sélectionné a présent les traits de droite puis ajustez selon vos choix ou vous voulez placez les onglets.

3/ Les icônes

Se rendre sur le site « Icones Logos. Gradient« . Ce site ne contient pas seulement des icônes de couleur bleu/violette mais un grand choix de couleur est disponible de plus on peut y trouver des icônes animés.

Rentrez dans la barre de recherche l’application de votre choix puis voir si elle est disponible. Cliquez sur l’icône de votre choix.

Cliquez sur « Télécharger » puis sélectionné « PNG » et « 512px »

Le téléchargement de l’icône va s’afficher.

Enfin faite un clic droit sur l’icône que vous  voulez changer puis  cliquez sur « propriété »

« Changer d’icônes »

« Parcourir »

Choisissez le fichier ou se trouve votre icône.

« OK »

Appuyer une nouvelle fois sur « OK »

L’ icône est changé. Reproduisez le même processus sur toutes les icônes que vous souhaiter.

Résultat.

4/ Le fond d’écran

Du coté des fonds d’écran un élève du lycée est très talentueux, c’est pour cela que je vous propose son Instagram pour le contacter et lui demander de vous en créer un a votre image avec les personnages et couleurs que vous souhaitez.

Son Instagram

Choix de structure:

  • Fond d’écran
  • PDP (photo de profil)
  • Bannière (Twitter, YouTube, Discord…)

Les différents thèmes possibles sont:

  • Films
  • Mangas
  • Animés
  • Sports

Exemples:

Les Films:
Les Animés:
Les Mangas:
Les Sports:

Conclusion:

Pour conclure, ce tutoriel vous a permis d’obtenir un bureau à votre image, ce qui est très important si vous passer beaucoup de temps sur votre ordinateur car il est toujours plus agréable de travailler ou passer du bon temps avec un bureau qui nous plaît.