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Optimiser son code python

Vous cherchez à rendre l’affichage d’une image plus rapide ? où simplement, vous trouvez votre code un peu long à se faire ? Ici, nous nous plongerons dans l’art de perfectionner nos codes pour en maximiser l’efficacité. Vous trouverez ici des moyens de mieux utiliser certaines bibliothèques ou des alternatives à celle-ci.

Teaser du tutoriel

Kandinsky

Vous avez peut-être déjà remarqué que Kandinsky, bibliothèque utile pour dessiner en python, est très lent sur ordinateur. Mais l’avez-vous bien paramétré ? Et êtes-vous satisfait de sa rapidité ? Regardons ensemble comment y remédier.

Comment bien utiliser Kandinsky

Tout d’abord, regardons comment vous avez et pourrez paramétrer l’émulateur de Kandinsky. Pour vérifier ça, ouvrez votre IDE, lancez votre script.

vous partez donc de cela :

Ensuite suivez, ces indications :

tout d’abord allez dans le menu « Options » :

D’ici, vous pouvez :

  • avec l’onglet « OS », choisir l’os utilisé.
  • avec l’onglet « Model », choisir une version de la calculatrice Numworks, ici émulé.
  • avec l’onglet « Zoom », choisir la taille de la fenêtre.

Ici pour accélérer notre script, nous utiliserons l’OS « PC ».

Et voilà, déjà, votre script va bien plus vite sur votre ordinateur. Il est important de savoir que ce n’affecte pas la vitesse du script sur la calculatrice, mais seulement ici sur votre ordinateur.

Pillow, Kandinsky en plus rapide (et plus encore)

Vous trouvez encore votre script lent à l’exécution ? Alors voici la bibliothèque PIL. Avant de commencer, il est important de rappeler que Pillow n’est pas disponible sur Numworks là où l’est Kandinsky.

Comparatif de vitesse entre Pillow et Kandinsky

Pour analyser la vitesse de mes deux options, je vais utiliser le script disponible sur le tuto ici qui génère un « Julia set », et je le modifie pour qu’il utilise Pillow plutôt que Kandinsky.

Afin de chronométrer le temps de génération, j’ai rajouté la bibliothèque Time :

#si le script utilise Pillow
from PIL import Image
#si le script utilise Kandinsky
#import Kandinsky
import time

def julia_PIL(N_iteration):
    start_time = time.time()  # Enregistrez le temps de début

    # création de la palette de couleurs
    palette = []
    xmax = 2
    xmin = -2
    ymax = 1.3875
    ymin = -1.387
    r = 255
    g = 255
    b = 255
    for j in range(0, 128):
        b = 255 - 2 * j
        palette.append((r, g, b))
    for j in range(128, 256):
        r = 255 - 2 * (j - 128)
        g = 255 - 2 * (j - 128)
        palette.append((r, g, b))

    # Création de l'image avec Pillow (rien a mettre si on utilise Kandinsky)
    img = Image.new('RGB', (320, 222))

    #generation de la fractale
    for x in range(320):
        for y in range(222):
            i = 0
            z = complex(xmin + (xmax - xmin) * x / 320 + (ymax - (ymax - ymin) * y / 222) * 1J)
            c = complex(0.36, 0.36)
            while i < N_iteration and abs(z) < 2:
                i = i + 1
                z = z * z + c
            couleur = palette[int(255 * i / N_iteration)]

            # Avec Pillow : Définir la couleur du pixel dans l'image aux coordonnées (x,y)
            img.putpixel((x, y), couleur)
            # Avec Kandinsky : même but que Pillow
            #col = color(couleur[0],couleur[1],couleur[2])
            #set_pixel(x,y,col)

    # Affichage de l'image (rien a mettre si on utilise Kandinsky)
    img.show()

    end_time = time.time()  # Enregistrez le temps de fin
    elapsed_time = end_time - start_time
    print("Temps d'exécution : ",elapsed_time," secondes")

Ici, le script utilisant Kandinsky prend 3,25 secondes, celui avec Pillow prend 4,40 secondes quand je génère une fractale avec 1000 itérations. Mais il est plus lent ?!! en fait non, car Pillow, avec son .show() (ligne 40), doit ouvrir une nouvelle fenêtre photo, ce qui prend longtemps. Si à la place, on enregistre l’image et qu’on ne l’affiche pas, le script prend 0,39 seconde à s’exécuter. On rajoute donc ceci à notre script au même endroit que .show().

img.save('Julia.png')

L’image générée est enregistrée dans le même répertoire que le script, sous le nom « Julia.png » (le nom est modifiable à souhait).

Utilisations

De mon côté, j’ai utilisé le script modifié grâce à Pillow. Ainsi, je peux générer des images a très grand format et j’ai donc réalisé ceci, un « Julia set » en 8k en 211,25 secondes (ce qui est impossible avec Kandinsky, car la bibliothèque est limitée en 320p par 222p) :

En outre, je peux l’utiliser par exemple pour faire un explorateur de fractale sur des images plus petites que de la 8k quand même.

Si vous avez besoin de plus d’information, voici la documentation complète de Pillow, ici.

NumPy

NumPy est une bibliothèque python très utile dans le calcul de tableaux ou de matrices pour accélérer ces calculs ou simplifier la lecture du code grâce à ses fonctions directement implémentée comme la multiplication matricielle. C’est une bibliothèque très utilisée par exemple pour :

  • Calcul Scientifique : NumPy est largement utilisé dans le domaine scientifique pour la modélisation mathématique, les simulations numériques et l’analyse de données.
  • Apprentissage Automatique : De nombreuses bibliothèques d’apprentissage automatique, comme scikit-learn, utilisent NumPy pour la manipulation des données et les opérations numériques.
  • Traitement des Images et du Son : NumPy est souvent utilisé dans le traitement des images et des signaux sonores en raison de ses capacités à travailler avec des tableaux multidimensionnels.
  • Analyse de Données : Les analystes de données et les scientifiques des données utilisent NumPy pour effectuer des opérations numériques efficaces sur de grands ensembles de données.

Pourquoi utiliser les tableaux de NumPy plutôt que de simples listes ?

Les listes normales en Python sont des structures de données de base qui peuvent contenir des éléments de types différents. Elles offrent une grande souplesse, mais peuvent être moins performantes pour les opérations numériques sur de grands ensembles de données. D’un autre côté, les tableaux de NumPy (ou array) sont des structures de données spécialisées pour les calculs numériques qui offrent des performances optimisées.

En outre, voici quelques exemples montrant les différences entre les deux :

  • Type d’Éléments :
    • Liste : Peut contenir des éléments de différents types (entiers, chaînes de caractères, etc.).
    • Array : Contient des éléments d’un type de données homogène. Les Array sont typés, ce qui signifie que tous les éléments doivent être du même type.
  • Performance :
    • Liste : Moins efficace pour les opérations numériques sur de grands ensembles de données en raison de sa flexibilité.
    • Array : Conçu pour les calculs numériques, offrant des opérations vectorielles efficaces et des performances optimisées.
  • Fonctions et Opérations :
    • Liste : Offre des fonctionnalités de base pour la manipulation de données, mais peut nécessiter des boucles explicites pour certaines opérations numériques.
    • Array : Fournit une vaste gamme de fonctions optimisées pour les opérations numériques, y compris des opérations vectorielles, des fonctions mathématiques et des fonctions de statistiques.
  • Taille Dynamique :
    • Liste : La taille d’une liste peut changer dynamiquement en ajoutant ou en supprimant des éléments.
    • Array : La taille d’un Array est fixée à la création. Pour ajouter ou supprimer des éléments, un nouveau tableau doit être créé.
  • Syntaxe :
    • Liste : Définie avec des crochets, par exemple, ma_liste = [1, 2, 3]
    • Array : Créé avec la fonction numpy.array(), par exemple, mon_tableau = numpy.array([1, 2, 3])

Démonstration

Imaginons que nous devons faire des calculs sur des éléments d’une liste d’integer :

liste = [i for i in range(10000000)]
resultat = []
for nb in liste :
    resultat.append(nb ** 2)

Ici, on élève chaque élément de notre liste au carré, ce script prend 3,42 seconde. Avec NumPy, on peut faire ceci :

import numpy as np

arr = np.array([i for i in range(10000000)])
# Applique une fonction pour élever chaque élément de la liste au carré
result = np.square(arr)

Ici, le script prend 1,15 seconde, NumPy est utile pour gérer des tableaux de valeurs très grandes et appliquer des règles de calculs sur ces tableaux. Les array sont un nouveau type d’objet qui correspondent aux listes et matrices.

Fonctions natives intéressantes

NumPy offre un grand nombre de fonctions qui pourront simplifier la lecture de votre code et l’accélérer :

  • Produits de tous les éléments :
import numpy as np

liste = [1, 2, 3, 4, 5]

produit = np.prod(liste)
# renvoie donc avec un print ou un return 120
  • moyenne et écart-type :
import numpy as np

liste = [1, 2, 3, 4, 5]

moyenne = np.mean(liste)
# renvoie donc avec un print ou un return 3.0
ecart_type = np.std(liste)
# renvoie donc avec un print ou un return 1.4142135623730951
  • Chercher des éléments suivants une condition et liste des éléments unique de la liste
import numpy as np

#va renvoyer tous les éléments du tableau supérieur à 2 dans une nouvelle liste
liste_sat = [1, 2, 3, 4, 5]
elements_satisfaisants = np.extract(np.array(liste_sat) > 2, liste_sat)
# renvoie donc avec un print ou un return [3 4 5]

#va renvoyer tous les éléments uniques du tableau et leur nombre d'apparitions dans une nouvelle liste
liste_uni = [1, 2, 2, 3, 4, 4, 5]
elements_uniques, comptages = np.unique(liste_uni, return_counts=True)
# renvoie donc avec un print ou un return [1 2 3 4 5] [1 2 1 2 1]

Si vous avez besoin de plus d’information, voici la documentation complète de NumPy, ici.

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Comment installer et utiliser MicroPython sur un ESP32

Dans le premier projet de l’année, nous avons eu la possibilité d’utiliser un ESP32. Cependant, il fallait que cet ESP32 utilise MicroPython pour que le projet soit valable. Nous verrons donc comment installer et utiliser MicroPython sur un ESP32.

Installation de MicroPython

Avant toute chose, il faut télécharger plusieurs fichiers :

  • Le logiciel qui va permettre de flasher ESP32. Le terme flasher correspond à mettre à jour, modifier le micrologiciel d’un appareil
  • Et le micrologiciel qui va être flashé dans l’ESP32
  • Un logiciel pour décompresser les fichiers

Pour cela il vous faut accéder à ce lien qui renvoie vers le site Github et c’est là où vous trouverez le micrologiciel.

Une fois sur cette page, il vous faut cliquer sur le bouton Code puis sur Download ZIP pour télécharger le micrologiciel en format compressé.

Il faut également télécharger le logiciel qui va permettre de flasher l’ESP32. Il vous faut donc accéder à ce lien pour le télécharger.

Pour avoir la bonne version du logiciel qui est compatible avec notre ESP32, il faut trier à gauche par ESP32-S3 :

La page va s’actualiser et vous n’aurez qu’à cliquer sur le bouton Download à côté de Flash Download Tools.

Vous avez donc téléchargé les deux fichiers nécessaires. Cependant il vous faut les décompresser. Pour cela il vous faut un logiciel pour décompresser comme 7zip.

Vous vous retrouverez donc avec deux dossiers comme ceci :

À partir de maintenant il faut que votre ESP32 soit connecté en USB à votre ordinateur.

Nous allons maintenant installer le nouveau micrologiciel dans votre ESP32, pour cela, dans le dossier flash_download_tool_3.9.5 exécutez le fichier flash_download_tool_3.9.5.exe.

Un invite de commande et une petite fenêtre s’ouvre. Nous allons nous intéresser à la petite fenêtre :

Il faut paramétrer la fenêtre selon votre ESP32, dans mon cas il s’agit d’un ESP32-S3 je sélectionne donc ESP32-S3 dans le ChipType et dans LoadMode il faut mettre USB comme l’ESP32est connecté en USB sur l’ordinateur.

Appuyez sur OK.

Dans cette fenêtre il faut cocher la première case et dans la même ligne cliquer sur les 3 points afin de sélectionner le nouveau micrologiciel. Le micrologiciel se trouve dans l’autre dossier st7789s3_mpy-main et dans le sous dossier firmware et il s’agit du fichier firmware.bin . Et à droite du @ il faut mettre un 0. Vous pouvez savoir si vous avez fait une erreur si une des cases est en rouge si par exemple le chemin vers le fichier est mauvais ou si le numéro n’est pas valide. Vous devriez avoir plus ou moins ceci :

Par la suite en bas à droite dans la catégorie COM il faut choisir le port correspondant à celui de votre ESP32. Si vous ne le connaissez pas il vous faut ouvrir le gestionnaire de périphériques, pour ce faire, appuyez sur le bouton Windows + r et écrivez devmgmt.msc pour ouvrir la fenêtre. Et dans la catégorie Port, il faut trouver le Périphérique série USB

Dans mon cas il s’agit du COM5 donc je renseigne le COM5 dans l’application et dans la catégorie BAUD il faut mettre à 9216000.

Vous devriez avoir la même chose sauf peut-être pour le COM et dans ce cas là avant d’appuyer sur START il faut mettre l’ESP32 en mode téléchargement, pour ça il faut appuyer en même temps sur le bouton de reset sur le côté et celui de boot, qui est le plus proche du bouton de reset, en commençant par appuyer sur le bouton reset. Après cela vous pouvez appuyer sur START et le téléchargement commencera.

Utilisation de MicroPython

Après avoir installé votre version de MicroPython vous avez probablement envie de l’utiliser. Et pour cela il vous faut un IDE comme Thonny mais il ne suffit pas de juste le démarrer, il faut configurer votre ESP32 dessus.

Pour configurer votre interpréteur afin d’utiliser l’ESP32 et non l’ordinateur il faut cliquer en bas à droite sur Python 3 local, qui correspond à votre python installé sur votre ordinateur. Cliquez ensuite sur Configurer l’interpréteur.

Dans le type d’interpréteur, il faut choisir MicroPython (ESP32) comme il s’agit d’un ESP32sous MicroPython. un nouveau paramètre apparait, il s’agit du port de l’ESP32 et il s’agit du même que sur le logiciel d’installation du micrologiciel sauf si vous avez changer de port l’ESP32. Vous devriez donc vous retrouver avec ceci :

Cliquez sur OK, la fenêtre va se fermer et retourner sur l’interface normal avec quelques changements sur ce qui est écrit dans la console et aussi en bas à droite dans l’interpréteur.

Vous pouvez taper help() pour avoir quelques informations mais vous y trouverez principalement de la documentation générique qui ne correspond pas forcément à l’ESP32, pour avoir quelque chose de plus détaillé, vous pouvez retourner sur le Github de la version du firmware, c’est en anglais mais vous aurez la documentation qui correspond le mieux à l’ESP32.

Conseils

Je vous conseille d’afficher les fichiers de l’ESP32, pour ça en haut dans affichage il faut cliquer sur Fichiers.

Cette fenêtre permet d’accéder aux fichiers présents sur l’ESP32, de les supprimer, de les télécharger ou de téléverser des fichiers de votre ordinateur vers l’ESP32.

Vous remarquerez deux fichiers importants : boot.py et main.py. Ces fichiers sont importants car ce sont des fichiers qui vont être exécutés automatiquement par l’ESP32 dès qu’il sera alimenté, dans ce cas, boot.py sera exécuté puis main.py dès que l’exécution de boot.py est terminée. Dans l’image ci-dessus les fichiers correspondent aux fichiers de ma Station Météo sur ESP32, le fichier boot est vide mais tout le code est contenu dans main.py, sachant que les autres fichiers sont soit des modules supplémentaires ou des images qui sont utilisés dans le code principal.

Également dans le dossier contenant le firmware soit st7789s3_mpy-main il y a un dossier exemples qui contient quelques exemples qui peuvent être utiles pour comprendre le fonctionnement des différentes fonctions et méthodes. Cela passe de l’affichage de l’heure, à de l’écriture, ou un jeu. Il y a aussi deux fichiers importants qui sont tft_buttons.py et tft_config.py qui sont les deux modules permettant de s’occuper de l’écran et des boutons et qui doivent donc être en tout temps dans l’ESP32.

Conclusion

Pour conclure, j’espère que ce tutoriel vous sera utile afin de comprendre le fonctionnement de MicroPython sur ESP32 et vous donnera envie d’en savoir plus sur ces derniers.

Tutoriels

Comment installer Pip sur Mac ?

Les jeunes, dont moi, préfèrent les Mac d’Apple pour leur esthétique et l’écosystème intégré, en particulier la stabilité de macOS, idéale pour la programmation. Cependant, certains novices éprouvent des difficultés. Fort de mon expérience, je propose un tutoriel sur les bases de Python, mettant l’accent sur l’installation de Pip sur Mac. Découvrons ensemble comment installer Pip sur ce système ?

Etape 0 : Une claire compréhension de ce que l’on tente d’installer

« Pip » est l’acronyme du « Pip Installs Packages » (Pip Installe des Paquets). C’est une commande en ligne qui simplifie le processus d’installation, de mise à jour et de désinstallation de packages Python depuis le Python Package Index (PyPI). PyPI est un dépôt qui héberge un grand nombre de packages Python développés par la communauté.

Par exemple, pour installer une bibliothèque Python à l’aide de pip, vous pouvez exécuter la commande suivante dans le terminal ou l’invite de commande :

pip install nom_du_paquet

Etape 1 : Téléchargement de PIP.

Pour commencer nous allons lancer notre moteur de recherche safari vue que nous sommes sur Mac.

Puis nous partirons sur le moteur de recherche suivant google en marquant sur notre barre de Recherche google.com.

Nous arrivons donc sur google (vous en faite du chemin dit donc !!!).

Une fois sur notre cher moteur de recherche, nous saisirons « télécharger pip Python » dans la barre de recherche pour accéder à un site sécurisé permettant donc comme convenu l’installation de pip.

Une fois que nous appuyons sur « Entrée », nous atteignons l’endroit souhaité. À partir de ce moment, il est crucial d’être minutieux et de suivre scrupuleusement mes instructions. Donc, une fois arrivés, effectuez un double-clic sur le premier lien ou celui que j’aurai encadré et pointe.

Ce lien nous guide vers la page suivante, simplifiant ainsi notre navigation. En double-cliquant sur « Téléchargement des fichiers », on sera re-directe vers la page suivante.

Double clique sur les premiers liens « Distribution des sources » qui va lancer le téléchargement du programme.

Suite au téléchargement du programme, effectuez un double-clic sur le fichier afin de confirmer son installation.

Mes félicitations ! Vous avez accompli avec brio l’installation de Pip sur le disque dur, marquant ainsi une étape cruciale dans l’amélioration de votre configuration informatique.

Pip a bien été installé sur le disque dur.

Etape 2: Installation de Pip.

Initiez le lancement de Thonny, puis, dans le menu « Outils », procédez à la sélection de l’option « Ouvrir la console du système… » avant d’effectuer un double-clic pour accéder à cette fonctionnalité cruciale.

Nous voilà désormais en présence du Terminal, prêt à être utilisé avec enthousiasme !

Copie le code fourni ci-dessous avec précaution dans la console de ton Mac. Ensuite, presse la touche « Entrée » pour déclencher le processus d’installation de Pip, améliorant ainsi les capacités de ton système de manière significative.

Le code en question:

python3 -m pip install --upgrade pip

Apres avoir copié soigneusement le code mentionné ci-dessous dans la console de ton Mac. Puis, une fois cette étape accomplie, confirme en appuyant sur la touche « Entrée », déclenchant ainsi l’installation de Pip, et observe avec satisfaction l’apparition d’un message de confirmation pour attester du succès de cette opération.

Bonus

Bravo ! Vous avez brillamment suivi les étapes d’installation de pip sur votre Mac, démontrant ainsi votre détermination et votre habileté à maîtriser ces processus techniques. Soyez fiers de cette réalisation, car elle témoigne de votre capacité à surmonter des défis informatiques. Votre réussite dans cette tâche essentielle ouvre la voie à de nouvelles opportunités passionnantes dans le monde de la programmation. Continuez sur cette lancée, et rappelez-vous que chaque victoire, aussi petite soit-elle, contribue à votre progression. Vous avez toutes les raisons d’être fiers de vos compétences nouvellement acquises !

Projets

Un météorologue personnel en briquette !

Qui n’a jamais rêvé d’avoir un robot en LEGO qui lui annonce la météo ? Et bien même si ce n’est pas le cas, nous l’avons fait pour vous ! Venez découvrir un robot capable de comprendre son environnement pour vous donner la météo.

Fonctionnalités du robot

Notre robot au doux nom de ROBKEY est capable de :

  • déplacer ses bras et son bassin ;
  • reconnaitre l’endroit où il se trouve pour donner précisément la météo ;
  • afficher l’heure, la météo et la température ambiante ;
  • d’avoir quelques réactions faciales ;
  • et bien plus.

La conception du robot

Pour concevoir notre robot, nous avons dû prendre en compte plusieurs choses. Tout d’abord, les moteurs n’ont pas été particulièrement dur à installer car il ne font que la moitié de la taille de l’esp 32. Il nous a donc paru évident de mettre les moteurs des bras dans le torse du robot et le moteur du bassin dans le châssis de ses chenilles.

Ensuite il a fallu installer planche de test qui a eu plusieurs positions possibles. Premièrement dans son dos car cela aurait permis de pouvoir faire tourner le bassin du robot à 360°, mais les câbles auraient difficilement bien tenu à l’esp 32 et au robot lui-même. Nous nous sommes finalement entendu à l’idée de mettre la planche sur la batterie des chenilles bien que cela empêche le robot de faire des tours sur lui même.

Maintenant, le plus important : le placement de l’ESP32. Nous avions deux idées, l’une le plaçait dans le torse du robot, l’autre faisait en sorte qu’il soit la tête légèrement rentrée dans les épaules. Nous avons opté pour la seconde option car celle-ci nous permet d’afficher un petit visage sur l’écran du microcontrôleur.

Pour conceptualiser l’apparence de notre robot, nous avons donc réalisé un schéma en 3D très simple sur Paint 3D en regroupant nos idées pour imaginer ce à quoi il ressemblera.

Construction de la structure du robot

Pour construire le robot, j’ai (Sylvain) commencé par regarder les constructions Lego que j’avais précédemment réalisées et qui pouvaient être détruite pour commencer à récupérer leurs pièces. Avec toutes ses matières premières je me suis laissé porter par mon imagination pour construire le LEGO le plus ressemblant à un robot en essayant de faire en sorte qu’il soit plutôt résistant (bon d’accord j’ai peut-être failli à cette tâche).

C’est grâce aux joies de la maladie que j’ai pu entamer la construction. Pour commencer, j’ai récupéré le châssis d’une autochenille radiocommandée en la modifiant pour la rendre plus compacte et en laissant un espace pour le moteur du bassin.

Ensuite j’ai commencé à faire ledit bassin, que j’élargis à la fin de la construction car je l’avais fait trop fin. Suivi du torse, le plus simple car il devait être creux pour laisser la places aux câbles et aux moteurs. Il fallait aussi préparer les trous pour les axes des bras.

Après j’ai fait les bras qui sont vraiment très simplistes mais à ce moment je commençais sérieusement à manquer de pièces plus techniques et même des plus simples pour faire quelque chose de plus sympathique. Mais quoi qu’il en est l’un des deux bras représente un soleil pour quand il fait beau, tandis que l’autre représente un ciel nuageux.

Pour finir j’ai réalisé la cage de la planche de test et solidifié les éléments les moins solides et résolu les quelques problèmes mécaniques rencontrés lors des premiers tests des moteurs.

L’électronique du robot

En parallèle de la construction du LEGO, je (Thomas) me suis lancé dans la conception électronique de celui-ci.

Pour cela, j’ai d’abord listé tout ce que je voulais intégrer à l’électronique :

  • 2 boutons,
  • 1 capteur de température,
  • 3 moteurs.

Pour m’aider dans la réalisation électronique, je me suis aidé de tous ces sites :

Allez c’est parti !

On commence par le branchement des boutons :

Les câbles blancs (entourés en rouge) récupèrent l’information de la pression du bouton et les câbles noirs (entourés en vert) s’occupe de fermer le circuit (de l’électricité passent dans le bouton, et il faut que l’électricité puisse faire une boucle). Si vous voulez, les boutons reçoivent de l’énergie par les câbles blancs et l’expulsent par les câbles noirs.

Concernant le branchement du capteur :

A droite à quoi ressemble le capteur de température de face et à gauche son branchement. La câble de gauche, en blanc récupère les mesures du capteur, celui du milieu en marron, alimente positivement le capteur (le capteur reçoit de l’énergie par ce câble) et le câble noir à droite du câble marron lui ferme la boucle (le capteur expulse l’énergie par ce câble.)

Et pour finir, les moteurs ont 3 câbles :

Le câble orange sert à contrôler le moteur, le rouge à l’alimenter et le marron à fermer la boucle. On refait ça 3 fois puisqu’on a 3 moteurs.

On branche tout ceci à la planche de test puis à l’ESP32, et voilà montage terminé :

Programmation du robot

Maintenant que le robot est construit et le montage électronique assemblé, il faut passer à la programmation de l’ESP32. Veuillez noter que depuis l’écriture de ce qui suit, le code a bénéficié de quelques mises à jours. Vous retrouverez l’archive en fin d’article avec les fichiers à jours.

Tout d’abord, il faut coder les briques de bases, qui vont nous permettre de manipuler différents outils, capteurs, actionneurs, api, etc.

  • C’est pour cela que nous créons un fichier buttons.py qui contient une classe Button dans laquelle nous initialisons 4 boutons : les 2 du microcontrôleur et les deux boutons ajoutés. Dans cette classe, vous verrez que chaque boutons a des caractéristiques supplémentaires. En effet il est possible de rendre un bouton poussoir équivalent à un levier. Nous créons différentes fonctions pour récupérer ou modifier des informations en rapport avec les boutons.
from machine import Pin
from time import sleep

# Importer les modules est inutile car ils sont déjà importés dans boot.py

class Buttons():
    def __init__(self):
        #self.name = "t-display-s3"
        
        # NomDuBouton : [                    PinUtilisé                     ,    mode    , value ]
        #      1      : [ Pin 3 en mode INPUT avec une résistance Pull-Down ,   levier   ,   0   ]
        # 1 : [ Pin(3, mode=Pin.IN, pull=Pin.PULL_DOWN), 1, 0 ]
        
        # Note : le chiffre de value dans la liste n'est pas pris en compte si le bouton est en mode "poussoir" -> On ne peut pas mettre None car si on décide de changer le mode du bouton, la valeur devient importante.
        
        
        # Pour une raison inconnue, "left" et "right" ne fonctionne plus.
        self.list_button = {"left" : [Pin(0, Pin.IN, Pin.PULL_UP),0,1],
                            "right" : [Pin(14, Pin.IN, Pin.PULL_UP),0,1],
                            1 : [Pin(2, mode=Pin.IN, pull=Pin.PULL_UP),0,1],
                            2 : [Pin(3, Pin.IN, Pin.PULL_UP),0,1]
                            }


    def getButton(self, button):
        return self.list_button[button]
    
    def setButton(self, button, pin, mode, value=None): # Le set fait également add.
        self.list_button[button] = [pin,mode,value]

    def setMode(self, button, val:bool): # Ce mode change le mode du bouton -> soit "levier" soit "poussoir"
        if isinstance(val, bool) or val in (0,1):
            self.list_button[button][1] = val
            if not(val):
                self.list_button[button][2] = 1
            return print("Mode définie sur : " + str(self.list_button[button][1]))
        else:
            raise ValueError("val must be a boolean or a integer included between 0 and 1.")
    
    def setValue(self, button, value):
        if self.list_button[button][1]:
            self.list_button[button][2] = value
            return print("Valeur définie sur : " + str(self.list_button[button][2])) 
        else:
            print("Button must be a toogle button, not a push button.")
            return False
    
    def getValue(self, button): # Renvoie la valeur du bouton
        if not(self.list_button[button][1]): # Si le statut de mode_toogle est égal à 0 <=> Si le bouton est en mode "poussoir" et non "levier"
            return self.list_button[button][0].value()
        else:
            if not(self.list_button[button][0].value()):
                self.list_button[button][2] = 0 if self.list_button[button][2] else 1
                sleep(0.25)
            return self.list_button[button][2]
    
    def isButtonPressed(self,button): # Renvoie True si le bouton est pressé (donc si value = 0) et False sinon
        return not(self.getValue(button))
  • Continuons avec le fichier temperature.py dans lequel nous avons une simple fonction qui nous renvoie les données récupérées par le capteur de température et d’humidité.
from time import sleep  #Inutile car importé dans boot.py

def getTemperatureAndHumidity(capteur): # Capteur doit etre sous cette forme : capteur = dht.DHT11(Pin(17)) -> Ne pas oublier d'importer le module dht
    try:
        capteur.measure() # Met à jour les données de températures et d'humidités
        sleep(1)
        return (capteur.temperature(),capteur.humidity())
    except:
        print("Valeurs non récupérées")
        return False
  • Egalement, à l’aide des fichiers motor.py et servo.py (trouvé sur internet), nous créons des fonctions qui réaliseront des déplacements particuliers :
from servo import Servo
import time

motor=Servo(pin=12) # A changer selon la broche utilisée
motorbd=Servo(pin=10)
motorbg=Servo(pin=11)
 
def droit(t=1):
    motor.move(285)
    time.sleep(t)

def bassin(t=2):
    motor.move(265)
    time.sleep(t)
    motor.move(305)
    time.sleep(t)

def baissebg(t=0.5):
    motorbg.move(335)
    time.sleep(t)
    
def levebg(t=0.5):
    motorbg.move(270)
    time.sleep(t)

def baissebd(t=0.5):
    motorbd.move(335)
    time.sleep(t)
    
def levebd(t=0.5):
    motorbd.move(270)
    time.sleep(t)
    
droit()
  • Pour finir, à l’aide du fichier connection.py, nous créons plusieurs fonctions en rapport avec la partie sans-fil de l’ESP32.
import network
import st7789 #En théorie inutile car déjà importé dans boot.py
from time import sleep

def connect_to_wifi(display, font, ssid, mdp):
    wlan = network.WLAN(network.STA_IF)
    wlan.active(True)
    if not wlan.isconnected():
        display.init()
        display.draw(font,"Connexion a un point",0,111)
        display.draw(font,"d'acces en cours",15,126)
        wlan.connect(ssid,mdp)
        while not wlan.isconnected():
            pass
    display.fill_rect(0,107,170,25,st7789.BLACK)
    display.draw(font,'Connecte !',40,111)
    sleep(0.8)
    display.fill_rect(0,107,170,10,st7789.BLACK)
    display.deinit()

def search_wlan():
    station = network.WLAN(network.STA_IF)
    station.active(True)
    return station.scan()

Passons aux modules qui vont utiliser des apis :

  • En premier lieu, nous avons le fichier geoloc.py dans lequel nous utilisons l’api de google qui à l’aide des réseaux wifi aux alentours est capable de situer l’ESP32. Dans ce fichier est présent une fonction qui récupère les coordonnées géographiques de l’ESP32.
from modules.connection import search_wlan
import ustruct as struct
import urequests as requests
import ujson as json
import modules.api_txt as api_txt


def getLocation(api_key): # Avec Google maps API + sécurité sur le nombre de requête.    
    
    if int(api_txt.get_api_counter()[0]) > 24000:
        print("Quota de demande dépassé !!! Vous ne pouvez pas faire de requête...")
        return False
    
    list_wlan = search_wlan()
    data = {
        "considerIp": False,
        "wifiAccessPoints": []
    }

    for wifi in list_wlan:
        entry = {
            "macAddress": "%02x:%02x:%02x:%02x:%02x:%02x" % struct.unpack("BBBBBB", wifi[1]),
            "signalStrength": wifi[3],
            "channel": wifi[2]
        }
        data["wifiAccessPoints"].append(entry)
    
    headers = {"Content-Type": "application/json"}
    url = "https://www.googleapis.com/geolocation/v1/geolocate?key=" + api_key
    response = requests.post(url, headers=headers, data=json.dumps(data))

    api_txt.add_api_counter(0)

    return json.loads(response.content)["location"]
  • En second et dernier lieu, il reste le fichier meteo.py qui va être capable d’utiliser une api de météorologie pour récupérer, analyser et mettre en forme des données en rapport avec la météo.
import urequests
import modules.api_txt as api_txt

def get_meteo(latitude, longitude): # Sur la prochaine heure
    
    if int(api_txt.get_api_counter()[1]) > 10000:
        print("Quota de demande dépassé !!! Vous ne pouvez pas faire de requête...")
        return False
    
    url = "https://api.open-meteo.com/v1/forecast?latitude={0}&longitude={1}&current=temperature_2m,precipitation&daily=temperature_2m_max,temperature_2m_min,precipitation_sum&timezone=auto&forecast_days=3".format(latitude,longitude)
    json_meteo = urequests.get(url).json()
    
    api_txt.add_api_counter(1)
    
    return {"current":
            {"temperature":
             [
                 json_meteo["current"]["temperature_2m"],
                 json_meteo["current_units"]["temperature_2m"]
                 ],
             "precipitation":
             [
                 json_meteo["current"]["precipitation"],
                 json_meteo["current_units"]["precipitation"]
                 ]
             },
            "demain":
            {"temperature": [round((json_meteo["daily"]["temperature_2m_min"][1] + json_meteo["daily"]["temperature_2m_max"][1]) / 2, 1), json_meteo["daily_units"]["temperature_2m_min"]],
             "precipitation":
             [
                 json_meteo["daily"]["precipitation_sum"][1],
                 json_meteo["daily_units"]["precipitation_sum"]
                 ]
             },
            "apres-demain":
            {"temperature": [round((json_meteo["daily"]["temperature_2m_min"][2] + json_meteo["daily"]["temperature_2m_max"][2]) / 2, 1), json_meteo["daily_units"]["temperature_2m_min"]],
             "precipitation":[
                 json_meteo["daily"]["precipitation_sum"][2],
                 json_meteo["daily_units"]["precipitation_sum"]
                 ]
             }
            }

Passons à la gestion graphique, nous avons récupérer le module tft_config.py fournit par les développeurs du pilotes graphiques pour l’esp32. Celui-ci permet de créer facilement une gestion de l’écran avec les bonnes caractéristiques. Nous n’afficherons pas le code ici, car ce n’est pas nous qui l’avons codé. Vous pouvez le retrouver dans l’archive à la fin de cet article ou ici.

Nous avons créé le fichier affichage.py qui contient un certain nombre de fonctions pour réaliser le rendu graphique pour l’ESP32. Il contient également le code qui récupère des images pour les animations du visage et des icones. Ces dessins et animations ont été réalisé par Ilana, ancienne première NSI.

import st7789
from time import sleep, localtime
import modules.motor as motor

last_temps = -1

def display_time(display,font,x,y):
    global last_temps
    temps = localtime()
    if last_temps < temps[5]:
        display.png("/images/icones/horloge.png",x,y,True)
        display.fill_rect(x+30,y+5,60+6,10,st7789.BLACK)
        display.draw(font, str(temps[3]) + ":" + str(temps[4]) + ":" + str(temps[5]),x+30,y+10)
    last_temps = temps[5]

def display_meteo(display,font,infos_meteo, x, y):
    display.draw(font,str(infos_meteo["temperature"][0]),x,y)
    display.draw(font, font.LAST,x + display.draw_len(font,str(infos_meteo["temperature"][0])), y)
    display.draw(font, " C",x + display.draw_len(font,str(infos_meteo["temperature"][0])), y)
    
    display.draw(font,str(infos_meteo["precipitation"][0]),x+80,y)
    display.draw(font,str(infos_meteo["precipitation"][1]),x + 80 + display.draw_len(font,str(infos_meteo["precipitation"][0])),y)

def display_temperature(display,font,infos_temperature,x,y):
    display.fill_rect(x,y,70,20,st7789.BLACK)
    display.png("/images/icones/temperature.png",x,y,True)
    display.draw(font,str(infos_temperature) + " C",x+30,y+9)
    display.draw(font,font.LAST,x+30+display.draw_len(font,str(infos_temperature)), + y+9)    
    
def meteo_icon(display,icone,x,y):
    display.fill_rect(x,y,50,50,st7789.BLACK)
    if icone == "pluie":
        display.png("/images/icones/mauvais_temps.png",x,y,True) #Nuage pluie gris pas content
    else:
        display.png("/images/icones/beau_temps.png",x,y,True) # Soleil content
        

def meteo_widget(display,font,infos_meteo,x,y):
    display.fill_rect(x,y,170,200,st7789.BLACK)
    
    
    display.draw(font, "Auj.",x,y)
    display_meteo(display,font,infos_meteo["current"],x, y+20) #x,y+20)
    
    display.draw(font, "Dem.", x, y+40) #x+50, y)
    display_meteo(display,font,infos_meteo["demain"], x, y+60) #x+50,y+20)
    
    display.draw(font, "Apr-Dem.", x, y+80) #x+90, y)
    display_meteo(display,font,infos_meteo["apres-demain"], x, y+100) #x+90,y+20)

def main_menu(display,font,infos_temp,infos_meteo):
    display_time(display,font, 10, 111) # x = 52 pour un semblant de centrage
    display_temperature(display,font,infos_temp,10,151)
    
    if infos_meteo["current"]["precipitation"][0] > 0:
        icone = "pluie"
        motor.baissebg()
        motor.levebd()
    else:
        icone = "soleil"
        motor.baissebd()
        motor.levebg()
    
    meteo_widget(display,font,infos_meteo,10,191)
    meteo_icon(display,icone,110,111)

def animation(display,name:str,iteration:int,i_fixe:int): # list_anim : {"content":(2,1),"endormi":(4,1),"somnole":(3,1),"observe":(0,0),"monocle":(2,1)}
    display.fill_rect(0,0,170,105,st7789.BLACK)
    for i in range(2,iteration+1):
        display.png("/images/" + name + "/" + name + str(i) + ".png",0,0)
        if name == "endormi":
            sleep(0.3)
    for i in range(iteration,0,-1):
        display.png("/images/" + name + "/" + name + str(i) + ".png",0,0)
        if name == "endormi":
            sleep(0.3)
    display.png("/images/" + name + "/" + name + str(i_fixe) + ".png",0,0)
    

Pour finir nous avons le fichier api_txt.py qui s’occupe de gérer des fichiers de textes importants pour le fonctionnement du programme, présents dans le dossier data.

"""
api[0] => Google Maps API
api[1] => Météo API
"""

def get_api_counter():
    fichier_r = open("data/counter-api.txt",'r')
    liste = fichier_r.read().split(",")
    fichier_r.close()
    return liste

def add_api_counter(indice_api): # ne fonctionne qu'avec deux apis
    fichier_w = open("data/counter-api.txt",'w')
    val = get_api_counter()
    val[indice_api] = int(val[indice_api]) + 1
    
    fichier_w.write(str(val[0]) + "," + str(val[1]))
    fichier_w.close()

def set_api_counter(indice_api,value): # ne fonctionne qu'avec deux apis
    fichier_w = open("data/counter-api.txt",'w')
    api_value = get_api_counter()
    api_value[indice_api] = str(value)
    fichier_w.write(api_value[0] + "," + api_value[1])
    fichier_w.close()

Maintenant que toutes nos briques sont construites, il ne reste qu’à écrire le fichier python principal qui va organiser tout le programme tel un chef d’orchestre.

Assemblage final

Maintenant, il faut simplement assembler notre montage électronique à notre construction LEGO. Puis à brancher notre ESP32 à un câble, lui injecter le code, et tout en le gardant brancher, le lancer, et la magie opère !

Fichiers

Veuillez noter que vous devrez ajouter votre propre clé api Google Maps API pour que la position soit mise à jour (dans boot.py à la ligne 21). Sinon vous pouvez changer manuellement la position dans le fichier old-location.txt se trouvant dans le dossier data. Veuillez respecter l’ordre suivant et ne surtout rien ajouter d’autre dans le fichier, pas même un espace :

latitude,longitude

Vous devrez également ajouter vos propres informations pour un point d’accès dans le fichier boot.py au niveau de la ligne 19 : wlan_info = ("SSID","MDP")
Le projet ne fonctionne pas sans une connexion à internet !!

Art

La Citrouille et la Tortue

Pour notre premier projet en classe de 1ère NSI, nous nous sommes basées sur le thème d’halloween.
Ici vous trouverez nos démarches pour créer cette image de style pop. Notre image est composée de quatre parties comportant chacune un fond et une citrouille de couleur différente.

Vidéo de présentation du projet :

Le projet :

Ce projet consiste à créer de l’art génératif grâce à un script python qui doit principalement utiliser des fonctions. Pour le réaliser, nous avons utilisé le module turtle pour tracer l’image et la fonction randint du module random pour pouvoir transformer notre image (.py) en png. Le thème de l’image générée était libre, elle pouvait même être abstraite !

Le processus de création :

Durant ce projet, nous sommes passées par plusieurs étapes pour concevoir l’image et répondre aux attendus.

Nous avons tout d’abord dû trouver une idée de l’image que l’on voulait créer. Pour cela, nous nous sommes inspirées de l’artiste américain Andy Warhol et de ses oeuvres comme « Shot Marilyns » et nous avons transposé son style dans le thème d’Halloween.

Après avoir dessiné un croquis à la main, nous avons créé le script d’une citrouille puis nous l’avons transformé en plusieurs fonctions pour pouvoir la reproduire en quatre exemplaires. Nous avons fait de même pour les rectangles.

Contrairement aux citrouilles et aux rectangles, nous avons tout de suite codé les lettres en tant que fonctions ce qui nous a permis d’aller plus vite dans la conception de l’image.

Enfin, nous avons dû organiser notre script rigoureusement pour que la tortue trace les éléments dans le bon ordre pour un rendu propre et travaillé.

Le code expliqué étape par étape :

Pour concevoir cette image, nous avons agi étape par étape. Nous avons donc relevé les différentes parties du code qui ont permis de tracer l’image. (Nous ne montrerons pas la mise en place des modules et comment nous avons généré des images automatiquement. Pour cela, vous pouvez vous rendre sur cet article.)

Le fond :

Tout d’abord, nous avons divisé l’écran en quatre parties égales et rectangulaires. Nous avons défini une fonction rectangle(x,y,color). Pour obtenir nos quatre parties distinctes, il suffit de mettre les coordonnées ainsi qu’une couleur en argument pour tracer les rectangles au bon endroit.

# trace les rectangles
def rectangle(x, y, color):
  up()
  goto(x, y)
  down()
  pencolor(color)
  fillcolor(color)
  begin_fill()
  for i in range(2):
    forward(640)
    right(90)
    forward(360)
    right(90)
  end_fill()

Nous appelons donc la fonction avec des coordonnées et des couleurs différentes pour tracer nos quatre rectangles.

rectangle(-640, 360, "#A8608E")
rectangle(-640, 0, "#25AE80")
rectangle(0, 360, "#C9BB32")
rectangle(0, 0, "#E1770C")

Résultat :

L’écriture « HAPPY HALLOWEEN » :

Ensuite, nous avons créé des fonctions pour chaque lettre différente composant l’expression « HAPPY HALLOWEEN » soit une fonction pour les lettres h, a, p, y, l, o, w, e et n. La lettre « o » est spéciale car nous avons voulu la représenter par une citrouille pour rester dans le thème d’Halloween. Ici, nous vous montrerons les fonctions lettre_h(x,y), lettre_o(x,y) et lettre_e(x,y).

# trace la lettre h en majuscule
def lettre_h(x,y):
  pensize(3)
  color("black")
  up()
  goto(x,y)
  setheading(90)
  down()
  forward(50)
  backward(25)
  right(90)
  forward(25)
  right(90)
  forward(25)
  backward(50)


# la lettre o est représentée par une citrouille
def lettre_o(x,y,f):
  pensize(3)
  color("black")
  fillcolor(f)
  up()
  goto(x,y+25)

  a = x
  b = y
  for i in range(2):
    up()
    goto(x, y)
    down()
    begin_fill()
    circle(25)
    end_fill()
    x += 25 / (35 / 15)
    y -= 25 / 14

  a = x + 25 / 1.4
  for i in range(2):
    up()
    goto(a, b)
    down()
    begin_fill()
    circle(25)
    end_fill()
    a -= 25 / (35 / 15)
    b -= 25 / 14

  goto(a + 25 / 14, b)
  begin_fill()
  circle(25)
  end_fill()

  setheading(0)
  up()
  goto(a, b + 25 * 2 + 2)
  down()
  pencolor("black")
  left(350)
  for i in range(4):
    left(40)
    forward(25 / (35 / 15))
    goto(a, b + 25 * 2 + 2)


# trace la lettre e en majuscule
def lettre_e(x,y):
  pensize(3)
  color("black")
  up()
  goto(x,y)
  setheading(90)
  down()
  forward(50)
  right(90)
  forward(25)
  backward(25)
  left(90)
  backward(25)
  right(90)
  forward(15)
  backward(15)
  left(90)
  backward(25)
  right(90)
  forward(25)

Après avoir créé toutes ces fonctions, nous les appelons dans un ordre précis pour écrire « HAPPY HALLOWEEN » et nous utilisons des boucles for pour que l’expression soit répétée et forme un motif. Nous rajoutons également la fonction stamp() qui permet de laisser l’empreinte de la tortue à la fin de la lettre « N ».

h = 20
for i in range(4):
  lettre_h(50,h)
  lettre_a(80,h)
  lettre_p(110,h)
  lettre_p(140,h)
  lettre_y(170,h)
  lettre_h(230,h)
  lettre_a(260,h)
  lettre_l(290,h)
  lettre_l(320,h)
  lettre_o(370,h,"#C9BB32")
  lettre_w(460,h)
  lettre_e(510,h)
  lettre_e(540,h)
  lettre_n(570,h)
  stamp()
  h += 90


h = -340
for i in range(4):
  lettre_h(50,h)
  lettre_a(80,h)
  lettre_p(110,h)
  lettre_p(140,h)
  lettre_y(170,h)
  lettre_h(230,h)
  lettre_a(260,h)
  lettre_l(290,h)
  lettre_l(320,h)
  lettre_o(370,h,"#E1770C")
  lettre_w(460,h)
  lettre_e(510,h)
  lettre_e(540,h)
  lettre_n(570,h)
  stamp()
  h += 90


h = 20
for i in range(4):
  lettre_h(-600,h)
  lettre_a(-570,h)
  lettre_p(-540,h)
  lettre_p(-510,h)
  lettre_y(-480,h)
  lettre_h(-420,h)
  lettre_a(-390,h)
  lettre_l(-360,h)
  lettre_l(-330,h)
  lettre_o(-280,h,"#A8608E")
  lettre_w(-190,h)
  lettre_e(-140,h)
  lettre_e(-110,h)
  lettre_n(-80,h)
  stamp()
  h += 90


h = -340
for i in range(4):
  lettre_h(-600,h)
  lettre_a(-570,h)
  lettre_p(-540,h)
  lettre_p(-510,h)
  lettre_y(-480,h)
  lettre_h(-420,h)
  lettre_a(-390,h)
  lettre_l(-360,h)
  lettre_l(-330,h)
  lettre_o(-280,h,"#25AE80")
  lettre_w(-190,h)
  lettre_e(-140,h)
  lettre_e(-110,h)
  lettre_n(-80,h)
  stamp()
  h += 90
shape("turtle")
stamp()

Résultat :

Le corps de la citrouille :

Puis, nous avons défini la fonction corps_citrouille(x,y,pen,fi) pour dessiner le corps de la citrouille. Celle-ci prend en paramètre la couleur et les coordonnées du corps. Le corps est constitué de plusieurs cercles assemblés dans un ordre précis pour que le remplissage s’effectue correctement.

# trace le corps de la citrouille
def corps_citrouille(x,y,pen,fi):
  pencolor(pen)
  pensize(5)
  fillcolor(fi)
  a = x
  b = y
  for i in range(2):
    up()
    goto(x,y)
    down()
    begin_fill()
    circle(70)
    end_fill()
    x += 30
    y -= 5

  a = x + 50
  for i in range(2):
    up()
    goto(a,b)
    down()
    begin_fill()
    circle(70)
    end_fill()
    a -= 30
    b -= 5

  goto(a + 5,b)
  begin_fill()
  circle(70)
  end_fill()

Nous appelons cette fonction avec des coordonnées et des couleurs différentes pour créer nos quatre corps de citrouille.

corps_citrouille(-380,110,"#E1C40C","#E3E013")
corps_citrouille(280,110,"#FF4017","#FF5733")
corps_citrouille(280,-260,"#502D9B","#6445A6")
corps_citrouille(-380,-260,"#26b510","#7EEb1E")

Résultat:

La tige de la citrouille :

De plus, nous avons conçu la tige à l’aide d’une autre fonction qui prend en compte les coordonnées et les couleurs de la tige. Pour la concevoir, nous avons d’abord tracé deux traits partant d’un même point puis nous les avons reliés pour effectuer le remplissage.

#  trace la tige de la citrouille
def tige_citrouille(x,y,pn,fl):
  setheading(0)
  up()
  goto(x,y)
  down()
  pencolor(pn)
  fillcolor(fl)
  begin_fill()
  right(160)
  for i in range(2):
    left(110)
    forward(30)
  goto(x,y)
  end_fill()
  begin_fill()
  right(20)
  for i in range(35):
    forward(1)
    right(2)
  end_fill()

Nous appelons ensuite cette fonction tige_citrouille(x,y,pn,fl) avec différentes coordonnées et couleurs pour bien positionner nos quatre tiges de citrouille.

tige_citrouille(-350,260,"#515146","#7A7A65")
tige_citrouille(310,260,"#0E6F12","#1B801F")
tige_citrouille(310,-110,"#8C0F37","#AD2953")
tige_citrouille(-350,-110,"#909207","#C2BD34")

Résultat :

Le visage :

Enfin, nous avons paramétré une fonction afin de lui créer un visage qui a pour arguments ses coordonnées. Le visage est composé de deux yeux qui sont des triangles, d’un nez qui est un triangle plus petit et d’une bouche également composée de formes géométriques.

# trace le visage de la citrouille
def visage(x,y):
  setheading(0)
  pensize(1)
  up()
  goto(x,y)
  down()
  pencolor("#000000")
  fillcolor("#000000")
  begin_fill()

# trace les deux yeux  
  for i in range(2):
    up()
    goto(x,y)
    down()
    for i in range(3):
      forward(30)
      left(120)
    x += 70
  end_fill()

# trace le nez 
  up()
  goto(x - 100,y - 22)
  down()
  begin_fill()
  for i in range(3):
    forward(22)
    left(120)
  end_fill()

# trace la bouche
  up()
  goto(x - 120,y - 35)
  down()
  begin_fill()
  l = 10
  for i in range(2):
    forward(l)
    right(45)
    forward(12)
    left(90)
    forward(12)
    right(45)
    l = 12
  forward(15)
  for i in range(90):
    forward(0.5)
    right(2)
  for i in range(2):
    right(45)
    forward(12)
    left(90)
    forward(12)
    right(45)
    forward(12)
  right(45)
  forward(12)
  left(90)
  forward(12)
  right(45)
  for i in range(90):
    forward(0.5)
    right(2)
  end_fill()

Nous devons donc appeler cette fonction visage(x,y) avec des coordonnées différentes pour aligner le visage sur le corps de chaque citrouille.

visage(-378,193)
visage(282,193)
visage(282,-177)
visage(-378,-177)

Résultat :

Les difficultés rencontrées :

La première difficulté a été de trouver la distance entre les lettres pour former l’expression « HAPPY HALLOWEEN ». Au début, nous les avions espacées de 30 pixels puis nous nous sommes aperçues que certaines lettres se chevauchaient. Après de nombreuses tentatives, nous sommes arrivées au rendu recherché.

Une autre difficulté a été de tracer les cercles qui composent le corps de la citrouille dans le bon ordre pour que le remplissage s’effectue correctement. En ayant compris la logique du remplissage nous sommes finalement parvenues à trouver cet enchaînement.

Enfin, nous avons dû trouver les emplacements de tous les éléments qui composent la citrouille (le corps, la tige et le visage). Ce processus a été très long et a nécessité de nombreux essais mais nous y sommes arrivées !

Sources :

Pour écrire ce script, nous avons utilisé nos connaissances ainsi que le site python.org pour trouver de nouvelles commandes en python. Nous avons également regardé des projets de l’année dernière comme ceux qui sont dans la catégorie art.

Image finale :

Voici le rendu final de notre projet après avoir fait des tests, corrigé nos erreurs et pris du plaisir à coder !

Télécharger le script en .py :

Ne vous inquiétez pas, nous avons pensé à vous ! Vous pouvez télécharger le script ci-dessous pour vous amuser à le modifier ou tout simplement le montrer à vos amis !

Art

Voiture de course 2D

« La compétence naît de la détermination à passer du stade du novice à celui du débrouillard, forgeant ainsi le chemin de l’expertise »

Par où commencer ?

Dans un premier temps, il faut trouver un thème à dessiner.

Quoi de mieux que de dessiner quelque chose qui nous passionne ; L’automobile pour ma part.

C’est partie pour aller sur paint et essayer des motifs. Puis au bout d’une dizaine d’essais

puisque je ne suis pas un dessinateur professionnel, j’arrive enfin à quelque chose de sympa pour moi.

La Programmation.

Une fois mon modèle  prêt, il me reste plus qu’à passer au codage !

La partie noire de ce projet pour moi, mais aussi la plus importante.

J’appréhendais ce moment en tant que débutant, j’avais seulement les simples bases de python et je me demandais comment j’allais faire, mais je me suis rappelé.

« La compétence naît de la détermination à passer du stade du novice à celui du débrouillard, forgeant ainsi le chemin de l’expertise. »

La première ligne était inefficace, mais au fil du codage, je commençais peu à peu à être en confiance.

Le châssis.

La partie la plus facile, mais la plus déterminante pour la suite.

Je commence par définir la fonction  « châssis » et au bout de quelques essais, j’arrive enfin à un début de dessin.

Ma première boucle for.

Pour ajouter des petits détails à ma voiture, j’ai décidé d’essayer de faire deux suspensions avec ma première boucle « for i in range »

Au début message d’erreur sur message d’erreur, mais grâce à la persévérance, j’ai réussi ma première boucle for qui m’a redonné motivation à continuer tout en m’apprenant les bases du python.

Un segment verticale où 4 cercle de diamètre 10 se déplace vers le haut de 7 sur l’axe de (y) à chaque range.

Code amortisseur:

def amortisseur():
    forward(35)
    Y =int(-155)
    for i in range(4):
        up()
        goto(360,Y)
        down()
        pencolor(Rouge)
        pensize(2)
        circle(10)
        up()
        Y = Y+7

On continue sur les boucles for.

Pour continuer, j’ai décidé d’ajouter un peu de contraste au dessin grâce à l’amélioration de mon codage que j’ai pu acquérir au cours du projet.

Au niveau des roues , j’ai ajouté des jantes à bâton avec la fonction (for i in range()) tout en rajoutant quelques détails comme la fumée au niveau de l’échappement et l’aileron a l’arrière de la voiture.

Code fume :

 def fume():
    Y=int(170)
    X=int(20)
    P=int(10)
    pensize(2)
    pencolor(black)
    for i in range(5):
            up()
            goto(Y,X)
            down()
            circle(P)
            X = X+10
            P = P+1
            for i in range(P):
                up()
                goto(Y,X)
                down()
                circle(P)
                Y= Y+8
                
    
print(fume())

Rendu final.

J’ai commencé ce projet en appréhendant mon niveau en code python.

Mais au fil des nombreuses fonctions définit et de nombreux essais, j’ai réussi à monter en niveau :

Au début, j’arrivais juste à donner des instructions à la tortue.

Pour finir par des boucles avec des instructions.

Donc ce projet m’a permis d’évoluer autant sur moi que mon niveau python m’apprenant qu’avec de la persévérance, on arrive à tous ou presque.

L’image n’est pas superbe, mais montre l’évolution Du débutant en herbe à l’expert débrouillard de python.

Vidéo du projet:

Télécharger le code :

Art

Le système solaire

Pour le projet que nous avons dû réalisé sur l’art génératif nous avons choisi le thème du système solaire de façon plus revisité.

La création du fond :

Le fond ici est un ensemble de cercle qui forme plusieurs dégrader de violés comme ci-dessous :

from turtle import *
import secrets

def disque(rayon, x, y, couleur=(1, 1, 1)):
  penup()
  goto(x, y-rayon)
  pendown()
  pencolor(color)
  circle(rayon)


#fond

list_color2=["#AC00D7", "#9B00C1", "#9A00C2", "#9800BF", "#8D00B0", "#8300A4", "#770095", "#690083", "#500064", "#400050", "#23002C", "#400050", "#500064",  "#690083", "#770095", "#8300A4", "#8D00B0", "#9800BF", "#9A00C2",  "#9B00C1", "#AC00D7",]

x = 0
y = -45
radius = 1100

color_index = 0

while radius >= 0:
    speed(400)
    color = list_color2[color_index] 
    fillcolor(color)
    begin_fill()
    disque(radius, x, y, color)
    end_fill()
    radius-=5
    color_index = (color_index + 1) % len(list_color2)</code>

Les axes de rotations des planètes :

Les axes ici en blanc représentantes le positionnement des astres dans le système solaire on les a codé en plusieurs étapes.

from turtle import *
import secrets

def disque(rayon, x, y, couleur=(1, 1, 1)):
  penup()
  goto(x, y-rayon)
  pendown()
  pencolor(color)
  circle(rayon)


#fond

list_color2=["#AC00D7", "#9B00C1", "#9A00C2", "#9800BF", "#8D00B0", "#8300A4", "#770095", "#690083", "#500064", "#400050", "#23002C", "#400050", "#500064",  "#690083", "#770095", "#8300A4", "#8D00B0", "#9800BF", "#9A00C2",  "#9B00C1", "#AC00D7",]

x = 0
y = -45
radius = 1100

color_index = 0

while radius >= 0:
    speed(400)
    color = list_color2[color_index] 
    fillcolor(color)
    begin_fill()
    disque(radius, x, y, color)
    end_fill()
    radius-=5
    color_index = (color_index + 1) % len(list_color2)


#cercle blanc

x, y = (0,-45)
radius = (410)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color)   

x, y = (0,-45)
radius = (370)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color) 

x, y = (0,-45)
radius = (330)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color) 

x, y = (0,-45)
radius = (290)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color) 

x, y = (0,-45)
radius = (230)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color)

x, y = (0,-45)
radius = (200)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color)

x, y = (0,-45)
radius = (170)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color)

x, y = (0,-45)
radius = (140)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color) 

La créations du soleil :

le soleil est l’astre qui nous permet de nous réchauffer donc les couleurs chaudes et vive est ce qui allait le mieux avec le soleil.

from turtle import *
import secrets

def disque(rayon, x, y, couleur=(1, 1, 1)):
  penup()
  goto(x, y-rayon)
  pendown()
  pencolor(color)
  circle(rayon)


#fond

list_color2=["#AC00D7", "#9B00C1", "#9A00C2", "#9800BF", "#8D00B0", "#8300A4", "#770095", "#690083", "#500064", "#400050", "#23002C", "#400050", "#500064",  "#690083", "#770095", "#8300A4", "#8D00B0", "#9800BF", "#9A00C2",  "#9B00C1", "#AC00D7",]

x = 0
y = -45
radius = 1100

color_index = 0

while radius >= 0:
    speed(400)
    color = list_color2[color_index] 
    fillcolor(color)
    begin_fill()
    disque(radius, x, y, color)
    end_fill()
    radius-=5
    color_index = (color_index + 1) % len(list_color2)


#cercle blanc

x, y = (0,-45)
radius = (410)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color)   

x, y = (0,-45)
radius = (370)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color) 

x, y = (0,-45)
radius = (330)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color) 

x, y = (0,-45)
radius = (290)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color) 

x, y = (0,-45)
radius = (230)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color)

x, y = (0,-45)
radius = (200)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color)

x, y = (0,-45)
radius = (170)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color)

x, y = (0,-45)
radius = (140)
color = ("white")
disque(radius, x, y, color) 

#soleil

list_color=["yellow", "orange", "red", "orange", "yellow", "orange", "red"]

x = 0
y = -45
radius = 100

color_index = 0

while radius > 0:

    color = list_color[color_index]
    fillcolor(color)
    begin_fill()
    disque(radius, x, y, color)
    end_fill()
    radius-=1
    color_index = (color_index + 1) % len(list_color)


def arrondi_gauche():
  for i in range(180):
      left(1)
      forward(7/45)

def arrondi_droit():
  for i in range(180):
      right(1)
      forward(7/100)

Les planètes :

Un système solaire sans nos planètes n’est pas un vrai système solaire nous avons reproduit différent astres sur nos axes.

Art

Musique : The neighbourood wiped out !

En tant qu’admiratrices de l’album « wiped out ! » du groupe The Neighbourood, notre premier projet en NSI prend une dimension passionnante puisqu’on a choisi de représenter la pochette de cet album qui nous tient particulièrement à coeur.

Le commencement

Pour commencer, nous avons réalisé le fond noir et le cercle blanc qui se situe au centre. Nous avons ensuite placé le texte avec la bonne police d’écriture et la bonne taille au-dessus du cercle blanc. Nous devions aussi reproduire une petite maison à l’envers tout en bas de l’image en commençant par la base puis la cheminée et enfin le toit.

Les vagues et le sol

Pour créer les vagues, nous avons utilisé deux boucles for. Une première boucle sert à dessiner les arcs de cercle qui forment une ligne de vagues, puis une deuxième boucle permet de déplacer la tortue vers le bas pour dessiner la ligne de vagues suivantes. Cette approche répétitive nous permet de créer un motif de vagues continus en descendant d’une ligne à l’autre.

pensize(10)
goto(-300,0)
color("black")
pendown()
setheading(-35)

for i in range(9):
    for j in range(11):
         circle(35, 70)
         circle(-35, 70)
    penup()
    goto(-300, -20 * (i+1))
    pendown()

Il nous fallait aussi un sol qu’on a obtenu grâce à de nombreux cercles pour pouvoir ensuite déplacer la maison.

Le palmier avec les roches

Pour le palmier, on a d’abord dessiné des arcs de cercle pour créer le tronc incliné du palmier puis on a dessiné chaque feuille en utilisant la commande circle() avec des angles spécifiques pour créer la forme des feuilles. Les pierres ont été créées en combinant des formes géométriques superposées les unes aux autres.

L’oiseau

Pour dessiner un l’oiseau, on a dû crée les ailes, le corps, la queue, le bec et la tête de l’oiseau en utilisant des boucles, des lignes et des cercles.

Notre petite touche personnelle

Pour finir, on a rajouté notre petite touche personnelle, un ciel étoilé. Nous avons défini une fonction étoile pour générer 30 étoiles à des emplacements aléatoires.

def etoile():
    
    for i in range(5):
        forward(0.5)



pensize(2)
pencolor("white")

for i in range(30):
    x = randint(-400, 400)
    y = randint(100, 300)
    penup()
    goto(x, y)
    pendown()
    etoile()

CONCLUSION

Ce projet nous a permis de réaliser qu’on peut faire de très belle chose juste en ayant les bases de la programmation. On a pris beaucoup de plaisir à voir notre image se construire au fur et à mesure du temps. Cela nous a ouverts de nouvelles perspectives pour des projets futurs et nous avons hâte d’en apprendre davantage pour réaliser des créations encore plus techniques et impressionnantes.

RENDU FINAL

télécharger le .py

Art

Paysage japonais

Un paysage où un monument de la culture japonaise se mélange avec un fond naturel est magnifique. Et bien que le Japon soit le pays du soleil, levant nous allons le mettre en valeur avec, cette fois-ci, la lune, à travers des montagnes et des torii. Ces derniers symbolisent un portail entre l’enceinte sacrée et l’environnement profane. C’est pour cette raison qu’il y en a à l’entrée de certains sanctuaires.

Organisation du script

Notre script sera expliqué par étape, de l’arrière plan au premier. La fonction goto sera beaucoup utilisée afin de faire des tracés contrôlés ainsi que pensize() pour la largeur du tracé du stylo, color() pour choisir la couleur du crayon, circle() pour faire un cercle et for i in range pour faire des boucles.

L’arrière-plan

from turtle import*    
pensize (42)    
color("#FFFFFF")

a = -40   
col = ["#FFFFFF","#9BF7F7","#41F9FF","#00CDFF","#008FFF","#0059FF","#003AFF", "#4D00FF","#33079A", "#000000"]    
nb_col = len(col)    
color("#FFFFFF")   
goto(0, 50)    
circle(40)

a = 0  

for i in range (0,10,1):
    goto(0, 40-a)
    color(col[i%nb_col])
    circle(40+a)
    a = a +30
    goto(0, 40-a)
    circle(40+a)
    a = a +30
    goto(0, 40-a)
    circle(40+a)
    a = a +40

Ici, nous montrons que notre script est importé de Turtle, ce module nous permettant de contrôler un crayon pour tracer diverses formes géométriques.

Le fond de notre code n’est pas centré mais c’est fait exprès. Nous avons donc mis la taille du crayon à 42 avec la fonction : pensize (42), ensuite a = -40 nous a servis à déplacer le centre du cercle de base, soit, dans notre cas de le décaler vers la haut. Puis nous avons listé les différentes couleurs utilisées dans tous ces cercles avec col = [ ]. Le goto(0, 50) nous emmènera ensuite aux coordonnées données (donc (0, 50)) puis tracera des cercles de différentes tailles et de différentes couleurs grâce à la fonction cercle circle(40) et à la boucle for i in range (0,10,1):.

Les premières montagnes

color("#42392C")
goto(0, -80)
goto(100, 90)
goto(150,80)
goto(230,150)
goto(270,250)
goto(300,150)
goto(500,20)
goto(580,30)
goto(630,10)
goto(640,-40)
goto(0,-80) 

goto(0, -40)
goto(100,50)
goto(120,40)
goto(200,100)
goto(320,250)
goto(500,30)
goto(580,-10)
goto(630,20)
goto(640,-80)
goto(0,-70) 

goto(0, -40)
goto(120,40)
goto(200,80)
goto(320,230)
goto(500,00)
goto(580,00)
goto(630,000)
goto(640,-60)
goto(0,-50) 

goto(0, -40)
goto(120,33)
goto(200,60)
goto(320,210)
goto(500,00)
goto(580,00)
goto(630,000)
goto(640,-40)
goto(0,-20) 

goto(0, -40)
goto(120,20)
goto(200,50)
goto(320,190)
goto(500,00)
goto(580,00)
goto(630,000)
goto(640,-30)
goto(0,-10) 

goto(0, -40)
goto(120,00)
goto(200,20)
goto(320,170)
goto(500,00)
goto(580,00)
goto(630,000)
goto(640,-10)
goto(0,-00) 

goto(0, -40)
goto(120,00)
goto(200,10)
goto(320,160)
goto(580,00)
goto(630,000)
goto(640,-10)
goto(0,-00)  

goto(320,70)
goto(500,50)
goto(320,60)
goto(320,40)
goto(320,50)
goto(320,30) 

goto(0,-10)
goto(-200,50)
goto(-300,10)
goto(-430,160)
goto(-500,15)
goto(-600,250)
goto(-600,-10)

Nous comprenons ici que les goto sont et seront à l’honneur de ce script ! Ils sont simples à utiliser et donc à comprendre. La couleur des premières montagnes, elle, est encore une fois définie par color(« #42392C »).

Voici le résultat de tous ces goto ! Nous avons un début de montagne avec quelques imperfections mais pas d’inquiétudes ! Ce script fonctionne par plan donc comme un pochoir. Ici, les goto ont donc servis à diriger le stylo d’un point à un autre jusqu’à ce que nous ayons ce résultat

Encore des montagnes

color("#6F6556")
goto(0, 0)
goto(80,40)
goto(120,00)
goto(200,10)
goto(430,200)
goto(630,0)
goto(0,-00)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(430,180)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(430,160)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(430,150)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,150)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,140)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,130)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,120)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,110)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,100)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,90)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,80)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,70)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,60)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,60)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,50)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,40)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,40)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,30)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,20)
goto(630,0)

goto(0, 0)
goto(200,0)
goto(400,10)
goto(630,0)

goto(0,0)
goto(0,-10)
goto(-200,30)
goto(-300,00)
goto(-400,150)
goto(-500,5)
goto(-600,200)
goto(-600,-10)
goto(0,0)

Ces montagnes sont faites de la même manière que les premières : le changement de couleur avec color(« #6F6556 ») et les goto ! Voyons maintenant le résultat en image…

Et voilà nos montagnes finies ! Mais il reste encore quelques étapes pour donner un sens à notre titre.

Le sol bleu

up()
goto(0,-400)
down()
col = ["#000000","#33079A","#4D00FF", "#003AFF", "#0059FF","#008FFF", "#00CDFF", "#41F9FF","#9BF7F7", "#FFFFFF","#9BF7F7","#41F9FF","#00CDFF","#008FFF","#0059FF","#003AFF","#4D00FF","#33079A","#000000"]
nb_col = len(col) 
recup = 0
k = -50
for i in range (0,50):
    color(col[i%nb_col])
    for i in range (0,3):
        k += 40
        goto(1000-k,-35)
        goto(1300-k,-500)

Comme pour l’arrière-plan, les couleurs sont définies grâce à col = [ ].

Avec l’image, nous pouvons plus facilement comprendre la présence de la boucle for i in range (0,50) qui nous a aidé à répéter tous les traits positionnés en diagonale pour nous éviter de les faire un à un avec des goto par exemple !

Les torii

pensize(42)
up()
goto(160,-220)
down()

color("#FF7000")
goto(160,100)
goto(-160,100)
goto(-160,-220)
goto(-160,100)
goto(-220,100)
goto(220,100)
goto(160,100)
goto(160,160)
goto(160,100)
goto(-160,100)
goto(-160,160)
goto(-220,160)
goto(220,160)

pensize(25)
up()
goto(80,-150)
down()

color("#E76E00")
goto(80,20)
goto(-80,20)
goto(-80,-150)
goto(-80,20)
goto(-120,20)
goto(120,20)
goto(80,20)
goto(80,60)
goto(80,20)
goto(-80,20)
goto(-80,60)
goto(-120,60)
goto(120,60)

pensize(12)
up()
goto(40,-120)
down()

color("#CB6100")
goto(40,-30)
goto(-40,-30)
goto(-40,-120)
goto(-40,-30)
goto(-60,-30)
goto(60,-30)
goto(40,-30)
goto(40,-10)
goto(40,-30)
goto(-40,-30)
goto(-40,-10)
goto(-60,-10)
goto(60,-10)

pensize(6)
up()
goto(20,-100)
down()

color("#A95100")
goto(20,-60)
goto(-20,-60)
goto(-20,-100)
goto(-20,-60)
goto(-30,-60)
goto(30,-60)
goto(20,-60)
goto(20,-50)
goto(20,-60)
goto(-20,-60)
goto(-20,-50)
goto(-30,-50)
goto(30,-50)

Voici le code de nos torii. A chaque nouveau pensize( ), il y en a un nouveau ! Nous avons d’abord le placement du crayon avec up( ), goto( ) et down( ) dans cet ordre là. Cela permet de se déplacer en décidant quand nous voulons écrire.

Cette fois-ci, l’image est sans le fond pour mieux observer le choix de couleur ainsi que les tailles décroissantes.

Le résultat final

Et enfin, notre résultat ! Nous avons également rajouté deux ligne, une verte et une marron pour montrer le début des montagnes mais ces lignes servent aussi à cacher la délimitation qu’il y avait pour les traits droits en diagonale.

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Projets

Astronomie : Planète face au soleil

L’astronomie fait partie intégrante de notre histoire en tant qu’être humain. On peut la percevoir comme une fenêtre ouverte sur l’immensité du cosmos. Chaque découverte, chaque image semble être ajoutée au puzzle infiniment grand et complexe qu’est l’univers.

Mise en avant de notre idée de projet

Tout d’abord, nous avons beaucoup réfléchi à la base de notre projet. Nous avons décidé de choisir l’astronomie, un domaine vaste et varié qui offre de nombreuses options. Nous avons opté pour une perspective de l’espace, imaginant une planète face au soleil avec sa « lune ». Notre inspiration est donc venue de la Terre.

Le fond

Dans un premier temps, concernant le fond, nous avons dû commencer obligatoirement par nous plonger dans l’ambiance de l’espace. Ainsi, nous avons choisi un fond noir. Pour parvenir à cela, nous nous sommes inspirés d’autres codes de création et en avons tiré ceci :

pensize(10000)
goto(100,1)
pensize(1)

Les étoiles

Après avoir ajouté le fond, il fallut combler ce vide. Quoi de mieux que des centaines d’étoiles ? Nous avons utilisé un script permettant de placer aléatoirement 400 étoiles de couleur blanche, de taille plutôt petite et identiques les unes aux autres, sur l’image avec ce script :

def etoile(longueur, x, y, couleur=(1, 1, 1)):
    penup()
    goto(x, y)
    pendown()
    pencolor("white")
    fillcolor("white")

for i in range(5):
        forward(longueur)
        right(144)
        forward(longueur)
        left(72)
        
        
for y in range(400):
    x, y = randint(-800, 800), randint(-400, 400)
    longueur = 2
    couleur = (randint(247, 255), randint(127, 255), randint(0, 12))
    etoile(longueur, x, y, couleur)

Et voici le résultat des étoiles sur le fond noir :

Le soleil

Après avoir ajouté les étoiles, nous souhaitions inclure un élément principal à l’image : le soleil, élément majeur de notre existence et de celle de notre planète. Nous l’avons positionné en haut à gauche de l’image pour montrer son importance cruciale. Pour ce faire, nous avons ajouté un cercle à l’aide d’une fonction que nous avons nommée « planete », puis nous lui avons attribué des coordonnées, une couleur et une taille.

# Fonction de cercle
def planete(rayon, x, y, couleur):
    penup()
    goto(x, y)
    pendown()
    pencolor(couleur)
    fillcolor(couleur)
    begin_fill()
    circle(rayon)
    end_fill()    
    

# Dessiner le soleil
rayon_planete = 300  
x_planete, y_planete = -450, 30  
couleur_planete = "#FFC300"
planete(rayon_planete, x_planete, y_planete, couleur_planete)

Puis, nous avons souhaité intégrer une sorte de dégradé de couleur pour apporter réalisme et nuance. Après des recherches, nous avons finalement ajouté un cercle de couleur différente, de taille plus petite, au même emplacement que le soleil avec ce code :

# Dessiner dégradé
rayon_planete = 240
x_planete, y_planete = -450, 90
couleur_planete = "orange"
planete(rayon_planete, x_planete, y_planete, couleur_planete)

Et voici le résultat du soleil :

La planète

Après tout cela, l’image restait incomplète et semblait toujours trop vide. Nous avons donc ajouté une planète que nous avons placée à l’opposé du soleil pour donner l’impression qu’elle est en face de celui-ci. Nous avons décidé de représenter une planète bleue en référence à la Terre en utilisant la même fonction à celle utilisée précédemment pour dessiner un cercle. Voici le code utilisé :

# Dessiner Planete 
rayon_planete = 300
x_planete, y_planete = 500, -600
couleur_planete = "blue"
planete(rayon_planete, x_planete, y_planete, couleur_planete)

Et voici le résultat en rajoutant la planète :

La lune

Pour finaliser notre image, nous avons pensé qu’il manquait quelques détails à ajouter. Quoi de mieux que d’inclure une lune, que nous avons positionnée près de la planète bleue, pour accroître le réalisme. Pour créer cette lune, nous avons réutilisé la fonction des cercles. Nous avons défini sa couleur en gris et l’avons rendue plus petite, car elle est moins importante que le soleil et la planète. Ensuite, à l’intérieur de cette lune, nous avons ajouté deux cercles encore plus petits pour représenter des cratères, de couleur plus foncée pour les faire ressortir. Voici le code utilisé :

# Dessiner Lune
rayon_planete = 100
x_planete, y_planete = 370, 40
couleur_planete = "#d4d3d0"
planete(rayon_planete, x_planete, y_planete, couleur_planete)

# Dessiner cratère
rayon_planete = 20
x_planete, y_planete = 370, 80
couleur_planete = "#b4b1a8"
planete(rayon_planete, x_planete, y_planete, couleur_planete)
rayon_planete = 30
x_planete, y_planete = 320, 145
couleur_planete = "#b4b1a8"
planete(rayon_planete, x_planete, y_planete, couleur_planete)

Et voici le résultat finale :

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