Author: 1ère spé NSI 2020 - 2021

Projets

Comment réaliser un clip vidéo avec NVIDIA

Je vais vous présentez un tutoriel permettant de réaliser un clip vidéo à l’aide du logiciel NVIDIA Geforce Expérience disponible quand on possède une carte graphique NVIDIA.

Aujourd’hui la technologie devient de plus en plus important dans la société au fil du temps. C’est pour cela que je vais vous présenter un magnifique tutoriel vous permettant de créer un clip vidéo, en espérant que mon explication vous servira et vous aidera à accomplir de grandes choses.

Il est important et pratique de savoir faire un clip vidéo facilement et rapidement que ça soit pour les jeux vidéos ou pour toutes autres activités dont vous voudriez garder un souvenir dans votre ordinateur.

Ce tutoriel est constitué de plusieurs étapes avec les explications qui vont avec.

C’EST TIPAR !!! 😉

Les différentes étapes :

  • Il est tout d’abord conseillé de se procurer un ordinateur composé d’une carte graphique NVIDIA. (Cette étape est la plus dure du tutoriel)
  • Téléchargez le logiciel NVIDIA gratuit avec le lien suivant : https://www.nvidia.com/fr-fr/geforce/geforce-experience/
  • Une fois le logiciel téléchargé ouvrez-le. Vous devriez donc tomber sur la page suivante :
  • Sélectionnez « Ouvrir l’interface superposé en jeu » se situant en haut à droite de l’écran.
  • Une fois sur l’interface rendez vous sur l’onglet « Replay instantané » puis sur « paramètre« .
  • C’est ici que vous pouvez paramétrer la durée, la qualité et la résolution de vos futurs clips vidéo sachant que plus ils sont élevé plus la taille du fichier du clip vidéo sera important.
  • Après avoir tout paramétré, retournez en arrière et sélectionnez le logo paramètre à droite de l’interface.
  • Puis rendez-vous sur « Raccourcis clavier« .

Ici vous pouvez programmer des raccourcis clavier vous permettant par exemple d’effectuer un clip vidéo ou d’activer le replay instantané (expliqué à la suite du tutoriel) sans ouvrir l’interface. Cette capacité est surtout efficace quand vous êtes en train de jouer.

  • Maintenant il ne vous reste plus qu’à revenir en arrière pour activer le replay instantané

Cela va vous permettre d’enregistrer la durée sélectionnée dans les paramètre. Par exemple si vous avez sélectionné 30 secondes, le replay instantané va enregistrer les 30 dernières secondes réalisées sur votre ordinateur quand vous aurez effectué le clip vidéo à l’aide du raccourci clavier.

Ce tutoriel est maintenant terminé en espérant que cela n’aura pas été trop compliqué. Donc il vous reste qu’à réaliser de magnifiques clips vidéo que ça soit en jeu ou autres.

Tutoriels

Accéder et contrôler un ordinateur à distance

Si vous lisez ceci, c’est que vous cherchez à pouvoir contrôler un ordinateur ou un appareil mobile à distance depuis votre propre appareil.

Pour quelles raisons utiliser cette solution ?

Contrôler un appareil à distance peut s’avérer très intéressant, en effet, cette solution est utilisée par exemple par les techniciens, pour réparer l’ordinateur d’un client sans avoir à se déplacer. Mais aussi, avoir l’accès à l’ordinateur d’un collègue aide à gagner énormément de temps.Retour ligne automatique
Evidemment, ce type de technique n’est pas uniquement apprécié par les spécialistes. Dans de nombreux cas, il peut être pratique de contrôler l’ordinateur d’un ami pour le dépanner ou pour lui apporter de l’aide. D’autres aimeront avoir la possibilité d’éteindre leur ordinateur en utilisant simplement leur appareil mobile ou leur tablette.

Bien sûr, étant donné l’obligation d’une autorisation des deux appareils, vous ne pourrez pas utiliser ces méthodes pour des raisons illégales …

Deux méthodes vous sont donc proposées, la première portera sur l’installation du logiciel gratuit TeamViewer compatible avec macOS, Windows, Linux, Chrome OS, Raspberry Pi, Android et IOS. Pour la deuxième méthode les démarches se feront sur le navigateur google chrome.

Première méthode

Pour cette méthode les deux appareils doivent avoir une connexion internet pour pouvoir télécharger le logiciel et son utilisation.

Les étapes :

Celles ci seront illustrées avec macOS mais ce sont les mêmes, à quelques différences près, sur n’importe quel système d’exploitation compatibles, quant à IOS et Android il suffit d’installer l’application TeamViewer

  • La première étape est d’ouvrir n’importe quel navigateur et de rechercher le site web du logiciel à installer : TeamViewer ou de cliquer ici
  • Lorsque vous arrivez sur cette page vous pouvez choisir votre système d’exploitation actuel s’il ne s’est pas déjà sélectionné automatiquement.
    Puis appuyez sur le bouton vert “ télécharger TeamViewer”
  • Double cliquez sur l’icône comme demandé. Sur Windows, il s’agit d’un fichier de configuration appelé « TeamViewer_Setup », tandis que sur Mac, vous aurez un fichier « TeamViewer.dmg ».
  • Appuyez sur le bouton “Continuer” et acceptez les termes du contrat de licence
  • Vous pouvez maintenant installer le logiciel, cependant il vous sera demandé d’autoriser certains accès à votre système :
  • Pour cela cliquez sur chaque demande d’accès
  • Vérifiez si l’encoche à côté de TeamViewer est remplie
  • Cliquez sur “fin”, le logiciel est installé !
  • Vous avez la possibilité de choisir un mot de passe pour utiliser l’application sans assistance

Voici à quoi doit ressembler votre écran lorsque vous vous trouvez sur le logiciel

  • Vous devez entrer l’ID de l’autre appareil afin de le localiser, vous le trouverez dans la partie “Autoriser contrôle à distance”
  • Le logiciel générera automatiquement un mot de passe de sécurité que vous devez entrer pour accéder à l’appareil avant de cliquer sur “Se connecter”
  • Bravo, vous pouvez maintenant contrôler l’appareil comme si c’était le votre
  • Vous pouvez quitter à tout moment la session de partage. Pour vous déconnecter, cliquez simplement sur le X en haut de la fenêtre de TeamViewer

Deuxième méthode

Cette méthode n’est réalisable que sur ordinateur, avec une connexion internet et google chrome.

Les étapes :

  • Ouvrez Google Chrome
  • Connectez vous à votre compte Google avant d’aller sur les extensions
  • Puis cliquez sur gérer les extensions
  • Une fois sur cette page cliquez sur le symbole à côté d’extensions puis faites “Ouvrir le Chrome Web Store”
  • Entrez le nom de l’extension soit Chrome remote desktop
  • Ajoutez à Chrome
  • Cliquez sur l’icône bleu et blanc pour télécharger Bureau à distance chrome
  • Acceptez toutes les permissions requises pour continuer
  • Lorsque l’application est installée sur les deux ordinateurs vous devez sélectionner un nom puis un code afin de la démarrer
  • Vous pouvez maintenant générer un code qui devra être entré sur l’autre ordinateur ou inversement, celui-ci expirera au bout de 5 minutes
  • Vous avez désormais accès à l’ordinateur, vous pouvez arrêter a tout moment le partage en cliquant sur le bouton prévu à cet effet
Tutoriels

Installer un site sous WordPress

Vous comptez créer un site sous WordPress mais vous ne savez pas comment vous y prendre. Voici un tutoriel rédigé en trois parties qui vous expliquera étape par étape le processus d’installation le plus optimal afin que vous puissiez débuter dans les meilleures conditions.

Introduction

Avant de se lancer dans l’installation de son site, il est essentiel de se familiariser avec WordPress car même s’il domine le marché, il existe bien d’autres solutions pour créer son site web.

WordPress est avant tout un système de gestion de contenu gratuit codé en PHP qui permet de créer un site que ce soit un blog ou alors un site e-commerce en un rien de temps. WordPress est la solution la plus privilégiée par les débutants car il ne requiert aucune connaissance en codage. Pourtant, nombreux sont ceux qui se heurtent à la tâche lorsqu’il s’agit d’installer correctement leur site.

Aujourd’hui, voici donc un tutoriel qui permet de ne pas se lancer dans l’aventure sans arme, rédigé en trois parties. Il vous permettra de comprendre au mieux les étapes indispensables à suivre pour une installation la plus optimale qu’il soit.

1. Repérage et Préparation

a. Choix du nom de domaine

Afin de créer un site sous WordPress, il faut d’abord choisir un nom de domaine. C’est une adresse unique que tout site possède. Ici par exemple, nsi.xyz est le nom de domaine, « nsi » étant le nom et « .xyz » l’extension. Le choix du nom de domaine permettra à vos visiteurs de se souvenir de votre site. Il est donc crucial de le choisir avec intelligence et pour ce faire, assurez-vous qu’il soit facile à écrire et à prononcer en d’autres termes qu’il soit écrit en un mot.

Remarques :

  • Si votre projet est de créer un multi-site traduit en plusieurs langues sous WordPress, il sera préférable d’utiliser une extension en « .com » car d’une part c’est celle la plus utilisée mais aussi car c’est la plus reconnue dans le monde.
  • Si votre projet est de créer un site local alors il sera préférable de privilégier une extension en « .fr », « .be » « .uk » etc..

Imaginons maintenant que vous ayez votre idée de nom de domaine en tête, vous pouvez alors consulter des hébergeurs web tel que GoDaddy dans le but de vérifier si votre idée est déjà prise.

Deux scénarios s’ouvrent alors à vous :

1. Votre idée n’est plus disponible avec l’extension voulue alors vous regardez les autres extensions proposées ou dans le cas échéant, vous trouvez une autre idée.

2. Votre idée est disponible et vous pouvez envisager de passer à l’étape suivante.

b. Choix du plan d’hébergement

Maintenant, vous devez choisir un plan d’hébergement web qui vous permettra d’installer votre site sur un serveur connecté en permanence à Internet.

En fonction du plan choisi, certains avantages en matière de sauvegarde, de sécurité et de performance pourront s’offrir à vous.

Il faut savoir qu’il existe de nombreux hébergeurs web. Certains se sont spécialisés hébergeurs WordPress et d’autres se sont diversifiés. Ceci étant dit, il sera conseillé de choisir un plan d’hébergement web spécialisé WordPress pour installer son premier site.

Voici deux exemples de plans et d’hébergeurs WP :

  • Kinsta
  • WP Serveur

Bien évidemment, les prix varient selon le plan choisi avec x et y avantages. Il vous faudra donc soigneusement le choisir en faisant un comparatif entre toutes les offres des hébergeurs web.

2. Installation de WordPress

Vous devez désormais installer WordPress afin de pouvoir véritablement créer votre site. Il existe deux façons de procéder.

a. Installation automatique alias la façon « .com »

1) Se rendre sur WordPress.com

2) Créer un compte

3) Associer le nom de domaine existant à WordPress ou en rechercher un si non trouvé précédemment.

4) Votre site WordPress est créé !

b. Installation manuelle alias la façon « .org »

1) Se rendre sur WordPress.org

2) Télécharger la dernière version de WordPress

3) Se rendre sur son hébergeur web et accéder au Cpanel

4) Consulter son gestionnaire de fichiers

5) Cliquer sur le dossier public_html dans la barre latérale et créer un nouveau dossier au nom de votre choix

6) Télécharger dans ce dossier le fichier ZIP WordPress de l’étape 2

7) Extraire le fichier ZIP installé

8) Sélectionner tout et déplacer le tout dans public_html

Félicitations ! WordPress est désormais installé et relié à votre nom de domaine se trouvant dans le dossier public_html. Il vous reste maintenant à créer une base de donnée pour votre site.

Pour ce faire :

1) Visiter ses bases de données (logiciel MySQL)

2) Créer une base de donnée pour votre nouveau site

3) Ajouter un utilisateur

4) Associer la base de donnée créée et l’utilisateur

Hourra ! On a maintenant une base de donnée qui permettra de stocker et de restituer simplement les données de votre site.

L’installation manuelle de WordPress est maintenant terminée. Il vous suffira de rentrer dans la barre de recherche votre nom de domaine (adresse URL) pour commencer avec WordPress.

3. CONFIGURATION

Voici maintenant une troisième partie pouvant être utile pour certains et non pour d’autres qui, une fois avoir installé WordPress manuellement ou automatiquement vous permettra d’avoir le meilleur environnement de travail possible.

On va ici parler de la configuration de votre site dans la partie admin donc avant d’aborder cette dernière partie du tutoriel, assurez-vous de vous rendre dans cet espace en tant qu’administrateur avec votre mot de passe et nom d’utilisateur WordPress (ou email).

a. Le thème

Pour commencer, il vous faudra un thème. Un thème sert à modifier l’apparence globale de votre site mais aussi à disposer le contenu de vos pages.

Il existe une infinité de thèmes payants ou gratuits. Si vous avez pour intention de créer un blog, vous pouvez tout à fait commencer à rédiger votre contenu avec les thèmes par défaut WordPress qui se présentent de cette façon :

b. L’éditeur de page

Vous devez sûrement l’avoir compris, un éditeur de page est essentiel. Pour commencer, le meilleur constructeur de page se nomme Classic Editor et fera entièrement l’affaire pour votre premier site.

c. Les extensions

Vous les reconnaîtrez en anglais sous le nom de « plugins ». Il en existe un bon nombre et tous ont des intentions différentes qui serviront à améliorer votre site.

Ceci étant dit, pour une configuration optimale, voici une liste de certains plugins qu’il vous faut installer sans plus attendre :

  • L’extension Yoast SEO

Celle-ci est fondamentale puisqu’elle va permettre aux personnes de vous trouver via les principaux moteurs de recherches (Google, Bing etc..). SEO veut dire search engine optimization et correspond au référencement naturel. Sans cet outil, à moins que vous ne connaissiez déjà les attentes des moteurs de recherches, il vous sera difficile d’attirer du trafic dit organique(sauf si source de traffic externe).

  • L’extension Contact Form 7

Celle-ci vous permettra de créer des formulaires de contact qui sont précieux lorsqu’il s’agit de récupérer des informations sur vos visiteurs.

  • L’extension Wordfence

Un plugin antivirus indispensable (si aucune sécurité établie à l’avance par le plan d’hébergement web sélectionné).

  • L’extension WP Fastest Cache

Une extension qui permet à votre site d’être plus rapide en réduisant la taille du HTML de vos pages et en minifiant le Javascript et le CSS. Il faut savoir qu’une bonne performance rime avec un meilleur référencement.

Il existe bien d’autres alternatives aux extensions mentionnées mais si vous débutez l’aventure WordPress, il sera préférable que vous vous en teniez d’abord à celles-ci pour ensuite trouver celles qui vous conviennent le mieux.

Conclusion

On aura donc vu en premier les prédispositions pour installer son site sous WordPress c’est à dire choisir un nom de domaine ainsi qu’un plan d’hébergement web. Dans un deuxième temps, on aura montré deux manières d’installer WordPress sur son nom de domaine. Enfin, on aura appris à configurer de la meilleure manière qu’il soit notre site sous WordPress.

Tutoriels

Comment installer Linux sur un ordinateur Apple ?

Nous allons voir ensemble les différentes étapes pour installer Linux sur un Macintosh.

Qu’est-ce que Linux ?

Linux est un système d’exploitation alternatif aux systèmes plus connus que sont Windows et MacOS. C’est un système de type Unix créé en 1991 par Linus Torvalds.

Ce tutoriel vous permettra d’installer une version de Linux sur un Macintosh.

Avertissements

  • Attention ! Ce tutoriel ne marchera pas sur les derniers ordinateurs Apple à processeur M1 !
  • Changer le système d’exploitation d’un ordinateur n’est pas une opération anodine, il est donc vivement conseillé de réaliser préalablement un clone ou une sauvegarde de votre disque dur (Utiliser Time Machine ou Carbon Copy Cloner ou Super Duper !).

Télécharger une distribution Linux

La première étape de ce tutoriel est de télécharger une distribution Linux (Fedora, Ubuntu, Mint, Elementary OS…) en format ISO (.iso) : pour ce tutoriel, on utilisera Ubuntu.

Il est conseillé de télécharger la version LTS.

Voici un lien vers la page de téléchargement d’Ubuntu : Ubuntu.com

Créer une clé USB bootable

La deuxième étape est de créer une clé USB bootable d’installation, c’est-à dire une clé capable de recevoir le fichier ISO téléchargé précédemment dans l’ordinateur :

  • Préparer la clé USB :

- Insérer la clé. 
- Ouvrir l’Utilitaire de Disque
- Sélectionner le périphérique de la clé USB (dans la colonne de gauche) et cliquer sur Effacer dans la barre d’outils (ou dans le menu contextuel). 
- Définir le format sur MS-DOS (FAT). 
- Vérifier que vous avez choisi le bon appareil et cliquer sur Effacer.

  • Écriture du fichier ISO sur la clé USB :

- Télécharger et installer le logiciel Etcher afin de créer la clé bootable à partir du fichier ISO.
Voici un lien pour télécharger Etcher : Etcher 
- Déposer Etcher dans le dossier Applications.

Par défaut, les versions récentes de MacOS bloquent l’exécution des applications de développeurs non-identifiés. Pour contourner ce problème, cliquez sur App Store et développeurs identifiés dans le volet Sécurité et confidentialité des Préférences Système. Si vous êtes toujours averti de ne pas ouvrir l’application, cliquez sur Ouvrir quand mêmedans le même volet.

- Une fois sur l’application Etcher, configurez la clé USB en 3 étapes :

Flash from file : sélectionner l’image ISO d’installation Ubuntu préalablement téléchargée dans le dossier téléchargement.

Select target : sélectionner le périphérique USB sur lequel vous souhaitez installer Ubuntu.

Flash ! : cliquer sur ce bouton. Le logiciel Etcher a besoin d’un accès à votre matériel de stockage et vous demandera votre mot de passe.

- Après quelques minutes de patience, on obtient notre clé USB Ubuntu bootable.


- Attention : MacOS ne reconnait pas la clé, c’est normal : éjectez-la.
Ne cliquez surtout pas sur Initialiser… au risque de perdre l’intégralité du contenu de votre clé !

Installation d’Ubuntu

La dernière étape de ce tutoriel est d’installer Ubuntu sur le disque dur du Mac par l’intermédiaire de la clé USB bootable :

- Eteindre l’ordinateur. 
- Réinsérer la clé USB bootable. 
- Démarrer l’ordinateur tout en gardant enfoncée la touche alt/option
- Le Startup Manager apparaît et propose alors les différents volumes bootables.

A partir de cette étape, il est impossible d’effectuer des captures d’écran puisque nous n’avons plus accès au système.


- Sélectionner un des deux EFI Boot jaune et valider avec la touche Entrée
- Sélectionner la ligne Ubuntu et valider avec Entrée.


- Apparait ensuite l’écran d’installation d’Ubuntu : sélectionner la langue (Français) et cliquer sur Installer Ubuntu (Il est possible également d’essayer Ubuntu avant de l’installer).


- Puis vous arrivez sur l’écran de choix de clavier : choisissez votre langue (Français) ainsi que le clavier Macintosh. Cliquer sur Continuer.


- Choisissez ensuite le type d’installation que vous voulez (normale ou minimale) et les options que vous voulez ajouter (facultatif). Cliquer sur Continuer.

- Ayant déjà installé Ubuntu sur cette machine, un autre choix est proposé en plus des deux par défaut : Supprimer Ubuntu 18.04.4 LTS et réinstaller.

Si vous effectuez votre première installation, les choix proposés ne seront que Effacer le disque dur et installer Ubuntu et Autre chose.

Si vous voulez utiliser uniquement le système Ubuntu alors choisissez Effacer le disque dur et installer Ubuntu.

Mais si vous voulez utiliser le système d’exploitation Ubuntu et le système d’exploitation MacOS, choisissez Autre chose. Vous allez alors effectuer un DualBoot et partitionner votre disque dur (partager l’espace de stockage entre le système Ubuntu et le système MacOS).

Voici un lien vers une vidéo traitant du DualBoot sur MacOS : Vidéo DualBoot MacOSRetour ligne automatique
Voici un lien vers un site traitant du DualBoot sur MacOS : DualBoot MacOS

Dans le cas présent nous ne nous occuperons uniquement de la partie où le seul système d’exploitation est Ubuntu. Cliquez sur Installer maintenant.


- Vous devez ensuite choisir votre fuseau horaire à l’aide de la carte et de la barre de saisie. Cliquer sur Continuer.


- Vous devez ensuite vous identifier et saisir des informations personnelles. Puis cliquez sur Continuer.


- Puis l’ordinateur procède à l’installation et vous demande ensuite de redémarrer. Cliquez sur Redémarrer maintenant.


- Une fois que l’ordinateur a redémarré, un message s’affiche avec le logo d’Ubuntu. Retirez la clé USB bootable et appuyez sur Entrée.

Bravo ! Vous avez installé Linux (Ubuntu) sur un Mac !

Tutoriels

Recherches avancées avec Google

Nombreux sont ceux qui utilisent Google dès qu’ils ont besoin d’une information. Peut-être même que vous-mêmes utilisez Google au quotidien. Mais savez-vous vraiment l’utiliser ? Dans ce tutoriel vous allez découvrir comment optimiser les requêtes sur Google pour obtenir le résultat le plus pertinent possible pour une recherche donnée. A la fin de ce tutoriel vous pourrez effleurer les véritables possibilités du plus puissant moteur de recherche du monde en manipulant des opérateurs.

Prérequis

Mais avant tout, il faut quelques prérequis pour comprendre comment le moteur de recherche Google interprète le texte qui lui est soumis et ainsi effectuer des recherches efficacement et avec la bonne syntaxe :

- Google ignore les jeux de majuscules / minuscules Ex : france = France = France 
- Il ne prend pas en compte les métacaractères (accents, symboles, …) Ex : été = ete 
- L’ordre des mots est important 
- Les mots d’usages courant sont secondaires dans la recherche et sont souvent ignorés (« le », « la », « les », « du »,…) ainsi que certain mots spécifiques (« http», « www », « .com »)

Maintenant que vous maîtrisez les bases de la formulation d’une requête nous allons voir les 2 grands moyens de préciser sa recherche sur Google.

Méthode 1 : Les options de paramétrage

1.1 – L’onglet « Outil »

Situé dans la barre d’accès rapide dans Google permet de rapidement spécifier : 
- La langue de la recherche (cette option est incomplète et permet plutôt de limiter la recherche à la langue par défaut ou l’étendre à toutes les langues) 
- La date du document (pour ne sélectionner que les pages les plus récentes ou les plus anciennes par exemple)

1.2 – La page des paramètres de recherche.

En appuyant sur « Paramètres » puis « Paramètres de recherche » vous accédez à la page de paramétrage avancée des recherches. Sur cette page plusieurs options sont proposées.

- Le Filtre SafeSearch – Ce filtre surtout prévu pour les jeunes, permet de supprimer le contenu explicite ou potentiellement « choquant »

- Le Nombre de résultats affiché par page (qui ralentit le temps de réponse de la recherche)

- « Où afficher mes résultats » permet de choisir s’il faut ouvrir les résultats des recherches une nouvelle fenêtre (Astuce : Shift + click permet déjà d’ouvrir un résultat de recherche dans une nouvelle fenêtre et Ctrl + click dans un nouvel onglet)

- Le « Paramètre de région » offre la possibilité de choisir dans quelle région effectuer la recherche en priorité.

- Dans la barre latérale gauche on peut également on peut également changer la langue de google

—> Il ne faut pas confondre la langue et la région. La région permet de choisir la localisation des résultats en priorité alors que la langue permet uniquement de changer la langue de l’interface de google

1.3 – La pages de recherche avancées

Google mets également à votre disposition une page spécialisée dans les recherches avancées sur cette page

Sur celle-ci il est possible 
- d’ajouter ou retirer des termes d’une recherche 
- rechercher parmi des intervalles de nombres 
- changer la langue ainsi que la région 
- Limiter les recherches à un site ou domaine (.org / .fr) 
- Activer le filtre SafeSearch (anti-contenu explicite)

Et surtout, l’option unique à cette page (la méthode 2 permet de reproduire toutes les autres options et plus encore ) est la possibilité de filtrer par droit d’usage.
Notamment pour sélectionner uniquement des images libres de droit, de modification, ainsi que de commercialisation.

Méthode 2 : Les Opérateurs

2.1 – Opérateurs simples
Il existe plusieurs façons de spécifier et préciser sa requête directement depuis la barre de recherche de Google grâce à des opérateurs et des syntaxe simples.

L’opérateur « + »
L’opérateur « + » (correspondant à « AND ») permet d’ajouter à la recherche l’expression qui le suit. Il ne faut jamais d’espace entre le « + » et le mot le suivant. Un espace entre deux mots est interprété par défaut comme un « + » par Google.

-> D’ailleurs, si vous voulez que Google traite une expression et qu’il ne la sépare pas par des « + » par défaut, vous pouvez entourer votre expression de guillemets. 

L’opérateur « – »
L’opérateur « – » (correspondant à « NOT ») permet de retirer un élément des résultats de la recherche. Comme le « + », le « – » doit être placé collé au mot le suivant. Cet opérateur peut être utile pour les mots à doubles sens.

L’opérateur « | »
L’opérateur « | » (correspondant à « OR ») revoir les résultats correspondant à l’un ou l’autre des éléments sans nécessairement correspondre aux 2.

L’opérateur « * »
L’opérateur « * » sert à représenter un mot complet à l’intérieur d’une requête.

2.2 – Opérateurs Complexes
Il existe certains opérateurs complexes que l’on peut taper dans la barre de recherche pour affiner les résultats. Ils se forment tous de la manière suivante :

Opérateur:Terme 
(sans aucun espace !)

Exemple : filetype:pdf 
Voici une liste non exhaustive des opérateurs utiles dans une recherche google :

Opérateur Terme(s) Rôle Exemple de requête
filetypepng,jpg,…Rechercher uniquement dans un format de fichierchaton filetype:png (dans ce cas ci sur google image)
linkURLRechercher des pages pointant vers d’autres pages à partir d’un lienlink :www.nsi.xyz
siteURLRestreindre les recherches à un site spécifiquetéléphone site :www.apple.fr
intitleexpressionRecherche la présence dans l’expression sur le titre de la pageintitle : »la réponse de la vie »
cacheURLPermet d’afficher la version mémorisée en cache par Google du sitecache :www.nsi.xyz
defineexpressionRenvoie la définition de l’expressiondefine:processeur
filetypepng,jpg,…Rechercher un format de fichierfiletype:png
NumrangeDeux nombres séparés par un tiretRechercher un intervalle de nombreschampions monde football numrange:1900-2000

Il en existe bien d’autres, moins utiles pour le commun des mortels. Il est possible de combiner les opérateurs entre eux pour encore plus préciser la recherche mais je vous laisse découvrir cela par vous-même.

Vous savez désormais formuler une requête avancée sur Google et manipuler des opérateurs simples et complexes.

Tutoriels

Découvrir et utiliser le markdown

Si vous souhaitez mettre en forme proprement des messages ou des contenus web, ou bien rédiger des documentations, suivez ce tutoriel, et vous assimilerez un nouveau langage en un rien de temps !

Qu’est-ce que Markdown ?

Tout comme le HTML, conçu pour représenter les pages web, et LaTexMarkdown est un langage de balisage, ayant pour fonction de structurer la mise en page de votre texte, à la différence des langages de programmation, renfermant de nombreuses boucles et variables. Contrairement aux deux autres langages, Markdown est très simple, léger, et facile à comprendre pour les mortels. En effet, réalisé pour les paresseux en ayant assez du formatage sous des logiciels tel Word, ou bien même des balises sous HTML, il permet de rédiger en une syntaxe claire et lisible, sans nécessité d’érudition cyclopéenne. Il sert aussi à convertir directement et sans trop de manipulations un format de texte brut facile à lire et à écrire, en HTML. Il est alors utile pour ceux qui n’ont pas de compétences particulières en informatique, et qui veulent rédiger des documentations, des notes, des textes simples, des messages… sur des forums, notamment sur le fameux Github

Les éditeurs Markdown

Tout d’abord, il vous faut trouver un éditeur à la hauteur de vos attentes et de vos talents, et qui puisse être le plus efficace et convenable selon votre utilisation et vos besoins. Il en existe de nombreux, gratuits ou payants, en ligne ou hors-ligne, open source etc…Mais, lesquels pourront représenter l’élite ?

En ligne 

Les meilleurs éditeurs Markdown utilisables gratuitement et directement dans votre navigateur Web, sans besoin d’installation d’applications encombrantes, et prêts à l’emploi rapidement, sont selon moi :

  • StackEdit, comprenant de nombreuses fonctionnalités très utiles.

  • Dilinger, pour une utilisation simple et intuitive.

Hors-ligne 

Pour des travaux réguliers et de projets importants, il est préférable d’utiliser des éditeurs hors-ligne, comprenant plus de fonctionnalités, et utilisables sans être connecté à internet. Les plus recommandables, tout en étant gratuits, sont :

  • Typora, fonctionnel sous mac OS, Linux, Windows, permettant une concentration maximale grâce à son design simple, minimaliste et épuré, et à sa fonction de saisie semi-automatique. Il est de loin le plus agréable esthétiquement et à proprement parler à mon avis.

  • Laverna, pour mac OS, Linux ou bien Windows, au concept open source, est très attrayant de par son cryptage paramétrable, et son utilité quant aux envois de fichiers importants.

Il reste tout de même possible d’ouvrir et d’éditer des fichiers markdown avec n’importe quel éditeur de code ou éditeur textuel, mais vous serez alors privés de la coloration syntaxique et de la prévisualisation en temps réel de ce que vous êtes en train d’écrire.
De plus, pour écrire vos mail et les formater convenablement (en HTML techniquement), il est préférable d’utiliser une extension disponible sur Chrome, Firefox et Safari ; Mardown Here (qui fonctionne aussi dans les interfaces d’éditions web Evernote et WordPress).

La syntaxe de Markdown

Pour pouvoir utiliser ce langage, développé en 2004 par le programmeur américain John Gruber et Aaron Swartz, il vous faut connaître les bases de la syntaxe, et donc ses fonctions principales. 
Les balises sont très proches de leurs réelles significations, et donc très intuitives.
Pour les exemples en image, j’utiliserai StackEdit, afin de mettre en exergue les deux parties distinctes, sauf indications contraires.

Les paragraphes

Commençons par le plus élémentaire, les paragraphes, insérables grâce à une ligne vierge (saut de deux lignes, un seul correspondant à un retour chariot).

Les en-têtes

Pour faire des titres de partie, il suffit d’utiliser les caractères hash (#), de 1 à 6 en début de ligne. Ceux-ci correspondent aux niveaux des en-têtes, du 1, le plus grand, au 6.

L’emphase

Pour mettre en relief un mot, ou un texte, il vous suffit d’entourer le mot entreRetour ligne automatique
des étoiles (*), une pour l’italique, qui est une emphase faible, et deux pour le gras, étant une emphase forte. Pour combiner les deux, il vous suffit d’encadrer avec cette fois-ci trois étoiles. Retour ligne automatique
Aussi, pour barrer un texte, il vous faudra entourer le mot avec un double tilde.

Les listes

En markdown, il est possible de faire 3 types de listes ; les listes à puces, numérotées et cochées.Retour ligne automatique
Pour établir une liste simple, il suffit de mettre une étoile (*), un tiret (-) ou un plus (+) devant, les trois étant équivalents.

Pour créer une liste numérotée, il vous faut introduire un chiffre suivi d’un point.

Pour éditer une liste de tâches, mettez des éléments [ ] ou [x], incomplets ou complets. N’oubliez pas de laisser un espace entre les crochets vides, auquel cas votre liste ne sera pas identifiée comme telle (selon l’éditeur, il vous faudra rajouter des tirets devant).

Les citations

Pour générer un texte en citation, vous devrez utiliser le chevron supérieur (>). Pour pouvez soit le faire précéder chaque ligne, soit en insérer un au début du paragraphe et un à la fin. Selon l’éditeur, il n’est pas nécessaire d’en rajouter à la fin, les sauts de ligne suffisent.

Les codes

Pour écrire un bloc de code, soit vous indentez de 4 espaces (ou une tabulation), ou vous mettez votre bloc entre trois apostrophes inversées (« `) au début et à la fin.

Sur typora, vous pouvez sélectionner le langage en bas à droite, permettant ainsi d’avoir des couleurs associées aux variables (ce qui est beaucoup plus esthétique).

Si vous voulez écrire un bout de code au milieu d’un paragraphe, entourez le avec une apostrophe inversée.

Les liens

Pour créer un lien, vous devez placer le texte du lien entre crochets suivis de l’URL entre parenthèses.

Les images

Les images s’insèrent de la même manière que des liens, seulement, il faut rajouter un point d’exclamation devant le premier crochet, comme dans l’exemple ci-dessous, édité sur typora.

Il existe encore de nombreux éléments de syntaxe (surligner, tableaux, indice, mathématiques…), si vous voulez plus d’informations et ainsi compléter la documentation, vous pouvez vous rendre directement sur le support de typora.

Conclusion

Le Markdown sert donc à générer du contenu web correctement mis en forme, sans avoir à connaître le HTML. La syntaxe est ainsi d’une simplicité déconcertante, n’étant composée que d’éléments de ponctuation soigneusement choisis afin d’être analogues à ce qu’ils signifient. Ce langage épuré et léger tient son appellation d’un jeu de mot avec markup languages, insistant bien sur le fait que c’est un langage réduit, et un outil complémentaire (html du pauvre).
Voilà, vous pouvez maintenant vous servir du Markdown pour rédiger vos notes proprement, en faire une page web, envoyer des messages ou répondre sur des forums, ou bien même écrire des documentations complètes pour un projet ou un jeu de données.

Projets

De la musique ? Oui, mais pas que.

Envie d’écouter de la musique avec style ? Le Web regorge de site Internet sans aucune utilité, comme les Cookies Clickers, les sites vierges, ou Parcoursup. Et bien, je peux fièrement annoncer que mon site est l’un d’entre eux, mais ne paniquez pas ! Avec mon site, vous pourrez mettre de la musique (téléchargée au préalable, il faut pas déconner non plus), et l’écouter sereinement, sans crainte. Mais le plus important c’est que vous pourrez écouter votre musique… avec style et bagou.

Ce site, qui est constitué d’une seule et unique page, est constitué de 4 programmes différents, que j’ai intégré a ma page html, et nous allons les détailler un par un.

1 La souris animée

Sur mon site, nous avons une petite boule animée qui suit la souris, avec un temps de retard.Retour ligne automatique
Cette souris est animée grâce a deux petits codes css et javascript, que je me permet d’afficher ici, car il est vraiment petit, et simple a afficher (pour les codes plus long, je prendrais des extraits).

D’abord le Javascript ;

const cursor = document.querySelector('.cursor');
 
document.addEventListener('mousemove', e => {
    cursor.setAttribute('style', 'top:'+(e.pageY - 20)+"px; left:"+(e.pageX - 20)+"px;")
})
 
document.addEventListener('click', ()=>{
    cursor.classList.add('expand');
 
    setTimeout(()=>{
        cursor.classList.remove("expand");
    }, 500);
})

Comme on a dit, le « setTimeout » sert a initialiser le retard du curseur, pour donner cette impression de ralenti. Retour ligne automatique
Le « cursor.setAttribute » place le cercle animée a la pointe du curseur, et pas au milieu, ce qui se passerait si cette commande n’aurait pas été la.

Le CSS :

.cursor {
    width: 40px;
    height: 40px;
    border: 1px dashed white;
    border-radius: 50%;
    position: absolute;
    animation: Anim1 1s infinite alternate;
  pointer-events: none;
}
 
.cursor::before {
    content: '';
    position: absolute;
    top: 50%;
    left: 50%;
    transform: translate(-50%,-50%);
    width: 5px;
    height: 5px;
    background: crimson;
    border-radius: 50%;
}
 
.expand {
    animation: Anim2 .5s;
    background: crimson;
    border: 1px solid crimson;
}
@keyframes Anim1 {
    from {
        transform: scale(1) rotate(0deg);
    }
    to {
        transform: scale(0.7) rotate(190deg);
    }
}
 
@keyframes Anim2 {
    0%{
        transform: scale(1);
    }
    50%{
        transform: scale(2);
    }
    100%{
        transform: scale(1);
        opacity:0;
    }
}

Le curseur est crée grâce a ".cursor", est le curseur après-clic est crée grâce à ".cursor::before"

L’animation du cercle lorsqu’il est statique est générée ici :

les "@keyframes" s’en occupent, en le faisant tourner, et en le faisant respirer.

Evidemment, pour que la souris fonctionne, il ne faut pas oublier de déclarer la souris dans le html, grâce a cette unique ligne : <div class="cursor"></div>
Bref, la souris est surtout un élément esthétique (comme si il n’y en avait pas assez…), et ne demande pas beaucoup d’analyse, c’est un code relativement simple, ou du moins compréhensible, ce qui n’est clairement pas le cas des codes suivants (bon courage).

2 Le background avec les lignes animées

On parlait d’élément esthétiques, bah en voila un autre.

Ces lignes, qui donnent du dynamisme au site, sont générées uniquement en CSS (sans compter la déclaration dans le HTML).

Le HTML :

<div class="lines">
  <div class="line"></div>
  <div class="line"></div>
  <div class="line"></div>
</div>

On peut remarquer que chaque ligne est indépendantes, ce n’est pas juste un background animé.

Le CSS :

.lines {
  position: absolute;
  top: 0;
  left: 0;
  right: 0;
  height: 100%;
  margin: auto;
  width: 90vw;
}
.lines .line {
  position: absolute;
  width: 1px;
  height: 100%;
  top: 0;
  left: 50%;
  background: rgba(255, 255, 255, 0.1);
  overflow: hidden;
}
.lines .line::after {
  content: "";
  display: block;
  position: absolute;
  height: 15vh;
  width: 100%;
  top: -50%;
  left: 0;
  background: -webkit-gradient(linear, left top, left bottom, from(rgba(255, 255, 255, 0)), color-stop(75%, #ffffff), to(#ffffff));
  background: linear-gradient(to bottom, rgba(255, 255, 255, 0) 0%, #ffffff 75%, #ffffff 100%);
  -webkit-animation: run 7s 0s infinite;
          animation: run 7s 0s infinite;
  -webkit-animation-fill-mode: forwards;
          animation-fill-mode: forwards;
  -webkit-animation-timing-function: cubic-bezier(0.4, 0.26, 0, 0.97);
          animation-timing-function: cubic-bezier(0.4, 0.26, 0, 0.97);
}
.lines .line:nth-child(1) {
  margin-left: -25%;
}
.lines .line:nth-child(1)::after {
  -webkit-animation-delay: 2s;
          animation-delay: 2s;
}
.lines .line:nth-child(3) {
  margin-left: 25%;
}
.lines .line:nth-child(3)::after {
  -webkit-animation-delay: 2.5s;
          animation-delay: 2.5s;
}
 
@-webkit-keyframes run {
  0% {
    top: -50%;
  }
  100% {
    top: 110%;
  }
}
 
@keyframes run {
  0% {
    top: -50%;
  }
  100% {
    top: 110%;
  }
}

Ici aussi, l’animation des lignes est juste une histoire de délais : pour que les lignes soit décalées, un délai de 2 seconde est donné a la première ligne, et un délai de 2.5 est donnée a la troisième ligne.

On peut d’ailleurs le voir quand on lance le site : la deuxième ligne, celle qui n’a pas de délai, descend en première, suivi de la première est de la troisième .

Grace a « webkit », le navigateur gère (presque) tout seul les animations, et cela est moins lourd dans le code.

Bref, je ne vais pas tout détailler, mais cet effet apporte tellement au site (sans être ironique pour le coup), quand on lance une musique, on a l’impression que les lignes bougent en rythme.

Passons au programme majeur du site.

3 Le spectre audio + le bouton d’upload

Alors, faisons un point.

Il est hors de question que j’explique le code ligne par ligne, déjà parce que c’est long, et puis j’avoue que je n’y comprend pas grand chose, c’est hors de mes capacités. Je vais expliquer comment marche le bouton, mais je vais très peu parler des spectres audio.

Le bouton est juste un… bouton. SAUF que, il permet d’uploader le mp3, pour, de 1 lancer la musique, et de 2, initialiser le spectre audio.

Ce code Javascript, est ce qui permet au site de récupérer la musique, via le bouton :

input();
                shade.init();
                document.getElementById("input").addEventListener("change", function(e){
                        document.getElementsByClassName('label')[0].innerText = e.target.files[0].name;
                        fileReader = new FileReader();
                        fileReader.readAsArrayBuffer(e.target.files[0]);
                        music.init();
                       
                }.bind(this), false);

Le "input" demande le fichier choisi, et le "getElement" récupère le fichier, pour l’upload dans le site. Le "innerText" permet de donner au bouton le nom du fichier, et le fait de choisir un nouveau fichier, écrase le précédent, comme nous le montre "fileReader = new FileReader() ;".
Enfin, "music.init" lance la musique sur le navigateur.

Pour ce qui est des deux spectres audio, tout ça est contrôlé par de nombreuuuses formules mathématiques, voici un petit exemple du Javascript :

color : function(){
                        var r = [false, Math.floor(Math.random() * shade.data.max)],
                        g = [false, Math.floor(Math.random() * shade.data.max)],
                        b = [false, Math.floor(Math.random() * shade.data.max)];
                        setInterval(function(){
                               
                                if(r[1] === shade.data.max) r[0] = true;
                                if(r[1] === shade.data.min) r[0] = false;
                                if(r[0] === false) r[1]++;
                                if(r[0] === true) r[1]--;
 
                                if(g[1] === shade.data.max) g[0] = true;
                                if(g[1] === shade.data.min) g[0] = false;
                                if(g[0] === false) g[1]++;
                                if(g[0] === true) g[1]--;
 
                                if(b[1] === shade.data.max) b[0] = true;
                                if(b[1] === shade.data.min) b[0] = false;
                                if(b[0] === false) b[1]++;
                                if(b[0] === true) b[1]--;
 
                                for(var i = 0; i <= 1; i++){
                                        colour = 'rgba('+r[1]+','+g[1]+','+b[1]+',0.8)';
                                        ctx[i].fillStyle = colour;
                                        document.getElementsByClassName('label')[0].style.setProperty('border-color', colour,'');

A ce que j’ai compris, ceci sert a régler les couleurs , car oui, les couleurs réagissent aussi a la musique, et ça, c’est quand même plutôt cool.

Les teintes r (rouge), g (vert), et b(bleu), évoluent au rythme des « shades », qui sont a mon avis les variations du spectre audio.

Bref, ce code rajoute quand même au site tout son charme, et arrachera surement un « wow » a vos amis, si vous en avez.

Passons au dernier programme, tout simple, symbole de l’ego surdimensionné du programmeur :

4 La signature du beau développeur

Tout en bas, a droite, nous avons un petit « Made by Robin Metais », animé, et cliquable.

Le CSS :

a{
  color:white;
  font-size:9px;
  text-decoration:none;
  letter-spacing:2px;
  font-family: "Open sans", sans-serif;
  position:fixed;
  z-index:5;
  bottom:10px;
  right:10px;
  transition:all 0.2s 0s ease-in-out;
}
a:hover{
  color:#95afab;
  letter-spacing:3px;
  transition:all 0.2s 0s ease-in-out;
}

la partie « a » est le bouton (car c’est un bouton) d’origine, et le "a:hover" est le bouton lorsqu’il est survolé.

Le Javascript :

var a = document.createElement("a");
a.innerText = "Made by Robin Metais";
a.href="https://www.youtube.com/watch?v=dQw4w9WgXcQ"
a.title = "";
a.target="";
body.insertBefore(a, body.childNodes[0]);

Ici, on définit le texte qui doit être affiché, et ce qui doit se passer quand le bouton est cliqué.
Un mystérieux lien mystique est apparu dans mon fichier Javascript, comment l’enlever ? ( ͡° ͜ʖ ͡°)

Avec ça, je crois que nous avons fait le tour de ce sublime programme !

Etes vous prêt a mettre le « fire » dans vos diners de famille, et enflammer le « dancefloor » ?

Projets

Douglas’s story

Nous vous présentons nos premier projet de nsi. Ce jeu basé sur l’interaction vous fera vivre des moment tordant. Vous pourrez incarner Douglas qui est aussi attachant qu’extravagant. Grâce à nous, vous allez passer les plus belles heures de jeux votre vie !!

Tout d’abord, notre projet consisté à créer un jeu qui mélange humour, stresse et action, nous l’avons nommé : DOUGLA’S STORY.

L’histoire de douglas se passe à notre époque, vous incarnerais donc le rôle de ce personnage très attachant qui mêle singularité et maladresse. Il a 16 ans et est passionné par les jeux vidéos et la musique. Votre mission dans ce jeu si vous l’acceptez sera d’aider Douglas a sortir avec la fille de ses rêves, car il a beau la voir tous les jours dans la cour de récrée, il na jamais réussit à franchir le pas et ne lui a donc jamais adresser la parole, vous devez donc grâce à votre génie l’aider à se rapprocher d’elle et plus si affinité.

Quel est le but du jeu et à quoi sert-il ?

Après multiple brain storming nous avons décidé de créé une histoire à choix multiples, suivant vos choix vous gagnerez ou perdrez des points, vous vous en douter ; plus vous avez de point plus votre objectif se réalisera. Ce principe de choix multiples est fait pour donner envie au joueur de découvrir toutes les fins et toutes les conséquences possibles de leur actes, ce qui est très intéressant pour nous développeur.

Problème rencontré

Le principal problème dans ce code a été le stockage. En effet, nous avons commencé à coder ce jeu uniquement à base de if, elif, else donc la place prise allé être assez importante.
On a donc trouvé un moyen avec l’aide de notre professeur pour réduire la taille du code.
Nous avons compressé les boucles if, elif, else en une seul boucle :

for i in range(7): # 7 phase, 0,1,2,3,4,5,6,7
    if score > 0 :
        clear(15)
        print(annonce1[i])
        input()
        print(annonce2[i])
        print(question[i])
        choixJoueur = int(input("Choix ="))
        choix = choixJoueur + move
        print(concequence[(choix-1)])
        score = score + points[i][(choixJoueur-1)]
        move += 3
        print("score = ", score)
        input()

Le deuxième problème a été d’insérer la conséquence à la suite des questions. Une fois le programme terminé, les conséquences s’appliquent pour tous les choix. C’est à dire que peu importe le choix de réponse, les conséquences étaient toutes les trois visibles. Or nous voulions que chaque réponse est sa conséquence. Nous avons donc réussis à faire cela en utilisant les balises :

concequence = ["1 = tres bon choix \nca commence bien ",
            "2 = c est pas le meilleur \nchoix mais en vrai \nca passe",
            "3 = alors entre nous patoche \nc est le meilleur mais douglas \nne l aime pas du tout",

Et en plus :

choixJoueur = int(input("Choix ="))
        choix = choixJoueur + move
        print(concequence[(choix-1)])
        score = score + points[i][(choixJoueur-1)]
        move += 3

Le troisième problème a été d’aérer le programme pour le rendre plus lisible et facile à décrypter. Il fallait utiliser des balises permettant d’espacer les différents codes :

def clear(saut=1):
    print("\n"*saut)

Conclusion

En conclusion, ce jeu nous a été utile dans notre progression vers un meilleur niveau en python. Nous avons rencontré pas mal de difficulté mais elles ont toutes été résolu évidemment. Nous avons fait de notre mieux et nous sommes donc fiers de notre projet.
Peut-être y aura-t-il une deuxième partie ? A voir par la suite.

Le code pour télécharger le jeu sur votre Numworks et jouer dès maintenant :

Projets

Un compte bancaire à contrôle de solde

Tu as envie de calculer tes recettes, ton solde dans plusieurs monnaies différentes alors ce script Python est fait pour toi. Tu auras accès à tes comptes sécurisés pour faire des crédits, convertir et débiter ton compte. Avec ce compte bancaire à contrôle de solde, tu n’as aucune limite.} }

Présentation du projet

Le projet que nous avons réalisé est un compte bancaire à contrôle de solde. Il permet d’entrer son nom et son mot de passe pour accéder au compte bancaire. Un mot de passe autre que celui enregistré renverra vers une erreur :

Plusieurs menus sont à disposition permettant de déterminer le sexe de l’utilisateur et de choisir parmi plusieurs propositions :

(Cet exemple sera démontré avec 1000 euros de solde)

Choix 1 : Nous choisissons de combien nous voulons créditer : 168 euros

Notre compte se trouve maintenant à 1168 euros

r = int(input("Combien voulez vous créditer? \n"))
        sf = sd + r
        print("Votre solde est de", sf,"euros.")

Grâce à l’addition et aux variables créées précédemment nous pouvons voir le calcul fait :

r = La valeur voulant être créditée

sd = Le solde du compte

sf = Le compte en banque une fois le crédit effectué

sf = sd + r

Choix 2 : Nous choisissons de combien nous voulons débiter : 272 euros

Notre compte se trouve maintenant à 728 euros

Si le compte en banque viendrait à être négatif, il afficherait “Compte à découvert »

dep = int(input("Combien voulez-vous débiter? \n"))
        sf = sd - dep
        if sf < 0:
            print("Votre solde est de", sf,"euros.")
            print("Compte à découvert.")

dep = La valeur voulant être débitée

sd = Le solde du compte avant toute action

sf = Le compte en banque après le débit

sf = sd – dep

Choix 3 : Nous choisissons de convertir notre solde de 1000 euros

Cela nous donne la valeur de notre solde en plusieurs monnaies : en Dollar, en Yen, en Livre sterling et bien sûr en euro.

sf = sd
        print("Votre solde est de", sf*1.18,"$.")
        print("Votre solde est de", sf*124.4,"JPY.")
        print("Votre solde est de", sf*1.10,"GBP.")
        print("Votre solde est de", sf,"euros.")

sf = La monnaie après avoir été convertie

sd = Le solde du compte avant toute action

En conclusion grâce à ce compte en banque vous pourrez créditer, débiter, convertir en toute sécurité. Avec un contrôle de solde n’ayez aucune crainte d’être à découvert.

Lien pour télécharger le script :

https://workshop.numworks.com/python/thomas-vignal01/compte_en_banque

Projets

Convertisseur d’unité en python

Plus besoin de convertir des unités de tête ou avec un tableau. Ce programme vous fait le travail à votre place.

Ce projet est un programme réalisé avec python dans le but de convertir un nombre avec une unité de départ dans une unité finale. Il permet de convertir des volumes, des masses, des longueurs et des aires. Ce programme a été développé à l’aide d’omega et est téléchargeable sur la calculatrice Numworks grâce aux liens hypertextes en bas de cet article.

Explication de notre programme

• Tout d’abord nous avons dû assimilés les unités avec les puissances de 10 qui correspondaient.

expo0 = [10**-3, 10**-2, 10**-1, 10**0, 10**1, 10**2, 10**3, 10**-3, 10**0, 10**3, 10**6, 10**9]
unit0 = ["mL", "cL", "dL", "L", "daL", "hL", "kL", "cm3", "dm3", "m3", "dam3", "hm3", "km3"]
 
expo1 =[10**-3, 10**-2, 10**-1, 10**0, 10**1, 10**2, 10**3, 10**5, 10**6]
unit1 =["mg", "cg", "dg", "g", "dag", "hg", "kg", "q", "t"]
 
expo2 = [10**-9,10**-6,10**-3,10**-2,10**-1,10**0,10**1,10**2,10**3]
unit2 = ["nm","micrometre","mm","cm","dm","m","dam","hm","km",]
 
expo3 = [10**-6, 10**-4, 10**-2, 10**0, 10**2, 10**4, 10**6]
unit3 = ["mm2", "cm2", "dm2", "m2", "dam2", "hm2", "km2"]

• On a également créer une petite fonction utile.

Une fonction utile

def clear(nb):
    print("\n"*nb)

Cette fonction permet de sauter le nombre de ligne que l’on veut en écrivant ce nombre entre les parenthèses.

Exemple

clear(2)

• Ensuite, nous avons créé les fonctions permettant de convertir les unités.

Fonction volume, masse, longueur et aire

def volume():
    clear(6)
    print("Vous avez choisi les volumes.")
    clear(2)
    nbr = float(input("Quel nombre voulez vous\nconvertir : "))
    clear(1)
    print("liste des unites : \n0 = mL\t1 = cL\t 2 = dL\n3 = L \t4 = daL\t5 = hL\n6 = kL\t7 = cm3\t8 = dm3\n9 = m3\t10 = dam3  11 = hm3\n12 = km3")
    clear(1)
    unit_d0 = int(input("Quel est l'unite de depart\nde votre nombre : "))
    clear(0)
    unit_a0 = int(input("Quel est l'unite final\nde votre nombre : "))
    convert0 = nbr * expo0[unit_d0] / expo0[unit_a0]
    clear(1)
    print("Le resultat est :\n%.3e"%convert0, unit0[unit_a0])
    clear(0)
    go_menu = float(input("Entrez un nombre pour\nretourner au menu : "))
    if go_menu == 1:
        return menu()
    else:
        return menu()

Explication de la fonction volume ci-dessus

Cette fonction nous demande dans un premier temps, quel nombre nous voulons convertir.

Et dans un second temps, l’unité de départ et l’unité finale du nombre.

Cette fonction nous affiche ensuite le résultat et nous demande d’écrire un nombre au hasard pour retourner au menu (que l’on verra plus tard dans cet article).

def masse():
    clear(6)
    print("Vous avez choisi les masses.")
    clear(2)
    nbr = float(input("Quel nombre voulez vous\nconvertir : "))
    clear(1)
    print("liste des unites : \n0 = mg\t1 = cg\t2 = dg\n3 = g     4 = dag   5 = hg\n6 = kg\t7 = q\t 8 = t")
    clear(1)
    unit_d1 = int(input("Quel est l'unite de depart\nde votre nombre : "))
    clear(1)
    unit_a1 = int(input("Quel est l'unite final\nde votre nombre : "))
    convert1 = nbr * expo1[unit_d1] / expo1[unit_a1]
    clear(1)
    print("Le resultat est :\n%.3e"%convert1, unit1[unit_a1])
    clear(0)
    go_menu = float(input("Entrez un nombre pour\nretourner au menu : "))
    if go_menu == 1:
        return menu()
    else:
        return menu()

La fonction masse ci-dessus

Cette fonction est la même que la fonction volume, mais elle ne convertit pas des volumes mais des masses.

def longueur():
    clear(6)
    print("Vous avez choisi les longueurs.")
    clear(2)
    nbr = float(input("Quel nombre voulez vous\nconvertir : "))
    clear(1)
    print("liste des unites : \n0 = nm\t1 = micrometre\n2 = mm\t3 = cm\t4 = dm\n5 = m     6 = dam   7 = hm\n8 = km")
    clear(1)
    unit_d2 = int(input("Quel est l'unite de depart\nde votre nombre : "))
    clear(0)
    unit_a2 = int(input("Quel est l'unite final\nde votre nombre : "))
    convert2 = nbr * expo2[unit_d2] / expo2[unit_a2]
    clear(1)
    print("Le resultat est :\n%.3e"%convert2, unit2[unit_a2])
    clear(0)
    go_menu = float(input("Entrez un nombre pour\nretourner au menu : "))
    if go_menu == 1:
        return menu()
    else:
        return menu()

La fonction longueur ci-dessus

Cette fonction est la même que la fonction volume et la fonction masse, mais elle ne convertit ni des volumes ni des masses, mais des longueurs.

def aire():
    clear(6)
    print("Vous avez choisi l'aire.")
    clear(2)
    nbr = float(input("Quel nombre voulez vous\nconvertir : "))
    clear(1)
    print("liste des unites : \n0 = mm2\t1 = cm2\t2 = dm2\n3 = m2     4 = dam2   5 = hm2\n6 = km2")
    clear(1)
    unit_d3 = int(input("Quel est l'unite de depart\nde votre nombre : "))
    clear(1)
    unit_a3 = int(input("Quel est l'unite final\nde votre nombre : "))
    convert3 = nbr * expo3[unit_d3] / expo3[unit_a3]
    clear(1)
    print("Le resultat est :\n%.3e"%convert3, unit3[unit_a3])
    clear(0)
    go_menu = float(input("Entrez un nombre pour\nretourner au menu : "))
    if go_menu == 1:
        return menu()
    else:
        return menu()

La fonction aire ci-dessus

Cette fonction est la même que la fonction volume, la fonction masse et la fonction longueur, mais elle ne convertit ni des volumes ni des masses ni des longueurs, mais des aires.

• Et pour finir nous avons créé une fonction menu.

def menu():
    clear(3)
    print("        _______________")
    print("       |               |")
    print("       | CONVERTISSEUR |")
    print("       |    D'UNITE !  |")
    print("       |_______________|")
    print("\n1 - Le volume")
    print("2 - La masse")
    print("3 - La longueur")
    print("4 - L'aire\n")
    choix = int(input("Indiquer votre choix : " ))
 
    if choix == 1:
        volume()
 
    elif choix == 2:
        masse()
 
    elif choix == 3:
        longueur()
 
    elif choix == 4:
        aire()
 
    else:
        return menu()

Explication de la fonction menu ci-dessus

Cette fonction nous propose 4 choix qui sont le volume, la masse, la longueur et l’aire. Ces 4 choix sont respectivement associés aux chiffres 1, 2, 3 et 4 donc si on rentre le chiffre 1, le programme va exécuter la fonction volume. Et si on rentre un nombre différent de 1, 2, 3 et 4 la fonction exécutera encore le menu.

Conclusion

Plus besoin de convertir mentalement ou avec un tableau, ce programme vous fait le travail à votre place ! Vous pouvez le télécharger les liens ci-dessous.

Le programme

ServeurRemarquesLiens hypertextes
Workshop de NumWorksPermet un téléchargement rapide sur la calculatriceconvertisseur d’unité